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Martel, Le Retour
Retour de Rubus, Martel et Nashoba à la place du martel
 
Kharib
Lecteur
Kil'dé  
Le Matal 19 Manhur 815 à 22h36
 
Le Lecteur poursuivit encore son inspection de l'espace caverneux, s'aventurant alors parmi les oeufs, à la recherche de quelque chose qui leur permettrait de prendre la main sur la situation qui semblait compliquée dans le cas contraire. Il avait avisé d'autres vers dans un couloir s'étendant au-delà de la nuée d'oeufs.

Il envoya donc une pensée à Rubus Tectus:


Pensée :
Il ne m'est pas possible d'arriver rapidement. Je suis en cours d'exploration dans la caverne. J'ai repéré une issue.


Il prit son temps pour parcourir le chemin dans ceux-ci. Il posait un pied après l'autre. Les sens aux aguets. Prêt à bondir. Il ne s'agissait pas de laisser un autre ver sortir d'un oeuf à proximité ni d'être surpris par les adultes.

Armé de patience, toujours à l'abri des détections des vers grâce à ses compétences et ses artifices, il parvint à se frayer un passage à travers les oeufs. Il parvint ainsi à un puit qui montait. Il y avait ainsi une seconde issue à la grotte dans laquelle ils se trouvaient...



UN, cela va. Deux, bonjour les dégâts.
 
Narrateur
 
Le Julung 21 Manhur 815 à 21h34
 
Les trois compagnons observaient, réfléchissaient, se défendaient.

L'observation tout d'abord...

Les vers avaient une apparence totalement organique.
S'ils avaient eux aussi une symbiose mécanique, elle était forcément interne.

Les deux mousses étaient clairement distinctes, et elles ne poussaient pas au même endroit, l'une n'envahissant pas l'autre.
Comme un strict équilibre dans la grotte.
Le plafond, par contre, n'était couvert que de la mousse "mécanisée", et on voit clairement sa propagation vers le haut.
Elle... tressaute à un rythme régulier, comme un lent mouvement de marée.

A l'intérieur de la grotte, au milieu de la flore et de la faune, plusieurs éléments peuvent attirer le regard.
Un coffre aux dimensions importantes, tout d'abord, qui repose sur de la mousse "normale".
Ancien, mais d'apparence solide, il contraste avec le lieu.
Recouvert d'écritures semblables à ce qu'ils ont observé plus haut dans la pièce de culte, il était sans doute un reliquat de l'ancienne utilisation du lieu.
Rien d'autre de cette époque ne semble avoir survécu à l'humidité environnante, et il est même très surprenant que ce coffre ne soit pas lui aussi complètement délabré...

Deux autres éléments dépassent du coin gauche.
Métalliques.
Au milieu de la nouvelle mousse.
Cela ressemble, de loin, à des sortes de grosses capsules.
Au dessus, dans le plafond, on peut voir des restes de trous, comme si la roche avait été forée pour faire descendre ces objets...

Enfin, il existe une autre sortie, après les œufs.
Pas un escalier, mais un énorme trou qui va en rétrécissant, où l'on aperçoit l'air libre plusieurs dizaines de mètres plus haut.
On peut monter par ce trou, en s’accrochant aux racines et en étant très prudent.
Par contre, redescendre était impossible sans un important matériel de désescalade...

La réflexion...

De nombreuses théories, et autant d’opportunités, leur étaient ouvertes.
Le souci était de savoir laquelle n'allait pas les faire tuer.
Car si une chose était certaine, c'était que les œufs étaient tellement instables qu'ils pouvaient visiblement éclore par dizaines en quelques minutes.
La situation était dans la grotte comme en... sommeil.
Un peu comme l'était d'ailleurs la place du Martel au dessus.

Par ailleurs, aucune réminiscence de la sensation de sérénité perçue plus haut.

Le combat.

Une larve s'était isolée des autres, suivant les intrus dans le boyau d'entrée.
Elle avait été attaquée, avait riposté, mais elle ne semblait heureusement pas communiquer avec ses semblables, les autres restants tranquillement à l'intérieur.
Une chance, car non seulement leurs attaques étaient puissantes, mais elles avaient une capacité incroyable à se régénérer, comme si leur corps produisait en permanence de quoi les guérir à grande vitesse...

