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Contre-attaque sur la Place Martel !
Expédition punitive |
Cal Keran
Comitaire actif,
Caïd
Kil'sin
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Le Julung 2 Fambir 817 à 01h03 |
*** Oui, ça l'amusait. Beaucoup. Et comme elle y allait. Il n'avait pas gueulé, juste chuchoté à son oreille, ce n'était pas la même chose. Distinguant tant bien que mal l'Arlequin, le jeune homme note la trappe par laquelle disparait le "fantôme". Une rapide pensée à Rhôz. ***
Pensée :Cal : Tu ne m'en voudras pas, soeurette, je te grille la priorité. S'il y a quoique ce soit de physique pour nous ralentir, j'ai eu affaire à plus de systèmes d'alarme que toi.
*** Et, rapidement, le voila qui s'engouffre par la trappe. Malgré son manque de sensibilité évident à la magie, le blondin ne peut que ressentir le courant chaud émanant de celle-ci. Et arrivé en bas, examine la pièce. Un regard vers la "forme" translucide de l'Arlequin, et il désigne le trou d'un mouvement du menton. Et une grimace. Avant de "penser" pour ses deux comparses. ***
Pensée :Cal : Si vous me passez l'expression, ça pue. Métaphoriquement et moins métaphoriquement.
*** Quelques pas, il risque un oeil par l'ouverture. Rien. Mais un son. A pas de loup, il s'engouffre sans un mot par l'ouverture, commençant sa progression et passant devant ses deux comparses. Le bruit, comme l'odeur, s'intensifie. Remontant son masque de tissu pour couvrir son visage, son visage se crispe sous l'effort. L'effort ? Celui de ne pas dégobiller son petit dej bruyamment, en prévenant ce qui pouvait se terrer sous terre que trois intrus se baladaient gentiment dans le coin. Et soudain, il se stoppe. Bordel, qu'est ce que c'était que... Ce truc ? Ces trucs !
Au bout du tunnel, une caverne. Et dans l'ombre... Un ver. Pas un petit ver. Plutôt le ver maousse. Et ce bruit... Posant une main sur la garde de son arme, il se stoppe. ***
Pensée :Cal : Plus un seul mouvement. Rhôz, en arrière. Elyas, matte moi ça.
*** Dans la caverne, outre le ver, des oeufs. Pas un, pas une grappe. Des centaines d'oeufs, gonflés à bloc. Quoi que ce ver fasse ici, il ne consommait pas pour déguster. Mais pour pondre. ***
Pensée :Cal : Dis moi que tu as assez de feu liquide pour faire brûler les Kils... |
Gentleman Cambrioleur
Philanthrope Personnel
Explorateur Urbain |
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Le Julung 2 Fambir 817 à 01h08 |
A la surface de la Place Martel
*** Combinent habillement leurs efforts, les lanyshtas parviennent à se débarrasser des Pest'hilents amassés autour de la créature au long bec.
Cette dernière reste toujours immobile et silencieuse.
Elle ne parait pas inquiète, comme si ces Éveillés là n'étaient que des moucherons gravitant péniblement autour d'elle.
...Et les moucherons, ça s'écrase...
Profitant d'une apparente ouverture, Barak Hastus attaque à nouveau.
Son sortilège n'a aucun effet. Comme s'il s'était heurté à une barrière à la fois physique et psychique...mais encore invisible.
Quelques secondes après à peine, c'est Salimân qui fait brailler son fusil. Mais là encore, les balles traversent le corps de la créature qui, l'instant d'après, n'en garde aucune trace.
Une défense parfaite. Impénétrable.
C'est alors qu'un ricanement mécanique résonne à la surface de la Place.
Samalthia pivote lentement ce qui lui sert de tête en direction d'Helhar'sen.
Il est repéré.
Une voix s'élève alors de la créature.
Les syllabes désincarnées, monotones et désagréables. ***
Menace identifiée. Cendré de type P. Priorité de neutralisation. Pertinence de la capture.
*** Avec une agilité qui n'a rien d'humanoïde, la femme au bec se jette sur le Doc'.
Ses doigts paraissent tranchants, mais pas seulement.
Son premier coup manque.
Elle agite la tête, comme si elle avait été surprise. ***
Réajustement des compétences martiales. Entame de la phase d'affaiblissement.
Renforts en nouvelles troupes demandé.
*** Les derniers mots n'ont rien de commun avec un quelconque langage de la Cité ou des Portes.
Cependant, ils paraissent familiers pour Barak Hastus, comme s'il avait déjà entendu ces sonorités quelque part...
Mais cette incompréhension linguistique sera bientôt le cadet de leur soucis.
A quelques dizaines de mètres de là, la brume s'anime, laissant apparaître une nouvelle vague de Pest'hilents...beaucoup plus combatifs.
Ils sont encerclés. Faits comme des rats. ***
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Au même moment, dans le sous-sol de la Place Martel
*** Le chants des armes à feu et du combat en surface se ressent ici par petites vibrations.
La bataille fait rage et l'escouade sait qu'elle n'a pas de temps à perdre.
