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Je... Hein ?
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Le Luang 12 Jangur 815 à 16h18 |
Animal ? Danger ?
Partout. Nulle part.
Voix.
Perdu !
Douleur ?
Colère.
Inondé. Noyade ?
Lessive et laitue !
Reste en pièces.
Silence.
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
Hein ?
À GAUCHE !
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Si vous ne savez pas le dire, nous savons l'écrire ! |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 12h52 |
Un commentaire surpris.
Ces nouveaux sont vraiment de plus en plus dérangés...les bonnes manières se perdent.
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Mon nom est Personne.
*Le Chaudon qui Fume* |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 13h00 |
Non c'est normal. Personnellement quand j'ai reçu mes dons j'étais désorienté temporellement pendant quelques jours. Tu as sans doute eu quelque chose du genre toi aussi non ? C'est juste que tu ne t'en souviens pas.
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Un ce n'est pas bien, deux c'est dangereux, trois ça suffit pas... mais presque. |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 13h02 |
Pour avoir des dérangés, encore faudrait-il que nous soyons rangés.
L'êtes vous, petite voix au jugement hâtif?
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- Thème d'Elyas - |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 13h23 |
Oui, c'est vrai, je me rappelle avoir été confuse. Jamais comme cela, cependant, mais j'imagine que c'est compréhensible.
C'est juste...étrange de tomber sur cette suite d'images étrangères en fouillant ma pensée. Très franchement, j'aurais préféré me réveiller sur quelque chose de plus paisible.
Quant à être rangés, nous le sommes nécessairement.
Il se dit que le désordre est juste un ordre différent.
J'irai même jusqu'à dire, ô personnage inquisiteur, que je suis non seulement rangée, mais bien arrangée qui plus est.
Passons.
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Mon nom est Personne.
*Le Chaudon qui Fume* |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 13h34 |
Il est que cela peux déranger, désorienter, moi aussi quand cela m'est arrivé mes pensées étaient troublées.
Il m'a fallut un bon moment avant que je retrouve une partie de mes facultés et rien que d'y repenser j'ai comme des nausées.
Véritablement pas un moment joyeux de ma jeune vie.
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Le Matal 13 Jangur 815 à 13h40 |
Passons?
Passez si vous le souhaitez. Nous trouvons vos réflexions des plus...amusantes. Oui, c'est le mot.
Est-il nécessaire de tout ranger? Quelle est la place de l'invisible? De l'indicible? De l'inconnu?
Quant à l'inquisition, nous craignons que vous ne nous rangiez dans la mauvaise catégorie.
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- Thème d'Elyas - |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 15h08 |
"Amusantes."
Soupir.
On m'accorde rarement cet adjectif.
Par vos questions, vous sous-entendez, j’imagine, que l’invisible, l’indicible, l’inconnu ne se rangent pas – une nécessité du rangement, alors, paraît idiote, bien que la formulation utilisée prête elle-même à question. Bref. Beaucoup de gens se font l’opinion que ces trois modes de la totale étrangeté sont indiscernables, et, par conséquent, irréductibles à quelque chose d’aussi banal qu’un rangement.
J’aurais tendance à dire que vous vous méprenez sur la valeur de ce rangement. Spontanément, nous sommes portés à croire que ce qui est ordonné est néfaste et destructeur vis-à-vis de la créativité, tandis que ce qui ne l’est pas est plus valorisant, a une fonction plus proche d’une existence krolanne assumée…qu’en sais-je encore.
Mais il me semble bien que tout est affaire de rangement.
La perspective visuelle, la configuration perceptive, l’aménagement des idées, la construction sociale, l’éclatement du fictif, la schizophrénie émotionnelle, la constitution des liens, l’avènement des évènements, l’évolution des corps…tout cela a une ossature ; notre réel a un squelette, une architecture innervée de sens pour ceux qui l’habite. Oui, les choses sont rangées. Le rangement n’est pas une question de classement, même si seul un inculte (encore un mot en –in) irait défendre l’idée que la classification est néfaste ou qu’il peut s’en passer. Le rangement a à voir avec une disposition structurelle des choses. Or, quand pouvons-nous jamais prétendre échapper à notre interprétation de tout ce qui nous entoure ? N’agissez-vous pas en fonction d’une permanence des choses ? Ne croyez-vous pas qu’il y a quelque chose comme des identités ? Ne parlez-vous pas comme s’il existait une juste syntaxe ? Ne bougez-vous pas de façon coordonnée ? Rien ne tend à prouver que les choses restent à jamais les mêmes, et rien ne peut prouver qu’il y a quelque chose comme une identité des personnes, des groupes, des règles, des objets. Et pourtant, nous vivons éternellement comme tels. Mieux : nous créons ces dérèglements qui, de fait, viennent surtout nous régler nous.