 
Kharib
Lecteur
Kil'dé  
Le Vayang 22 Manhur 815 à 20h38
 
Le coffre étrange, Kharib l’avait repéré depuis l’entrée de la grotte. Il n’en était guère éloigné, situé loin des œufs. D’ailleurs, l’emplacement du coffre était-il sujet à interprétation par rapport à la situation des œufs dans la caverne ? De quoi bois était-il fait pour avoir surmonté ainsi le temps ? A moins que son matériau de construction ne soit différent… Il posait une énigme. Si elle n’était peut-être décisive tout de suite – mais cela n’était pas encore démontré – elle demeurait une source d’intérêt pour la suite. Il ne pouvait en être autrement. Une ancienne religion découverte à la Place du Martel… Les trois explorateurs ne pouvaient laisser le mystère planer indéfiniment. Il leur faudrait savoir. Pour autant, il leur faudrait se munir de maintes précautions lors de la manipulation de ce coffre. Un piège, au moins, pouvait y être dissimulé…

Les éléments métalliques introduits depuis le plafond pouvaient signifier plusieurs choses. Ils pouvaient vouloir dire que le responsable de Samalthia pensait avoir encombré tous les accès conduisant aux cavernes et qu’il lui fallait donc créer des orifices pour introduire quelque chose dans la grotte. S’agissait-il alors pour lui de faire entrer dans les souterrains des réservoirs de billes miniatures destinées à infester la mousse nouvelle créée par des vers finalement nullement mécaniques mais simplement aptes à produire une mousse particulière par leurs excréments… Ou alors, les capsules constituaient-elles des éléments de contrôle de ce qu’il se passait dans le lieu de production de la mousse ? Avec une « liaison » permettant à celui qui avait implémenter tout ceci de pouvoir savoir par un moyen encore à découvrir si les choses suivaient leur cours normal dans la grotte. Cette dernière hypothèse n’était pas à espérer.


Une chose était sûre : ces capsules ne pouvaient qu’être le fruit de l’imagination de celui qui les attendait à la Place du Martel. De celui qui prenait un malin plaisir à les analyser. A moins qu’il ne découvre les lanyshstas véritablement comme ces derniers le faisaient avec lui…

Le Lecteur s’avança tranquillement sur le chemin serpentant à travers les œufs. Jusqu’à atteindre les capsules. Son aptitude à se déplacer discrètement faisait merveille avec les vers. Et son adresse lui permettait d’éviter de frôler les œufs pour ne pas risquer de voir apparaître un nouveau ver adulte. Une fois parvenu près des éléments métalliques détonant dans l’atmosphère humide des souterrains de la Place du Martel, Kharib débuta une étude minutieuse de ceux-ci. Comment étaient-ils constitués ? Etaient-ils différents comme il le supposait de loin ? A quoi étaient-ils accrochés ? Quels enseignements tirer de leur forme ? Y avait-il des orifices ? Y avait-il des boutons ? L’étude empirique du fonctionnement des engins commençait, tout en prenant garde aux œufs environnants.

L’étude de la manifestation de la Place du Martel passait par des détours improbables. La dichotomie entre le coffre, ancien, sur de la mousse normale et les capsules, dernier cri, sur de la mousse mécanisée.

Le Lecteur fit parvenir une pensée à ses compagnons d’expédition. Elle n’allait pas être définitive dans la ligne des propositions qu’il ferait.


Pensée :
Il y a un coffre situé non loin de l’entrée de la grotte aux œufs, en face des vers. Il serait sans doute profitable que l’un de vous s’y intéresse.

Je vais vérifier de quoi il en retourne avec deux capsules métalliques que j’ai aperçues parmi les œufs.


C’était les deux éléments focalisant l’attention dans l’atmosphère viscérale des conduits enterrés sous la Place du Martel. Ne pas les examiner de plus près aurait été particulier. Ce faisant, ils poursuivraient les observations tout en avançant dans la réflexion en parallèle.

Mais il fallait bien le constater d’emblée : plus ils progressaient et plus le mystère, loin de voir un coin de son voile se lever, s’épaississait davantage.

Y avait-il une imbrication possible des éléments trouvés ici et même éventuellement de ce qui se trouvait dans la pièce au-dessus ? Autrement dit, existait-il un lien entre le culte inconnu et tout ce qu’il se passait alors sur et en-dessous de la Place du Martel ? Ou bien s’agissait-il de deux problématiques totalement distinctes ?

Dans l’esprit de Kharib, il était vain de vouloir combattre les vers directement. Tuer les cinq vers adultes était une chose, mais le fracas du combat provoquerait sans doute l’éclosion d’autres œufs. Il était ainsi apparu que les quelques coups reçus lorsqu’ils avaient découvert la caverne aux œufs avaient suffi à faire surgir un nouveau ver d’un œuf. Certes, de nouveaux coups avaient été échangés, mais plus loin, dans le couloir, près de l’escalier. La coïncidence était troublante. Trop troublante pour ne pas y prêter attention.