Cal prend les devants et avance avec prudence. Il est suivi par Rhôz puis Elyas, visiblement en retrait.
En se rapprochant de cet étrange bruit semblable à un succion lente et morcelée, la galerie s'élargit jusqu'à déboucher sur un immense espace rempli d’œufs et de mousse. Des vers immondes, au sens propre, grignotent la mousse tout en laissant échapper derrière eux la fameuse mousse qui contamine le reste de la Place.
Les trois lanyshtas n'ont pas encore été repérés.
Cependant, une chose attire leur attention...
Une autre galerie, à près d'une centaine de mètres de l'autre côté de la grande cave, légèrement éclairée par une lumière orangée.
Mieux, ils ont désormais la certitude de savoir d'où provient la magie "chaleureuse".
Encore quelques pas... *** |
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Klem' Athis
Commis à la Défense
Kil'dé
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Le Julung 2 Fambir 817 à 01h33 |
Klem a la caboche de la créature à bec dans le viseur, le doigt sur la gâchette quand tout à coup, il se ravise.
Quelque chose ne tourne pas rond.
Si les Pest'ilents n'étaient pas à l'origine de sa protection, cela signifie qu'il y a autre chose et que leur problème est autrement plus important que ce à quoi le Vieux s'était préparé.
Au moment où les trous laissés par les balles de Salimân se referment, le Commis note un détail, imperceptible à l’œil nu.
Comme quoi les lunettes...
Pensée :Cessez d'attaquer. C'est inutile.
Je pensais qu'elle était protégée par un champ énergétique généré par la brume et relayé par ses créatures...Mais il y a autre chose.
Une sorte de magie qui lui permet à la fois d'animer les Pest'hilents mais aussi de se régénérer...continuellement.
Serait-ce de...l'Eversification?
Le Vieux est visiblement troublé.
Si ceci s'avérait vrai, si les thirdoks étaient eux aussi capable de maîtriser cette magie...
Qu'est-ce que ça pouvait bien dire au sujet des lanyshtas?!
La riposte de Samalthia est imprécise mais aussi, instructive.
Les thirdoks souhaitent encore capturer de nouveaux sujets.
Pensée :Si l'escouade parti au sous-sol n'arrive pas à faire grossir ce champ de magie contraire, il nous faudra trouver une alternative.
Doc', Salimân, de combien de munition disposez-vous?
Bariolé, on vous dit artificer, seriez-vous capable de créer un explosif suffisamment puissant pour effondrer la place depuis votre position?
Nous devons envisager toutes les alternatives à notre disposition.
Le Vieux ne croit pas si bien dire.
En effet, au même moment, de nouveaux Pest'hilents font leur apparition.
Cette fois ci, il ne réfléchis pas, il tire.
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Elyas
Passeurs de temps,
Arlequin
Kil'sin
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Le Julung 2 Fambir 817 à 16h08 |
Tous derrière tous derrière et Cal de-vant !
Le petit Caïd s'était enfin décidé à se sortir les doigts du fion. Pas trop tôt.
Encore un peu et je lui accordais le titre hautement privilégié de "Discret". Comme si j'allais me taper seul le sale boulot?!
Rhôz ne tarda pas à me dépasser à son tour. Peut-être n'avait-elle même pas remarqué que je m'étais arrêté pour analyser plus en détail les images envoyées par télépathie du groupe en surface.
Au bout d'une poignée de minutes, Cal signala un changement dans la galerie monotone que nous empruntions.
Des œufs.
Des p'tits œufs par centaines.
*Les cloches sont passés par là ah-ah-ah !
Non-non...Ne vous sentez pas visé Boite de Conserve.*
Toujours le mot pour rire, même dans des situations quelque peu périlleuse.
C'était là l'avantage d'avoir un Arlequin mobile à ses côtés. En deux vannes au rabais, ça vous détendait le sphincter et vous prépare à affronter la pire des armées...en ayant les basques déjà souillées.
Arrivé aux côtés de Cal, toujours enveloppé par mon voile invisible, je transmis le spectacle répugnant aux autres lanyshtas.
*Notre petit Klem-entine a des envie de pyrotechnie?
Il n'en faut pas plus pour nous charmer vous savez.
Oui nous disposons de quoi bricoler un gros pétard...voir deux. De là à dire que ce soit suffisant pour faire sauter la place entière... Vous auriez du nous dire avant de partir que vous comptiez faire sauter cette pétasse à bec. On serait venu avec des copains.*
Le jeu aurait pu être amusant à condition d'en saisir toutes les règles.
Entre une thirdok protégée par un genre de bouclier technico-magique, des larves qui puent, un parterre d’œufs et des bestioles infatigables, on était bien lotis.
*Eversification, c'est quoi cette merde?
Une nouvelle mode au Kil'dé?