Peut-être que nous le faisons parce que c’est exactement la façon dont nous sommes supposés vivre.
Il y a bien sûr des expériences contradictoires, que vous avez cité vous-même.
L’invisible, l’indicible, l’inconnu, bref, en un mot : l’ineffable, tous ces instants d’acmé où l’existence se frotte avec quelque chose qui lui est si incommensurable qu’elle en perd ses mots, ses yeux, ses oreilles - pauvre petite chose. De fait, ces moments existent, et de fait, ils sont, par nature, ce qui dépasse, transgresse, transverse, casse. Dérange.
Les choses sont reliées, l’univers est innervé, pulse. Il est structuré jusque dans sa rupture, dans ses plis. Est-ce qu’une histoire cesse d’être une histoire parce qu’elle connaît des péripéties, des évènements qui brisent – dérangent – le fil narratif de celle-ci ? N’y a-t-il pas une suite, quelque chose à quoi l’on raccroche l’épars océanique de ce qui s’y produit ? Ne fait-on pas de même vis-à-vis du temps – à créer des entités sans existence pour constituer une cohérence narrative de notre propre vie ?
L’ineffable s’affabule et s’affable plus facilement qu’on ne le croit. Il n’a de sacralité muette que ce qu’on veut bien lui donner.
Ce n’est pas vraiment qu’il est nécessaire de tout ranger, la question est mal posée.
C’est que le mode de vie krolanne est par nature un mode d’agencement et de configuration de son environnement dans le but de le modifier concrètement, ou au moins de le comprendre. C’est ce qu’on appelle penser, je crois. Et il me semble que, même dans ses mouvements les plus bruts, les plus discontinus, les moins identitaires, les moins rangés, il reste quelque chose de l’ordre du lien, de la cohérence, du présupposé. Il reste une histoire. Il reste des causes. Il reste des effets. Il reste un ordre. J’interprète, donc je suis. Je range, donc je fais.
En conclusion ?
Le dérangement est un processus dynamique du rangement.
J'imagine qu'il peut être...amusant.
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Mon nom est Personne.
*Le Chaudon qui Fume* |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 15h09 |
Chouette, un jeu ! Aloooors… Comment ça marche ? Il faut remplir les vides, non ? Je tente !
Et si vous nous disiez qui vous êtes ? Végétal ou animal ?
Qui sait ? En tout cas pas pour le moment. Pas… ici.
En résonnance, oui. Mais qui ?
Évidemment. Vous l’avez perçue ?
Oh ? Espérons que vous n’en souffriez pas trop.
Ou peine, ou incompréhension…
Ah. Attention à ne pas vous laissez submerger…
De là à risquer l’asphyxie… Il ne faut peut-être pas en faire une salade.
Je sais ! Vous êtes un raton-laveur !
Non, non, non, ça ne colle pas au puzzle…
J’ai bien peur que vous n’en trouviez guère. C’est plutôt pensant par ici.
Ça fait souvent ça au début. Il y en a qui crient, d’autres qui gémissent, d’autres qui dénient. Moi, je suis tombée.
Oui, oui, droit dans le vide.
Non, non, je vous assure. Tout droit.
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- Ici, tout le monde est fou. Je suis fou. Vous êtes folle.
- Comment savez-vous que je suis folle ?
- Il faut croire que vous l'êtes sinon vous ne seriez pas venue ici. |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 15h30 |
*** Une pensée rugueuse, aux accents amers. ***
J'entends ton beau verbiage palpitant, Soupirante Pensée, mais ça répond pas à la question principale. Est-ce qu'être lanyshta pousse à l'amnésie sélective ?
D'où te vient le vertige que les krolannes sont organisés par leurs délires ? Juste comme ça, à la naissance ? Faut arrêter les pipes en bois, Soupirante Pensée. Et le tabac mouillé.
Et puis, dans un bordel montre, il y peut y avoir une organisation. Aussi. Ou pas.