Mais il y avait des implications, si l’on attachait de l’importance à ce dernier constat. Il fallait pouvoir rester dissimulé en permanence dans la grotte aux œufs sous peine de recevoir un coup qui potentiellement pouvait provoquer l’éclosion d’un nouvel œuf, ou pire.

Une nouvelle idée germa dans l’esprit du Lecteur. Il était aussi intéressant de vérifier les composantes des vers tout en garantissant peu de mouvements brusques dans la caverne dans laquelle se trouvaient les œufs. Et une nouvelle pensée fut envoyée, plus clairvoyante que la première :


Pensée :
Stop. Il n’est peut-être pas souhaitable que vous entriez dans la caverne. Vous déclencheriez des attaques des deux vers ce qui pourrait engendrer l’éclosion de nouveaux vers. Par contre, il serait aussi intéressant de voir ce qui compose le ver qui vous a suivi dans le couloir et dont la mise à mort ne devrait pas troubler l’atmosphère, celui-ci se trouvant éloigné de la caverne.

De la sorte, je propose que je m’occupe de ce qui se trouve dans la caverne et vous trucidiez le ver. En l’ouvrant ensuite, nous pourrons peut-être en apprendre davantage sur le fonctionnement de la transformation de la mousse.


Ce plan lui paraissait le plus à même de répondre aux interrogations que le premier qu’il avait imaginé, compte-tenu des implications possibles et des éléments connus et inconnus.


UN, cela va. Deux, bonjour les dégâts.
 
Khan Thanal'ot
Assistant au Transfert d’Idée
Kil'dara  
Le Sukra 23 Manhur 815 à 14h53
 
Tout semblait assez rapide si bas sous terre. L’environnement était inconnu, il y avait ces vers, ces œufs et tellement de composantes à prendre en compte que le temps pour réfléchir semblait finalement assez court.

Alors qu’il reculait avec Rubus face à l’étrange vers qui semblait les avoir remarqué il observa le plafond et resta quelques secondes interrogatif devant le « mouvement » qui parcourait la mousse. Etrangement il n’y avait aucune trace de brume qui devait (d’après ce qu’ils en avaient déduit) provenir de la mousse mécanique.

Khan avait aussi aperçu l’étrange coffre de loin. Cet endroit devait jadis être un prolongement du lieu de culte plus haut mais la nature, ou plutôt les machines avaient pris le contrôle.

Le lanyshta tira son arme de son étui et enclencha le commutateur rotatif sur le côté. Se battre était une solution mais dans le cas présent il n’était pas d’avis que s’en était une bonne. Encore une fois il n’était pas d’accord, il y avait bien trop de risques à vouloir tenter de détruire une créature dont ils ignoraient tout alors que des centaines d’œufs risquaient d’éclore. Mais comme le coup de Rubus n’avait rien provoqué, peut-être ne communiquaient-elles pas entre elle comme les Lanyshtas le pouvaient.

Pensée :
Martel, tu vas trop loin. Nous ne maîtrisons pas la Korthomancie nous ne pouvons pas te rejoindre. Au moindre souci de ton côté face aux monstres ou face à ce que tu vas découvrir… tu seras seul et je ne donne pas cher de ta peau.
On doit trouver un moyen de progresser en éloignant les vers et avancer ensemble.

Le coffre que l’on peut voir semble immunisé face à ce qui ce passe. Il contient peut être quelque chose qui nous permettra de nous protéger. Le lieu de culte, plus haut est aussi complètement immunisé contre ce qui se passe à la surface mais aussi dans cette grotte.

Nous avons dû descendre trop vite et louper quelque chose.

Voyons si ce coffre est fermé. Si c’est le cas nous pourrions essayer de le crocheter ou de trouver la clef, plus haut.


Malheureusement face à la larve qui s’approchait il n’y avait pas énormément de solutions. Fuir ou combattre. Khan pointa son arme sur le monstre. Il l’avait vu en action, le combat allait être rude.

Pensée :
On est au moins d’accord sur la mort de celui-là.
Rubus tu es avec moi ?


Thanal’ot tendit son bras et fit apparaître une boule de feu en puisant dans son énergie magique et ses connaissances en Noxamancie. La boule de lumière flottait au-dessus de sa main et il orienta son bras vers le monstre.

Tenter de les repousser des larves par la lumière était une technique comme une autre. Il serait rapidement fixé.




Bats-toi pour ce en quoi tu crois, même si cela veut dire que tu dois combattre seul.
 