Klem, vous dites qu'il faut faire grossir le champ de magie... ça stopperait le bouclier de Samalthia d'après vous?
On est pas très loin du point d'origine, une centaine de mètres à tout péter. Faudrait juste trouver un moyen de passer au travers des vers sans trop les exciter...
Donc non Gueule d'Ange, l'option de tout faire cramer, quand bien même on aurait une citerne de feu liquide, n'est pas envisageable. Crever étouffé c'est pas tip-top tu sais.*
Seul, je serais probablement apte à me faufiler au travers des vers.
La Farce m'avait donné cette capacité...mais qu'en était-il des autres?
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- Thème d'Elyas - |
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Helhar'sen
Gestionnaire du Kil,
Le Doc
Kil'dara
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Le Julung 2 Fambir 817 à 20h21 |
Pensée :"Une centaine de cartouches environ..."
***
Helhar'sen a tout juste le temps d'émettre une réponse mentale à la question de Klem que la Thirdok se jette sur lui. Fort heureusement, le médecin a passé beaucoup de temps et fait beaucoup d'efforts depuis son Eveil pour compenser toute une vie de calme et de paix. C'est entre autres pour ça qu'il a choisi d'apprendre à se servir des armes à énergie : il n'y a guère besoin de compétences martiales ni de savoir viser pour appuyer sur la détente d'une arme qui crache un geyser de feu liquide. Il n'est pas un grand combattant et est plutôt du genre à éviter la violence en règle générale, cependant - bien conscient que ce genre de situation se présenterait tôt ou tard - il a passé un temps considérable à se frotter à des créatures hostiles et des bandits krynänns. Aujourd'hui, les fruits de son travail se font enfin sentir quand il esquive d'un rapide mouvement de côté les griffes de l'Invocatrice qui fendent l'air à l'endroit où il se trouvait une seconde auparavant.
***
- Olé!
***
"Réajustement des compétences martiales"? "Entame de la phase d'affaiblissement"?
Même sans comprendre la suite, d'après ce que Jade lui a raconté, le Doc' sait que les Thirdoks sont capables de tenir la dragée haute a des combattants bien plus expérimentés que lui, et il met à profit ce cours instant de répit pour procéder lui aussi à quelques réajustements.
Pour commencer, il utilise ses pouvoirs pour augmenter autant que possible ses réflexes. Même sans être korthomancien, le Doc' a tout de même quelques tours dans son sac pour que son adversaire ait encore plus de mal à l'atteindre.
Il ne faut qu'une poignée de secondes à la Thirdok pour entrer à nouveau dans la Danse, se ruant à nouveau sur lui. A nouveau, le lanyshta parvient à éviter l'assaut, pivotant et bondissant au dernier moment pour la laisser frapper dans le vide. Profitant de l'ouverture, Helhar'sen déclenche une riposte par réflexe, envoyant un jet de flammes vers le flanc de son assaillante.
Quelle n'est pas sa surprise quand le tir est renvoyé vers lui par une barrière invisible : le gag de "l'arroseur arrosé" prend alors un tout autre sens pour devenir le "brûleur brulé"... Mais il en faut plus, beaucoup plus pour abattre un maître-phérémancien.
Après un court instant de réflexion, le Doc' adresse une pensée aux autres lanyshtas.
***
Pensée :"Je vais essayer de monopoliser son attention aussi longtemps que possible... si vous devez tout faire effondrer, même si j'aimerais autant que possible éviter d'en arriver là, je ferai ce qu'il faut pour qu'elle se trouve au bon endroit au bon moment."
***
Si on en arrive là, la phérémancie lui permettra peut-être de survivre au piège dans lequel il ne manquerait pas de tomber avec elle. Et sinon, ce serait l'occasion d'expérimenter personnellement le phénomène de rematérialisation bien qu'il ne soit pas fondamentalement si curieux que ça à ce sujet...
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(Agur 816) |
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Salimân
Comitaire actif,
Compteur de Voix
Kil'sin
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Le Julung 2 Fambir 817 à 20h59 |
Ça y est, la rigide se bougeait enfin le bas du dos. A la bonne heure ! Le problème, c'est que ce n'était pas pour faire même mine de se soucier de leurs attaques. C'était pour s'en prendre au Doc.
Au Doc !
Un type comme ça ! Peut-être le meilleur d'entre eux.... Réflexion faite, c'était assez malin de sa part.
C'était quoi, cette "classe P" ? Phérémancien ?
Et de quelles versifications il parlait, le Vieux ? On avait affaire à un gang de poètes robots ?
Toutes ces réflexions élaborées, Salimân se les formule en prenant position derrière le Doc. Il se sent impuissant. Que pouvait-il faire, concrètement, pour l'aider ? Inutile, de gâcher ses munitions ou sa magie sur la femme-piaf. Inutile aussi, d'abattre les monstres pour l'affaiblir, si ce n'était pas lié.
