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La dépossession des composés
Taxe structurelle
 
Ubara-Tutu

Kil'dé  
Le Luang 9 Manhur 816 à 09h49
 
***
Deux fils du commun, non carré et pourtant si organisé. Il a séduit et conquit par sa simplicité.
Il a brillé par ses occurrences, il a dominé par sa persévérance et règne par sa descendance.
Petit sans être démunis, il plait plus en un instant qu'un chaton, son pelage mystérieux charme.
La moitié du tout lui revient, une moitié qu'il partage, mais c'est lui le lion, la joli figure de prou.
Dont le regard noir fait plier échines et mécanismes, ainsi que le tendre qui comble serviteurs,
Et adorateur. Son symbole, porté par quatre généraux les éclipsent, là réside leur unique force.
Il est derrière eux et tellement d'autre, jamais seul en première ou dernière ligne, jamais absent.
Son ordre se veut universel et pourtant on le retrouve aussi dans le chaos, il est un signe, il est.
Il semble juste, pourtant il fait jaillir en nous des instincts de survie qu'on nomme aujourd'hui vils.
On les a déformé, réformé, théorisé et arrangé, on les interprète loin de leurs valeurs originelle.
Un véritable délice, pour quiconque a pour devise : diviser pour régner,rien de mieux que deux.
Deux ennemis, deux opposants, deux clans, ça reste un tout indissociable, et tout ça lui revient.
***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu

Kil'dé  
Le Merakih 11 Manhur 816 à 18h47
 
***
Le suivant est proche, pourtant ils ne font pas la paire, il la fait avec le prochain.
Trois si différent, et pourtant trop proche pour être frère, ou alors post-héritage.
Ils ne s'aiment pas, à vrai dans ce groupe personne ne s'aime, si ce n'est soit.
Mais lui il est presque en concurrence, même déloyale ça n’inquiète personne.
Donc il rage. Il est l'équilibre, tendance juste mesure, option vicieux caché passif .
Son prédécesseur est trop rigoureux, trop présent et idéal, il fait donc réaliste.
De ce fait il faut des favoris et des lésés inaperçu, ou le contraire, il trompe.
Pas beaucoup, pas toujours longtemps, il est le père spirituelle de la satisfaction.
Celle qu'on touche du bout des doigt, nette amélioration par rapport à l'espoir.
Il reste compréhensible dans les grandes lignes, dans les faits il est dur d'approche.
C'est une partie de son charme, une dentelle mystérieuse sur une étoile du matin.
N'en doutez comme les étoiles nombreuses on l'éclipse mais il reste là, toujours.
***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu

Kil'dé  
Le Julung 12 Manhur 816 à 15h51
 
***
Le beau cinq, le grand m'a-tu-vus, il est habile car jamais il ne casse les pieds.
Il s'habille de tout les manteaux, mais jamais de masque, on le reconnait de suite.
Parfois un maquillage emblématique, sans déformation des rappels uniquement,
Qui plaise tellement au régent qu'il ne peut pas s'empêcher de pointer le bout de son nez.
Heureusement ce n'est pas son membre le plus pointu. Trop dangereux de confirmer.
Au milieu de triplé, rare événement, surtout par ici, il est le plus visible et fragile.
Il n'est fiable, il convenable et on le prend comme étalon, on s'en inspire souvent.
Derrière la façade on ne sait pas ce qu'il se cache, est-il autre chose que bel ?
Se serait triste, mais souvent le cas des icônes, elles nous intéressent pas,
La chose qui nous plait uniquement c'est notre perception, notre ressentis.
La proximité aussi. Enfin toujours est-il qu'il faut donc bien lustrer les icônes,
Pour le brillant et surtout le reflet. Facile de plaire à la descendance, elle nous cherche.
***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu

Kil'dé  
Le Vayang 27 Manhur 816 à 10h23
 
***
Le dernier de la portée est sophistiqué, fin et perçant.
C'est un économe dans ses gestes autant que ses mots.
Par contre dans ses pensées et ses décisions il n'en est rien.
Il porte une camisole avec élégance, et les murs le respectent.
Sa révérence est enchanteresse, ses stratégie sans aucune pitié.
Car il homme d'affaire, c'est vague, peu de le dire, il est une vague.
Une grande vague qui veut tout envahir et qui avance doucement.
Doucement, pas de brusquerie, oui, vous l'avez compris, l'usure.
Seulement. Sept. Pour un petit rien, mais ces rien sont placé.
Ces rien ne sont pas ses victimes, il vise gros, très gros.
Mais d'abord il s'incruste, il s'infiltre et possède.
Ce n'est pas le propriétaire dont vous rêvez.
Mais vous êtes ses préférés.
***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu

Kil'dé  
Le Merakih 3 Agur 816 à 11h18
 
***
Le vieux corbac, l'oiseau ridé au plumage poivre et sel.
Il parle sans cesse mais ne dis presque rien. Il répète.
Il ressasse aussi, le regret est sa compagne rêvée.
Elle aussi a fuit, mais comme tant d'autre avant,
Elle s'est laissé charmé ou n'a pu résister.
Onze phrases pertinentes, perforantes.
Pour tomber à ses pieds. Comme tout sage,
Il ne clou pas ses victimes, il n'a pas de salles,
Où pourrissent ses trophée, d'archives de victoires,
Seulement des souvenirs lointains d'une formation fraîche.

Des moments où il pouvait descendre de son perchoir.
***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu

Kil'dé  
Le Dhiwara 14 Agur 816 à 13h13
 
***
Il n'y a ni
Manche,
Poignée
Ou même
Pommeau.
La garde
Est juste
Pour la
Présentation.

La petit sœur du corbeau périmé est encore fringuant.
Ses yeux noir sont perçant et brille de milles éclat.
Elle est vulgaire à coté de sa rivale, la justice.
Loin d'être dénudé d’atout, elle la devance,
De Treize. Le bon nombre de tords.
Non pas que ce soit glorieux.
C'est l'instant qui compte,
Pour la morfale.
Pas d'épée,
Ni balance.
Gros bras,
Toujours.
Épines,
Masse,
Points,
Faibles.
C'est la,
Recette.
Aucun,
Alliés,
Juste,
Com-
Plice.
Pour,
Une,
Pointe,
Dent-
Ellée.
Tel,
Est,
Le,
Lei-
Tmo-
Ti-
V
***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu

Kil'dé  
Le Dhiwara 17 Saptawarar 817 à 15h11
 
***
Solide, élégante et respectable.
Elle se mélange en ordre précis.
Pour la rejoindre l'unique porte,
Est sa loi. Rien ne dépasse et il,
Y a de la place. En rang courbé.
Là est toute l'essence de la tresse.
Dix-sept croisements et là voilà,
Qui brave la gravité. Elle ondule.
Elle entraine son peuple manger,
son voisin, tel un serpent soyeux,
Anguleux, gagnant en force et,
en taille. Nul ne doit s’extirper;
Du carcan. Tout contrevenant,
S'expose à l'exil ou une longue,
Et pénible digestion par ses pairs.
Grande ironie pour cette impair.
***



Tutu, te voilà !

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