Khan Thanal'ot
Assistant au Transfert d’Idée
Kil'dara  
Le Dhiwara 24 Manhur 815 à 23h35
 
La boule de feu flottait toujours autour de sa paume. Le feu était fascinant, il était facile de se laisser envoûter par ses volutes dansantes. Khan observait le monstre à travers le feu, ces réactions lui avaient appris ce qu’il lui fallait.

Pensée :
Prêt Rubus ?


Le commutateur de son arme avait fini d’émettre ce sifflement particulier, le système énergétique était chargé, le lanyshta pouvait même sentir la crosse vibrer dans sa main. Les sourcils du Kildarien se froncèrent, concentré sur ce qui l’entourait, il ressentit cette sensation si familière. En un instant il redevenait le combattant, comme lors d’affrontements il eut un léger sourire.

Son doigt pressa la détente…

Le rayon partit en direction de la larve, traversant et brulant la chaire, créant immédiatement une réaction agressive. Elle était vive, meurtrière et Khan eut juste le temps de sauter sur le côté que le monstre chargeait sa position initiale. Le tireur roula dans la mousse, se réceptionna avec agilité et lança la boule de feu sur son adversaire. Il en créa ensuite plusieurs, alternant entre boules de feu et rayons. Il bombarda ainsi la larve en restant concentré, il y avait sa cible et il y avait lui.

Ils la voulaient morte et ils finiraient par y arriver.

La seconde charge fut malheureusement plus véloce que la première. Le monstre lui attrapa la jambe et il tomba brutalement au sol.
Une douleur violente lui secoua le corps comme une décharge de Noxamancie et il dut se retenir d’hurler en grognant de douleur.
Il avait été pris, elle n’allait pas le lâcher et il sentait le monstre lui avaler la jambe. Elle devait donc mourir rapidement ou elle prendrait trop le dessus. Sa secousse télépathique transmis toute la gravité de la situation.


Pensée :
Kil’déens !


Khan frappa de son poing la larve, déchargeant un éclair ocre le long de son bras qui explosa à la base de ses phalanges ce qui lui permit de retirer sa jambe sanglante.

Ses camarades allaient devoir vite intervenir, la créature était plus coriace que prévu et il allait avoir du mal a esquiver la prochaine attaque.




Bats-toi pour ce en quoi tu crois, même si cela veut dire que tu dois combattre seul.
 
Rubus Tectus
Travailleur
Kil'dé  
Le Dhiwara 24 Manhur 815 à 23h52
 
***
Rubus vint au secours de son camarade. Prenant son courage et son fléau à 2 main, il assena un coup sur ce qui semblait être la tête du monstre dans l'objectif de l’assommer. Mais bon, le coup était maladroit, trop lent parce que Rubus se retenait pour être sur de ne pas toucher son camarade et la larve esquiva son coup... fort heureusement en relâchant Nashoba.
La suite du combat fut confuse, Rubus voulu taper sur la larve, mais son coup frappa une masse de chair déjà morte car...
***



Un ce n'est pas bien, deux c'est dangereux, trois ça suffit pas... mais presque.
 
Kharib
Lecteur
Kil'dé  
Le Luang 25 Manhur 815 à 08h57
 
L'union faisait la force, selon l'adage. En l'espèce, rien n'était sûr. Valait-il mieux être seul au milieu de centaines de vers potentiels, mais dissimulé habilement, ou rester groupé en étant certain d'être repéré et attirer ainsi l’attention et les attaques des vers?

Après avoir inspecté les capsules, Kharib, à l’appel de Nashoba, s’en revint, calme mais décidé, dans le boyau d’accès à la grotte aux œufs. En effet, il était par contre certain que l’union faisait la force dans le cas d’un combat visant à éliminer la bestiole qui hantait désormais le chemin permettant l’accès à l’excavation centrale.

Il s’était engouffré dans le conduit depuis un petit moment. C’est alors que les bruissements du ver furent audibles sans confusion possible avec ceux des larves présentes dans la caverne aux œufs. Des bruits de combat y étaient mêlés.

Nanti d’une protection magique, il ne se départit pas de son sang-froid et s’approcha tranquillement. Les détonations de l’arme de Khan Thanal’ot furent perceptibles. Hâtant le pas, sûr de ses capacités, il sortit son arme de derrière son dos, s’interrompit sa marche à la distance la plus favorable en la circonstance, visa et, sans quitter son ombre, tira en visant les points vitaux et les points apparaissant les plus faibles de la créature jusqu’à ce que le monstre ne s’écroule sur lui-même. Fort, heureusement, cela ne tarda pas à se produire. Qui sait ce qu'il serait advenu dans le cas contraire, car la bête régénérait de ses blessures à une vitesse affolante. Puis, le silence se fit dans le boyau.