Il envoie une pensée au Vieux, tout en continuant d'abreuver le groupe du bas en images mentales.
*J'dois encore avoir une cinquantaine de balles, de quoi arroser quelques temps... J'peux tenter d'lui siffler dans les oreilles, après ça. Pis j'serai à sec...*
Il se tourne vers Barak.
Eh la Baraque ! Y a pas grand'chose à faire pour le doc, à part lui éviter d'se prendre des coups de griffes dans le dos ! On commence par s'occuper d'çuilà, qu'en dis-tu ?
Lui propose-t-il en désignant le lourdeau qui se trouve à leur périphérie.
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Rhôz
Comitaire actif,
Etudiante-Enseignante
Kil'sin
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Le Julung 2 Fambir 817 à 22h37 |
De la puanteur, de la bave, des asticots géants et des œufs pareils... tel est le délicieux cocktail offert par le sous-sol. Rhôz suit ses compagnons – si elle les laisse passer devant, puisqu'ils y tiennent tant, il est hors de question pour autant qu'elle reste planquée derrière,
alors qu'il y a certainement des tas de choses intéressantes à découvrir... par exemple, cette ouverture d'où se reflète une lueur offrant une belle résonance avec la pulsation chaleureuse qu'ils sentaient venir de sous la place. Une cavité qui doit en être l'origine, et l'endroit où une nouvelle part du mystère se dévoilera peut-être enfin. Quant aux créatures larvaires, avec elles ce sera probablement quitte ou double – totalement miros, ou bien douées de sens bien plus fins que les yeux et les oreilles d'un Krolanne.
Pensée :Dites, Bariolé, votre magie de truqueur, vous avez moyen d'en faire profiter les autres ?
Peut-être qu'il lui suffira en fait de raser les murs le plus discrètement possible – mais si les circonstances lui permettaient d'en savoir un peu plus, au passage, sur la magie des korthomanciens, ce serait toujours cela de gagné en plus. En parlant de magies...
Pensée :Eversification, vous dites ? Je me souviens qu'une fois Jade m'avait parlé d'un truc dans ce genre...
Jade qui se fait très discrète ces derniers temps. Au point de se demander si elle est toujours parmi eux. Mais est-ce bien le moment et l'endroit pour se soucier de la question ? |
Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
(Son empreinte psychique évoque un contour de rosier dans la brume matinale.) |
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Barak Hastus
Assistant au Transfert d’Idée
Kil'dara
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Le Julung 2 Fambir 817 à 23h47 |
Pensée :Ton humour à 2 balles bariolé tu le jette aux ennemis s'il te plait. ça ne leur fera peut être pas la peau mais ça leur trouera le cul. répondis je à la vanne de l'arlequin, en joignant bien entendu tout le groupe à la réponse.
Puis tout en me lançant à l'attaque de la cible désignée je répondais au chapeauté :
Avec plaisir !
*** Cela dit dans la première partie du combat je n'étais pas très efficace, je ratais une grosse proportion de mes attaques malgré ses encouragements.
Tout en attaquant je repensais à un détail et émettais donc une pensée vers mes camarades : ***
Pensée :Au fait, au cas où vous avez un doute, notre oiseau utilise bien le langage thirdok, ou sinon un langage proche. |
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Cal Keran
Comitaire actif,
Caïd
Kil'sin
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Le Dhiwara 5 Fambir 817 à 00h42 |
*** Le jeune voleur fait tourner sa langue dans sa bouche. Avant de se retourner vers sa soeurette, manifestement assez couillue pour le suivre de près. ***
Pensée :Cal : Rhôz, tu te sens d'aller vers là ? L'Arlequin et moi pourrions passer, mais je pense que tu es la plus à même de comprendre ce qui se passe là...
*** Un temps de réflexion. Et toujours pour ses deux comparses. ***
Pensée :Cal : Elyas, faute de faire cramer l'endroit, on pourrait organiser une petite diversion ? Juste de quoi dégager l'entrée, et faire en sorte que ces trucs ne sautent pas sur Rhôz. De là, on s'arrange pour les tenir à distance de la galerie jusqu'à ce que tu comprennes ce qui se passe ici, soeurette. Si l'Arlequin ou moi-même sommes pris à parti, on saura se faufiler entre les balles, mais je ne veux pas prendre le même risque pour toi. Je pense que de nous trois, tu restes la plus qualifiée pour trouver de quoi impacter ce qui se passe dehors.
*** Aucun altruisme ici. Mais le voleur savait pertinemment que quoi que cette galerie pouvait renfermer, ce n'était pas lui qui allait comprendre ce dont il en retournait. Un regard vers... Du rien... Bordel, où était l'Arlequin ? *** |
Gentleman Cambrioleur
Philanthrope Personnel
Explorateur Urbain |
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Helhar'sen
Gestionnaire du Kil,
Le Doc
Kil'dara
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Le Dhiwara 5 Fambir 817 à 20h59 |
***
La danse avec Samalthia s'intensifie. Elle se fend, tournoie, virevolte, ses griffes déchirent la plupart du temps l'air avec des sifflements furieux, mais elles commencent aussi à trouver leur cible : le Doc porte déjà les traces des premières touches, sanglantes lacérations qui strient sont buste.