Si je suis née dans un Kil', c'est par hasard. Passque mes tauliers y étaient nés. Et qu'accoucher en extérieur, à part pour mourir et avorter, c'est pas terrible...
Ordre. C'est juste une vue de l'esprit pour gérer le bordel. Et supporter la vie de tous les jours.
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Lithophage - Lithophile - Lithophore |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 16h08 |
*** La pensée est déridée, malicieuse. ***
Vous imaginez mal, car nous ne faisions aucun sous-entendu. Notre petit esprit n’a pas la portée du votre. Des rires résonnent. Si d’aventure vous souhaitiez à nouveau lire en nous, car c’est ce que vous avez tenté en donnant à nos pensées une orientation qu’elles n’avaient résolument pas, n’allez pas chercher plus de sens à un mot que celui auquel il est originellement destiné.
Nous sommes la résultante d’un amas de simplicité. Oui-oui-oui.
Quant à affirmer que le rangement est banal… Pour vous peut-être.
Vos exemples montrent d’ailleurs votre vision étriquée des réalités que nous traversons. Le monde est vaste et le rangement n'est pas la seule réponse que nous pourrions vous apporter pour l'expliquer. Nous dirions qu'il y en a une infinité, voir peut-être deux ou trois, a vue de nez hein.
*** Le son d'un grelot est soudainement projeté, aigu, nettement discernable. ***
Vous semblez mélanger ordre et rangement. L’un est une action, l’autre est un état de fait. Ils peuvent être liés. Mais pas toujours. C’est ici que votre esprit prend un raccourci, un de ceux qui sont fort dangereux. Le rangement est rarement collégial, rarement discuté. Il est imposé. Peut-on le contester ? Non. Car il est l’action, l’acte. Il peut être oublié, par une nouvelle action qui l’efface. Cependant, il laisse parfois des traces, une odeur, comme un étron un peu trop collant qui tapisse votre cuvette.
Oh, n’allez pas imaginer que nous comparons votre pensée à un étron. Voyons voyons…Comme nous le disions, notre esprit est trop faible pour de telles railleries. Ah ah !
*** La pensée rentre comme en résonance avec celle des deux nouvelles arrivantes. ***
Voilà notre Délice qui vient se mêler au jeu. Car c’en est un, ne vous y trompez pas joli oisillon !
Et Courtoise qui danse à son tour, nous sommes touchés. Tant d’âmes chères à nos cœurs, filant dans le Tourbillon comme pour échapper à notre déplorable condition. Oh oui ! Nous aimons !
Mais ne cherchez pas ici d’échange fondé. Gardez à l’esprit que le chaos règne et c’est la toute la beauté, la fulgurance de ces sphères télépathiques. |
- Thème d'Elyas - |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 16h31 |
*** Une pirouette de la pensée rugueuse semble autant tenir à la proximité avec Grelot qu'à la distance avec. ***
Un jeu ? J'avais pas compris comme ça. Remarquez, vous suivez les mêmes règles en faisant assauts de galimatias plus obscurs que le brouillard de l'ivresse.
Mais bon, à manier des grands mots comme ça, faut pas s'étonner que certains perdent la mesure... Sinon, pour l'amnésie et les diarrhées télépathiques, Tendre Bouffon, vous confirmez que ça date d'avant ? Parce que sinon, je ne vais pas me supporter longtemps... |
Lithophage - Lithophile - Lithophore |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 16h34 |
La pensée est faussement offusquée.
Mais enfin ! Voulez-vous bien cesser de nous déranger ? C’est sérieux, ici. On joue.
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- Ici, tout le monde est fou. Je suis fou. Vous êtes folle.
- Comment savez-vous que je suis folle ?
- Il faut croire que vous l'êtes sinon vous ne seriez pas venue ici. |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 16h41 |
*** Autre pirouette. L'autre crypto-offusquée. Rugueuse passe à l'acide. Corrosif. Aigrelet. ***
Jouis donc ton content, joueuse invétérée, dont le babillage ravit jusqu'aux nuages. Et le bon sens à la cuvette. Mais il fallait me le dire plus tôt.
Je suis très joueuse.
Vraiment.
Jouons ensemble. |
Lithophage - Lithophile - Lithophore |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 17h10 |
*** Et désormais, ils virevoltent. ***
De la souris ou du chat, qui des deux vous serez?