Clac – Clac

Son arme était à nouveau prête à servir. Il pivota pour écouter ce qu’il se passait dans la chambre aux œufs, puis il sortit une dague afin d’ouvrir les entrailles du monstre larvé étendu à leurs pieds. Il digérait la mousse de façon trop particulière pour ne pas susciter l’intérêt du Lecteur. Qu’avait-il donc dans l’estomac ou l’intestin pour produire des excréments aussi spécifiques?



UN, cela va. Deux, bonjour les dégâts.
 
Rubus Tectus
Travailleur
Kil'dé  
Le Julung 28 Manhur 815 à 11h38
 
***
Pendant que son ami ouvrait la bête, Rubus se soigna magiquement, repris son souffle, et alla vérifier que les œufs ne s'étaient pas ouvert. Après un rapide coup d’œil qui lui permis de confirmer l'absence d'éclosion, il décida de jouer au toréro avec les vers. Apparemment, lorsque les vers sont suffisamment loin des œufs, ceux ci ne sont pas affecté par la mort des vers. Donc le but est d'attirer les vers un a un en les séparant et ensuite de tomber à 3 contre un contre le ver qu'on a séparé des autres.
Rubus n'avait pas vraiment consulté ses camarades avant de prendre cette décision, mais Martel semblait en forme et Nashoba s'était reposé en même temps que lui. Rubus les estimait donc assez en forme pour repartir à l'assaut, et une fois que les vers seront loin du coffre Rubus pourrait prendre son temps pour essayer de le crocheter. ça faisait longtemps qu'il n'avait pas pratiqué, par conséquent il ne voulait pas avoir à se soucier des vers pendant sa tentative.
Remarque peut être qu'ils remonteraient dans la salle de cérémonie pour voir si ils ne trouvaient pas la clef. Dans tous les cas, ce serait mieux qu'il n'y ait pas de vers au moment pour tenter d'ouvrir le coffre avec une clef qui peut ne pas être la bonne.
***



Un ce n'est pas bien, deux c'est dangereux, trois ça suffit pas... mais presque.
 
Kharib
Lecteur
Kil'dé  
Le Julung 28 Manhur 815 à 22h09
 
Les deux autres vers qui se trouvaient dans la grotte aux œufs, de même que les deux situés au-delà, dans le couloir opposé, n’avaient pas réagi au combat et à la mort de leur congénère. Et de surcroit, les œufs n’avaient pas marqué de changement, n’engendrant aucune nouvelle créature. L’intervention était donc passée incognito.

L’autopsie de la larve immonde devait révéler son mystère, du moins en partie. Le Lecteur imaginait bien que quelque chose n’était pas organique dans ces vers. Mais trouver, dans le tube digestif, un petit filtre métallique pour tout composant inorganique était pour le moins surprenant. Par ailleurs, comme cet élément avait-il été introduit à cet endroit depuis l’intérieur de l’œuf ? En effet, les trois explorateurs avaient vu la larve sortir de l’œuf, puis suivre Rubus et Nashoba dans le couloir. Aucun changement n’avait pu intervenir après la naissance du ver. Le filtre avait donc dû être posé en amont, dans l’œuf !


Est-ce qu’une explication à ce phénomène résidait dans la présence des deux capsules en métal enfoncées dans la mousse ? Lors de son analyse de celles-ci, longues de 75 centimètres pour 20 centimètres de diamètre, elles lui avaient semblé résistantes. Elles étaient ouvertes et étaient manifestement vides... Le contenu avait bien du se répandre dans la caverne d’une quelconque manière...

Kharib rangea le filtre récupéré sur la créature dans son sac, après avoir pris le soin de l’emballer dans un bout de tissu.


Pensée :
Est-ce que l’on attire les deux autres dans le boyau pour leur faire subir le même sort ? Ainsi vous pourriez accéder à la grotte sans encombre…


La proposition permettait de débarrasser la caverne des deux bestioles encore vivantes. Ensuite, il serait possible d’œuvrer plus tranquillement. Du moins, pour ses compagnons, car Le Lecteur s’était parfaitement acclimaté au fait d’être dans le même endroit que les deux vers très très immondes.

Parce que le coffre ancien attirait les regards et que tous les trois étaient d’avis que son contenu était source potentielle d’aide dans la situation dans laquelle ils se trouvaient. L’espoir placé en cette aide hypothétique était différent chez les trois lanyshstas, mais ils convenaient qu’il eût été abscons de ne pas s’intéresser à ce coffre.