Les blessures ne sont pas extrêmement profondes, mais les choses seraient trop simple s'il s'agissait de simples blessures... au moindre contact, à la moindre entaille, Helhar'sen sent ses réserves magiques s'amenuiser et les sortilèges qui le soutiennent faiblir.
Entre deux assauts, le médecin réplique à la conversation télépathique.
***
Pensée :"Les griffes de la Thirdok ont une action étrange : on dirait qu'elles absorbent ma magie... Il semblerait qu'elle soit donc "optimisée" pour lutter contre nous.
Pour l'instant j'arrive à tenir le coup, mais je ne sais pas combien de temps ça durera une fois qu'elle aura réduit mes réserves d'énergie à néant..." |
(Agur 816) |
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Rhôz
Comitaire actif,
Etudiante-Enseignante
Kil'sin
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Le Dhiwara 5 Fambir 817 à 21h57 |
L'Étudiante continue d'observer les lieux. Drôles de bestioles tout de même, qui se nourrissent de mousse pour recracher une substance brumeuse... Cette brume est-elle la « matière première » dont sont faits les Thirdoks ? Ou bien une sort d'aliment dont ils auraient besoin pour subsister ? À moins que ces vers eux-mêmes soient des Thirdoks à l'état larvaire ? À ce stade, en l'absence d'observations plus poussées, difficile de démêler les hypothèses. Tout au plus le lien entre asticots, brumes et entités bio-mécaniques est-il plus ou moins établi.
Pensée :J'ai le pied léger, Cal... Surtout depuis que la nausée initiale de l'Éveil est passé.
Et puis je doute que ces vermisseaux soient attentifs à grand chose d'autres qu'à la mousse dont ils se nourrissent. Il est peut-être inutile de les titiller sans nécessité.
Peut-être... Si la situation n'était pas aussi urgente et critique, il aurait été vraiment intéressant de faire une étude poussée des vers dans leur milieu. Mais les échos du combats qui a lieu au même moment en surface incitent plutôt à se dépêcher. Rhôz reporte toute son attention sur la cavité à l'autre extrémité de la grotte : il faut s'y rendre au plus vite. Donc repérer un chemin qui permette de contourner au maximum les saletés brumifères.
Pensée :Ça me revient maintenant : c'est d'abord Carmïnn qui a parlé d'éversification. Et d'une autre forme de magie qu'elle nommait concentuation. Des arts thaumaturgiques puissants. Mais je ne me souviens plus très bien de ce qu'elle avait raconté... Mes souvenirs la concernant sont un peu vaporeux.
Je me souviens mieux, en revanche, de ma conversation avec Jade. Elle essayait de déduire de quoi il pouvait s'agir en analysant les mot eux-mêmes. Je vous passe les détails, mais il semblait en ressortir que l'éversification serait une magie reposant sur la disruption ou la dispersion. La concentuation serait peut-être, au contraire, un art de la préservation ou de la contenance. Quelque chose de protecteur ou régénérateur, plutôt que destructeur.
Des conjectures. Ce ne sont malheureusement que des conjectures... Néanmoins, si cette Samalthia use de l'éversification, peut-être que la force magique opposée, ce flux « chaleureux », pourrait avoir un rapport avec la concentuation ? Une fois de plus se pose la nécessité de parvenir de l'autre côté de la grotte, coûte que coûte. |
Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
(Son empreinte psychique évoque un contour de rosier dans la brume matinale.) |
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Le Matal 7 Fambir 817 à 14h39 |
A la surface de la Place Martel
*** Les lanyshtas tiennent bon.
Malgré l'arrivée de nouveaux Pest'hilents, les tirs combinés de Salimân, Helhar'sen et Klem soutiennent efficacement les frappes de Barak Hastus. Samalthia de son côté reste focalisé sur le Doc'.
Elle ne parait pas s'affoler des multiples esquives que produit le kil'darien.
D'ailleurs une machine peut-elle véritablement s'affoler?
Des coups tranchent l'air inlassablement, comme un métronome.
Sa mission, son code, c'est tout ce qui la motive.
Mais alors que les derniers Pest'hilents s’effondrent dans un amas de brume bio-métallique, la créature à bec d'oiseau s’interrompt.
Elle jette un coup d’œil autour d'elle. ***
Sujet récalcitrant. Complications potentielles identifiées. Élimination recommandée.
Déploiement des troupes Ailées.
*** Samalthia est stoïque.
Ses griffes sont repliées le long de son corps squelettique.
C'est alors qu'un bourdonnement s'intensifient, venant de tout part.