Courtoise à la léchouille onéreuse, les diarrhées peuvent passer bien que nous trouvions divertissant de les entretenir. Un estomac trop sain, ce n'est pas bon au sein d'un Tourbillon. Nous nous plaisons à entretenir le flou, l'incohérent.
C'est là notre jeu.
Bien que celui du Délice nous plaise également.
Car l'émetteur n'a toujours pas refait surface. Pensez-vous qu'il se soit fait attraper? Peut-être que la gauche n'était pas le bon chemin. Droit dans le mur le raton-laveur.
D'ailleurs, ce serait une première ça, un raton-penseur. |
- Thème d'Elyas - |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 18h17 |
*** Pirouette suivante. Dans un tourbillon, c'est une chose facile. ***
Un raton-laveur sur un mur, soit, mais pas dans un mur. Ce serait un raton-perceur. Pensif, p'têt bien. Perdu, c'est certain.
Mais alors, que serait l'autre comique ? Une chouette savante ? Une soupirante fatiguée ? Un soufflet éraillé ? |
Lithophage - Lithophile - Lithophore |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 18h49 |
*** Une pensée amusée... qui se remémore ces jours encore récents où elle fut terrorisée. ***
Après la gueule de bois, la gueule de Lanystha ! Ou la merveilleuse journée que l'on passe lorsque l'on se lève pour la première fois en ayant changé.
C'est dur mais on y survit et on s'en remet. Enfin, il semblerait ... On a pas l'air trop frappadingue, non ? |
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Le Matal 13 Jangur 815 à 23h19 |
*** Salto avant avec réception sur le pied gauche. ***
Frappadingue ? Comme le puceau qui commande une infusion au troquet ? J'en suis pas sûre...
Pas sûre qu'on s'y remette, normalement, on se fait exclure de l'endroit jusqu'à ce que l'alcoolisme fasse mûrir ce "on". Ou mourir, ce qui est un mûrissement extrême... |
Lithophage - Lithophile - Lithophore |
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Le Merakih 14 Jangur 815 à 12h45 |
Aux pensées précédentes. Douceur :
D’où me vient cette idée ? « Juste comme ça, à la naissance » ?
Sur un plan chronologique…eh bien, oui.
J’aurais même tendance à dire que nous ne naissons pas « par hasard. » Ni, non plus, que notre condition est advenue « par hasard. » D’ailleurs, j’ai même du mal à saisir comment cela pourrait être le cas. A mon sens, on n’est là que dans l’aveuglement, la douce cécité qu’on agite devant les yeux des marmots pour qu’ils se tiennent bien comme il faut. Hasard et présage : les deux faces d’une même pièce, le même monstre polymorphe.
Ne me dites pas que vous vous pensez libres, vous me feriez rire.
Sans émotions. Dans la même ligne :
Quant à vouloir lire en vous, messieurs-les-multiples… vous vous donnez trop d’importance.
Vous parlez de chaos, mais je ne sais pas ce qu’est le chaos.
Montrez-moi donc.
Si c'est cela le nom du jeu...
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Mon nom est Personne.
*Le Chaudon qui Fume* |
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Le Merakih 14 Jangur 815 à 13h03 |
Alors nous vous ferons rire, et c'est peut-être de là que proviendra votre salut. Ah ah !
Nous rêvons et vivons cette liberté et vous savez quoi, naïfs que nous sommes, nous la défendrons par la langue et la pensée.
Vous n'êtes pas sans savoir que des certains tentent d'étendre leur sphère d'influence, se livrant dans des combats fratricides aux conséquences mortelles. Oui-oui-oui. Mortelles. Est-ce ce à quoi vous aspirez chouette aux œillères? Un monde où chacun est à sa place, où tout est déterminé, contrôlé et régulé par le bon vouloir des supposés puissants?
Voyons voyons, un peu d'optimisme !
*** Cloche pied télépathique au rythme des clochettes. ***
La Chouette aveugle, chère Courtoise, c'est peut-être là la seconde comique qui tente de nous faire concurrence.
C'est qu'elle n'est pas mauvaise, sur le fond !
En nous donnant l'importance que nous n'avons pas, elle imprime sa Farce à nos personnes comme nous n'en avions pas été encore capables. Logique nous direz-vous, car il s'agit de sa propre facétie. Mais tout de même !
...
Bon sang, que fait notre raton !
...
RAAAAATOOOOON !
Viens voir Tata, l'Oisillon et leur Bouffon ! |
- Thème d'Elyas - |
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