Et sans vers dans la grotte – ni dans la pomme -, la circulation de Rubus Tectus et celle de Khan Thanal’ot en serait grandement facilitée. Et ils savaient qu’à plusieurs, ils pouvaient vaincre les monstres attaqués individuellement.



UN, cela va. Deux, bonjour les dégâts.
 
Rubus Tectus
Travailleur
Kil'dé  
Le Julung 28 Manhur 815 à 22h56
 
Pensée :
J'ai déjà commencé à attirer un ver pendant que tu trifouillais dans les entrailles du précédent. Tenez vous prêt, il arrive. Par contre je n'ai plus mon fléau, un mauvais réflexe m'a fait rater ma parade, ou pour être plus précis le coup a été paré mais a cassé les chaînes de mon fléau et il est irréparable. Ne vous en faites pas, je serais plus efficace avec nos pouvoir pour attaquer, par contre je suis moins bon en défense.


***
Quelques dizaines de secondes après, Rubus déboulait dans le couloir poursuivi par un ver très très immonde très très en colère. La 2éme bataille allait pouvoir commencer.
***



Un ce n'est pas bien, deux c'est dangereux, trois ça suffit pas... mais presque.
 
Kharib
Lecteur
Kil'dé  
Le Dhiwara 31 Manhur 815 à 09h44
 
Rubus jouait les appâts. La coutume était inversée. C’était le lanshsta qui appâtait le ver. Et ce dernier avait mordu à l’hameçon… Il s’agissait de se préparer à recevoir la bestiole de sorte qu’elle ne soit pas déçue du voyage. Le Lecteur reprit position dans une anfractuosité de la paroi rocheuse. Il rechargea son arme, trouva une position confortable pour intervenir et attendit tranquillement que la deuxième larve fasse son apparition à la suite de Rubus.

C’est pendant ces quelques instants, qu’il perçut les messages de guerre envoyées par Jade sur les Entrelacs. Des cartes géographiques. Nombreuses. Des positions. Tout aussi nombreuses. Il chercha à voir s’il y avait une mention spéciale sur ces cartes concernant la Place du Martel, voir même si l’endroit dans lequel ils se trouvaient connaissait une appellation particulière ou était marqué par signe différent.

L’attente parut interminable, l’esprit occupé à effectuer des calculs et des recoupements entre les cartes. Mais tout devait se faire rapidement. Il n’y avait pas de temps à perdre. Les éléments s’enchaînaient. Et ils n’allaient pas tous dans le sens désiré. Il fallait pouvoir inverser la tendance.

Il répondit finalement à l'appât:


Pensée :
Nous t'attendons avec ton paquet.



UN, cela va. Deux, bonjour les dégâts.
 
Rubus Tectus
Travailleur
Kil'dé  
Le Dhiwara 31 Manhur 815 à 10h10
 
***
Pendant que ses camarades se préparaient, Rubus faisait donc l'appât. Le problème c'est que le ver c'est comme un âne, de temps en temps il refuse d'avancer. Dans ces moments là Rubus en profitait pour se soigner avec ses pouvoirs Lanystha, se reposer un peu, puis se rapprocher à nouveau du ver qui se ruait vers lui assez souvent en réussissant à le blesser un peu.

Rubus rejoint donc ses camarades légèrement blessé mais prêt à se retourner pour agir.
Cependant avant de se retourner, il rejoint Nashoba, et tenta dans l'urgence de lancer sur son arme un sort d'aura de puissance. Malheureusement Rubus n'était pas encore assez bon pour réussir ce sort dans l'urgence et le ver avança jusqu'à Martel. Fort heureusement sans le voir, mais la portée de son arme ne serait pas optimale si il ne se déplaçait pas. Rubus s'attendait cependant à ce qu'il profite du début du combat et de l'inattention du ver pour se déplacer à bonne portée.
***



Un ce n'est pas bien, deux c'est dangereux, trois ça suffit pas... mais presque.
 
Khan Thanal'ot
Assistant au Transfert d’Idée
Kil'dara  
Le Dhiwara 31 Manhur 815 à 21h22
 
La première attaque s’était terminée rapidement après la blessure de Khan, lui permettant d’éviter d’autres entailles plus sévères. Le lanyshta se redressa sur ses jambes non sans mal mais des filaments blancs commençaient déjà à parcourir sa jambe et sa plaie refermant petit à petit ce qui saignait quelque secondes plus tôt.

Pensée :
Bon travail
lança-t-il dans une pensée légèrement teinté de gratitude.

Kharib commença alors à ouvrir le monstre pour en ressortir quelque chose, une sorte de tube ? L’objet était plutôt étrange et devait être à la base de la transformation de la mousse mais aussi de la création de tous les petites machines qu’ils avaient observés auparavant. Jeter un œil à cet objet leur en apprendrait sans doute davantage sur leurs ennemis ou en tout cas sur leurs manières de procéder.