Le véritable combat ne faisait que commencer. ***
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Au même moment, dans le sous-sol de la Place Martel
*** Les vers ne paraissent pas remarquer la présence de Cal Keran et Elyas.
Rhôz, malgré ses talents moindre en matière de dissimulation, fait preuve de suffisamment de bon sens pour rester à l'écart. Cette dernière repère d'ailleurs un passage plus dégagé le long de la paroi Est conduisant à la galerie opposée, celle d'où provient cette magie chaleureuse.
Peut-être qu'avec une petite diversion...ou un bon coup de bol, l’Érudite pourrait passer sans être vue. *** |
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Salimân
Comitaire actif,
Compteur de Voix
Kil'sin
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Le Merakih 8 Fambir 817 à 02h43 |
Ouh punaise !
Après avoir essuyé une attaque de Samalthia, et aidé les autres à débarrasser la Place d'une nouvelle vague de Pestilents, le Compteur, sans avoir le temps de souffler, hausse un sourcil en observant la nouvelle fantaisie de la thirdok.
En un instant, ils se trouvent de nouveau encerclés. Salimân se racle la gorge.
Aux désormais connus lourdeaux, s'ajoute une poignée de robots à l'allure féminine.
Il claque sa langue contre son palais. Une taille de guêpe ; et la face aussi peu humaine que celle de l'invocatrice. Mais, surtout, les nouveaux venus, contrairement à ceux qu'ils viennent de décimer, ne lésinent pas sur les mandales.
Aux grands mots les grands remèdes : il commence à siffler sur une tonalité qu'il sait fonctionner sur certains monstres, pour voir.
En esquivant un coup de patte, le Compteur recule, sans le faire exprès, vers une robote qui les prenait à revers. D'un coup d'aile, elle le met à terre, et de l'espèce de fouet métallisé qu'elle porte en main, lui porte deux coups de taille.
Mais euuuh ! Tu veux pas m'payer un verre avant d'passer aux choses sérieuses ?
Salimân roule sur lui-même, jusqu'à s'éloigner du combat. Il envoie une pensée à ses compagnons. A ce stade, c'est pas une fuite, c'est de la survie.
Il se relève, gagne l'abri d'un muret sur le côté en boitant, et s'y adosse pour souffler un coup.
La vache !
Ses vêtements tombent en lambeaux ; ses munitions baissent vue d’œil, et il saigne d'à peu près partout.
*Euh, les gars... Une idée brillante ? Merde ! Mon chant bardique marche sur les balourds, maintenant. Mais pas du tout sur les pétasses ailées*
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Barak Hastus
Assistant au Transfert d’Idée
Kil'dara
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Le Merakih 8 Fambir 817 à 11h40 |
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Le combat se corse sérieusement. Moi je ne manque pas de munitions, mais je suis blessé, même si mon anneau de perpétuation referme mes blessures. Mes camarades eux commencent à s'épuiser aussi d'une manière ou d'une autre même si le doc semble plus endurant que chapeauté et moi. J'essaye de réfléchir à la situation dans son ensemble et ne vois qu'une seule solution :
***
Pensée :On cesse le feu quelques instant, et on se met en position défensive. ça ne régénérera pas tes munitions, mais permettra à mes blessures de se refermer. De ton côté vu que Samalthia semble ne pas trop faire attention à toi, vois avec le vieux ce qu'il a en stock. Nous on attirerais l'attention sur lui si on s'approchait de lui.
Une fois remis sur pied si tes munitions commencent à s'épuiser économise les. N'attaque pas et encourage nous du mieux que tu peux, ça sera déjà une aide précieuse. Garde tes munitions pour quand il n'y a qu'un dernier coup de pouce à avoir pour tuer une créature.
Et éventuellement tu pourra aussi nous apporter les remèdes du vieux si nécessaire. |
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Helhar'sen
Gestionnaire du Kil,
Le Doc
Kil'dara
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Le Julung 9 Fambir 817 à 21h03 |
Pensée :"Désolé Compteur... je suis... à court... d'idées là..."
***
La pensée du médecin est entrecoupée, visiblement il a besoin de toute sa concentration pour résister aux assauts conjoints de Samalthia, des Pest'hilents, et des autres créatures griffues qui sont sorties de la brume au commandement de l'Invocatrice.
Tout comme ceux du kilsinien, les vêtements d'Helhar'sen sont déchirés de toutes parts, presque réduits à des lambeaux ensanglantés. Trop occupé à essayer d'éviter les attaques - avec un succès de plus en plus mitigé - le Doc' n'a même plus l'occasion de contre-attaquer. D'ailleurs Samalthia s'est quelque peu désintéressée de lui maintenant qu'il décline de façon évidente, n'hésitant pas à attaquer Barak Hastus lorsqu'il s'approche un peu trop près d'elle tandis que l'étau de ses sbires se resserre autour d'eux.
Privé de sa magie, la seule chose qui lui ait permis jusque là de faire le malin face aux Pes'hilents, Helhar'sen ne se fait plus vraiment d'illusion sur l'issue de l'affrontement si celui-ci se prolonge.
Alors que les griffes de l'Invocatrice ressortent de son flanc avec une copieuse giclée carmine, le Doc' essaye d'envisager des solutions.
Ils pourraient se réfugier dans la bâtisse pour essayer de faire en sorte que les créatures doivent passer une à une pour les attaquer, rendant plus facile la défense, mais vu la brèche qu'ils ont créé il y a de grandes chances que le Thirdoks n'aient plus qu'à agrandir celle-ci pour s'engouffrer à leur tour. S'y réfugier reviendrait sûrement à s'y piéger... Non, ils devaient gagner du temps, protéger la maison pour que les lanyshtas qui y avaient pénétré aient une issue.
Une nouvelle idée germe alors dans son esprit. Une idée qu'il n'avait pas du tout envie de mettre en pratique, mais sûrement suffisamment folle et flamboyante pour faire plaisir à Elyas...
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(Agur 816) |
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Rhôz
Comitaire actif,
Etudiante-Enseignante
Kil'sin
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Le Sukra 11 Fambir 817 à 16h06 |
L'Étudiante aurait bien pu passer des heures à observer les vers broutant la mousse bio-métallique, la digérant puis les recrachant sous forme brumeuse. Elle aurait pu tenter de comprendre s'ils ont affaire à des créatures vivant en symbiose avec les Thirdoks, produisant une brume nécessaire à leur existence, ou, au contraire, des parasites dissipant leur substance métallique en la rongeant inexorablement... Un écosystème bio-mécanique agressif ou une défense naturelle contre les Composites ? Leur faut-il se nourrir des énergies des Krolanne ou des Éveillés pour sortir d'une la stase à laquelle les condamnerait autrement leur froideur métallique ? Cherchent-ils à détruire une chose capable de leur nuire, qui se trouverait retranchée ici ? Rhôz se dit qu'une clé de compréhension se trouve sûrement dans l'opposition entre chaud et froid qui se joue en cette place. Mais le temps presse, l'Érudite et ses amis n'ont pas le temps de se perdre en conjectures. Il faut des constats empiriques, sur-le-champ. Sans quoi, assurément, ils périront un à un...
Intensifiant de nouveau ses perceptions, l'Étudiante scrute la pénombre caverneuse pour sentir et discerner plus nettement les pulsations vitales et magiques qui emplissent les lieux – tout en faisant fi de la puanteur ambiante. Peu à peu, chaque ver lui apparaît comme une masse pulsante de viscères scintillant à travers un épiderme chitineux. Elle n'a aucun mal à repérer le moindre d'entre eux. Cela lui permet de remarquer qu'ils ne sont pas aussi nombreux dans toute la grotte : ils se concentrent sur un côté de la grotte, et sont donc plus éparpillés de l'autre – tout comme la mousse, au demeurant. Un chemin plus sûr semble possible en longeant la bonne paroi.
À Cal et à Elyas, elle prend juste la peine d'adresser quelques mots :
Pensée :Merci de votre sollicitude, mais je tente le passage. Maintenant.
Sitôt dit, prestement et, elle l'espère, discrètement, elle s'élance, s'efforçant de suivre une trajectoire qui la tienne toujours à distance respectueuse des invertébrés. Sur la pointe des pieds, son agilité décuplée par ses pouvoirs de Lanyshta, elle longe le côté oriental de la caverne, sautille de roche saillante en petite surélévation du sol, et se rapproche rapidement de la source chaleureuse qui, à ses sens magiques, apparaît dans la pénombre comme un rougeoiement au fond d'une cavité, encore caché derrière un angle de la paroi. À mi-chemin, elle dérape sur une pierre plus glissante que les autres mais, presque immédiatement, parvient à reprendre son équilibre et poursuivre son avancée. Les vers visqueux ne semblent toujours pas prêter attention à elle. Elle-même ne se préoccupe plus beaucoup d'eux. Elle arrive à son but. Elle va enfin voir ce qui est sans doute à l'origine de leur venue dans ces lieux... |
Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
(Son empreinte psychique évoque un contour de rosier dans la brume matinale.) |
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Barak Hastus
Assistant au Transfert d’Idée
Kil'dara
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Le Luang 20 Fambir 817 à 18h12 |
*** Finalement le temps passe un peu alors qu'ils se sont mis en position défensive. Ce combat prend plus de temps que le précédent, mais c'est aussi ce qui permet à nos blessures d'avoir le temps de se refermer.
Une fois mes blessures suffisamment refermées j'indique : ***
Pensée :Pour l'instant on fait ce que l'on sait faire : éliminer les gros puants. ça nous fera moins de pression dessus et peut être qu'on pourra après essayer de faire tomber les Ailesdémons.