Thanal’ot tourna la tête devant Kharib qui empestait et resta un instant à observer Rubus.
Le Kil’déen ramenait un autre vers. Un autre vers ? Déjà ?

Si les œufs n’avaient pas éclos alors oui, ils pourraient les détruire un par un mais le délai de récupération était assez cours surtout qu’il n’y avait sur ce coup pas eu de communication.
Khan poussa un léger grognement de désaccord lorsque son camarade revint pour tenter de lui lancer un sort et utilisa ses propres pouvoirs pour fermer définitivement sa plaie.

Il tira ensuite son deuxième revolver à plusieurs canons et se prépara à la nouvelle attaque.





Bats-toi pour ce en quoi tu crois, même si cela veut dire que tu dois combattre seul.
 
Kharib
Lecteur
Kil'dé  
Le Luang 1 Jayar 815 à 20h57
 
Les pas de Rubus approchaient dans le boyau. La bestiole glissait sur ses talons. Kharib était prêt. Son arme pointée dans la direction de la grotte. Et ils surgirent. Tous les deux. Rubus en tête, poursuivi par le ver. Sans doute surpris, ce dernier reçu un accueil soigné qui ne lui laissa que peu l’opportunité de répondre. Du moins du point de vue du Lecteur. Il faut dire que rater le ver dans le boyau caverneux aurait été comparable à louper un éléphant dans un couloir. Partant, le combat se devait d’être aussi bref qu’intense. A n’en pas douter, peu de temps après, la bête serait gisante. Calmement et posément, l’encapuchonné enchaînait les tirs avec la régularité d’un métronome, ne parvenant toutefois pas (encore) à trouver l’endroit idéal à viser sur le corps du ver pour le terrasser plus rapidement. Sa dernière attaque laissa pourtant la créature au seuil de la mort. Il n’en faudrait plus trop pour parvenir à la tuer.

Pourtant, Kharib était agacé. D’ailleurs, peut-être était-ce pour cela qu’il n’avait pas achevé la créature. Un autre combat avait été dévoilé sur les Entrelacs. A cela, il était toutefois préparé depuis un certain temps. Par contre, des menaces avaient désormais été proférées sur les mêmes Entrelacs, ne laissant que peu de doute sur les intentions de leur auteur. Ce qui était à la fois piquant et comique, c’était que ce dernier agissait en tous points de la façon qu’il reprochait. Terminer quelque chose, puis fournir un rapport. Or, l’expédition de la Place du Martel n’était pas terminée…

En outre, pour l’instant, il ne saurait pas véritablement quoi rapporter, à part des éléments descriptifs. Plus d’interrogations et d’incertitudes que de réponses et de certitudes. Mais il ambitionnait de pouvoir répondre à ces dernières bientôt, du moins en partie.



UN, cela va. Deux, bonjour les dégâts.
 
Khan Thanal'ot
Assistant au Transfert d’Idée
Kil'dara  
Le Luang 1 Jayar 815 à 23h29
 
La deuxième larve était là, le combat débutait. Dans son coin, Martel tira sur le monstre alors que Khan se dégageait assez d’espace pour faire pareil.

Soudain les entrelacs s’animèrent déversant de nombreuses images dans son esprit. Thanal’ot songea d’abord à se couper de l’afflux puis devant les mots et la possible urgence accepta le visionnage. C’était soudain et brouillon, une annonce alarmante, étrange et difficile à croire. Les trois Lanyshta avaient quelques choses d’important à faire ici aussi et cette guerre attendrait.

Rubus à ses côtés, il enclencha tout de même les gâchettes de ses deux armes pour détruire son adversaire. Les balles et les rayons percèrent les tissus de la larve mais le lanystha devait constamment se déplacer pour éviter de se retrouver face à Kharib ou Rubus ce qui limita son efficacité.

Les canons de son arme tournaient les unes à la suite des autres après avoir fait feu. Techniquement, il pouvait tirer plusieurs balles sans recharger et compensait le temps de rechargement par la libération de la cellule énergétique de son autre arme qui le couvrait pendant un court laps de temps.

Sous le feu des armes et les coups, la larve finit par se tortiller dans tous les sens avant de s’immobiliser.

Une seconde plus tard l’esprit du Kil’darien n’était plus présent. Il était occupé à contacter une personne plus ancienne mais aussi moins joignable qui aurait peut-être des informations sur la situation à venir





Bats-toi pour ce en quoi tu crois, même si cela veut dire que tu dois combattre seul.
 