*** Et nous nous mettons à éliminer systématiquement chacun des pest'hilent qui nous attaque ce qui nous permet ensuite de ne plus subir leur poison et donc de refermer nos blessures d'autant plus vite. Cependant après il s'agit de réussir à faire tomber les Technomancienne optimisée, et le problème c'est qu'en s'y mettant le doc et moi totalement - certes sans trop réfléchir, juste en tapant aussi souvent que je peux - on n'arrive pas à compenser la régénération de ces créatures. ***
Pensée :Bon il va falloir réfléchir un peu plus à un plan pour faire tomber les Ailesdémons, sinon le combat durera jusqu'à épuisement de vos munitions. |
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Helhar'sen
Gestionnaire du Kil,
Le Doc
Kil'dara
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Le Luang 20 Fambir 817 à 23h11 |
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Le camarade kildarien du Doc' a raison, les créatures de technomancie optimisées semblent capables de régénérer au moins aussi rapidement que les lanyshtas les blessent. Sans compter que leurs coups, comme ceux de la marionnettiste, les privent de leur magie...
Avec le nombre des Pest'hilent qui a à présent bien diminué, la situation semble avoir atteint un statu quo.
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Pensée :"C'est clair qu'on n'avance plus là... mais au moins on résiste!
Tout ce qui fait gagner du temps à ceux partis dans les sous-sols est bon à prendre.
Désolé, je n'ai pas plus d'idées que tout à l'heure... les attaques conventionnelles ne suffisent pas tant que les pouvoirs de régénération des Thirdoks sont actifs...
En dernier recourt je peux essayer de lui balancer mon sac plein de bonbonnes de carburant dans la tronche et tirer une giclée de feu liquide en espérant que la douche de feu liquide l'affaiblira suffisamment pour que vous puissiez la finir, mais je serai à court de munitions ensuite. Et j'avoue que l'idée d'être potentiellement aspergé au passage ne me tente guère... mais si on doit en arriver là, je suis prêt.
Si seulement on avait pensé à emporter de l'acide, ou une sauce corrosive, ça aurait peut-être pu attaquer leurs parties mécaniques pendant que le feu attaquerait leurs chairs : la synergie des deux aurait peut-être été plus efficace."
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(Agur 816) |
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Salimân
Comitaire actif,
Compteur de Voix
Kil'sin
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Le Luang 27 Fambir 817 à 21h58 |
A bout de nerfs, le Compteur ricane en toisant les bijoux fabriqués par l'Artisane. Ses blessures peu à peu refermées, il lance à Klem, non loin de lui.
Hep, z'auriez pas un chargeur ou deux en rab' ? Voire des potions ?
Chancelant, il pousse sur ses jambes pour se redresser en se tenant sur la muraille.
Un coup d'oeil vers le centre de la Place : les deux collègues sont toujours là, à échanger des passes d'arme inutiles avec les furies ailées.
Eh ben. Au moins, y sont pas à crever...
Il regarde ses mains, puis la technomancienne. Puis ses mains, encore.
Il hausse les épaules.
Bah après tout, ça coute rien d'essayer....
Il est à bonne distance pour essayer. Pour essayer "ça".
Il ferme les yeux, se concentre puis tend la main. Sa main se met à flamboyer d'une lumière blafarde. De sa main, une boule de lumière ... molle ... lévite doucement vers la Place. Elle volète, lentement vers surement , vers sa cible, et s'y colle. Le temps semble s'arrêter, et le Compteur se surprend à apprécier ce lien particulier qu'il entretient avec la créature.
Puis, le temps reprend son cours, et comme une bande de caoutchouc que l'on tend et qui finit par rompre, le lien se rompt de la main du Compteur et vient exploser en une fraction de seconde sur la créature biomécanique, qui accuse le coup avec un couinement métallique.
Le Compteur hausse les sourcils, surpris d'avoir fait mouche, et dans le même temps subit le contrecoup de son sort.
Essouflé et titubant, il chuchote entre ses dents serrées.
Eh ben, elles sont pas intouchables, ces saloperies...
Se rappelant d'un coup qu'il n'est pas tout seul, il envoie une pensée à ses compagnons.
Ouais, de l'acide, ça devrait être dans mes cordes. Laissez-moi récupérer deux minutes.
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Barak Hastus
Assistant au Transfert d’Idée
Kil'dara
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Le Luang 6 Marigar 817 à 16h41 |
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Finalement en s'y mettant tous ensemble, chapeauté attaquais moins souvent du fait que sa magie était perturbé mais ne faisait pas moins mal que moi, le gros des dégâts venait surtout du doc qui est très puissant, mais je participais aussi...
Finalement disais-je, je fini par donner le coup de grâce à la diablesse ailée. Bon ce n'étais que la première, mais c'était déjà une étape importante. Nous ignorons toujours ce qui se passe avec l'autre équipe, mais déjà on gagne du temps.
Avant de passer à l'attaque de la créature suivante je regardais attentivement Samalthia, en utilisant bien entendu mon casque d'étude, en essayant de repérer si avoir détruit l'une de ses puissantes créature affaiblissait ou non sa protection qui jusque là paraissait impénétrable.
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