Rubus Tectus
Travailleur
Kil'dé  
Le Matal 2 Jayar 815 à 09h47
 
***
Alors que le combat se terminait, Rubus entendait encore comme un bruit de larve qui se rapprochait. Un peu plus lointain, mais il n'y avais pas de doute. Rubus jeta un coup d’œil, la 3éme et dernière larve parmi les 3 qu'il avais vu au début dans la salle des œufs l'avait suivi aussi, heureusement de plus loin. Si on restait loin d'elle, à sa façon de chercher comme si elle était désorienté, Rubus estimait que l'on avais au moins 2 minutes de repos avant qu'elle n'arrive. Ce sera toujours ça :
***


Pensée :
Bon on n'a que quelques minutes pour souffler; je viens de voir la 3éme larve dans le couloir. Elle a du me suivre aussi mais avance lentement comme si elle faisait bien attention à son entourage. Donc soufflez mais tenez vous prêt.


***
pendant que ses camarades se reposaient, Rubus pris le temps de se concentrer et lança un sort d'aura de puissance sur l'arme de Martel. Avec ce sort Martel, qui est déjà le plus efficace des 3, allait probablement être capable de tuer une larve seul et sans aide.
***


Pensée :
J'ai renforcé l'arme de Martel, dès qu'il est reposé on peut retenter un assaut sur la dernière larve. Après il n'y a plus qu'à implorer Scylla pour que les autres œufs n'aient pas éclos et qu'on puisse examiner le coffre tranquillement.



Un ce n'est pas bien, deux c'est dangereux, trois ça suffit pas... mais presque.
 
Kharib
Lecteur
Kil'dé  
Le Matal 2 Jayar 815 à 20h46
 
Pensée :
Bien joué
, lança-t-il simplement à celui qui avait achevé la bête. Il n’en restait qu’une désormais parmi celles qui se trouvaient dans la caverne principale. Il fallait donc encore attirer celle-ci dans le boyau et s’en débarrasser à l’abri du regard des œufs [sic] afin de permettre à Rubus et Nashoba de pouvoir pénétrer dans la grotte sans être harcelés de coups par les vers adultes. Mais à quoi pensait-il? Bien entendu Rubus, l'appât en chef, avait déjà trouvé le moyen de faire venir la larve.

Il se prépara calmement. Il remercia Rubus pour son sortilège. Et attendit que la créature ne débouche dans le boyau.

Il s’adressa à ses compagnons :


Pensée :
A la dernière maintenant !


Le thème était lancé. L’action suivrait.


UN, cela va. Deux, bonjour les dégâts.
 
Kharib
Lecteur
Kil'dé  
Le Julung 4 Jayar 815 à 21h50
 
Le combat débuta lors que le ver fit son apparition au détour de la pierre. Fort des deux succès initiaux, le Lecteur partait du principe que l’action serait brève. Il dût déchanter. Alors qu’il lui paraissait impossible, au vu des deux premières batailles, de manquer la larve dans le couloir, plusieurs de ses balles ricochaient sur les parois sans le toucher. C’était tout simplement incompréhensible. Au final, il dût reprendre son souffle sans que l’un des trois compagnons n’ait pu achever la créature pourtant au seuil de la mort. Il n’aurait fallu qu’une entaille pour la faire passer de vie à trépas, mais tous semblaient n’avoir plus la force de dessiner cette entaille sur le corps de la bête. Ils reculèrent l’espace d’un instant. Le ver ne les poursuivit pas, se contentant de panser ses plaies dans l’immédiat. Cependant, comme quelqu’un le dira dans un autre temps sous d’autres cieux, Kharib lâcha mentalement :

Pensée :
Je reviendrai.


La bestiole était-elle plus fortes que ses congénères précédents ? Nul ne le saura. Le second assaut, qui eût lieu rapidement après le premier fût déterminant. La créature, pourtant complètement régénérée de la première salve, expira son dernier souffle. Aucune chance ne lui fut laissée. L’attaque fut soudaine et impitoyable. Aidé par le sortilège de Rubus, Kharib montra la voie. Les balles s’enfilaient dans les replis du ver telles des perles sur un collier. Parvenu une seconde fois au seuil de la mort, le ver se fit l’auteur d’un chant du cygne, évitant deux balles qui prenaient la direction de sa tête pour lui donner le coup de grâce. Surpris, le lecteur s’interrompit. C’était alors au tour de Nashoba d’entrer en scène pour abréger les souffrances de la bête. Désormais, il restait les trois explorateurs, le coffre, les œufs et les deux vers au-delà de la grotte aux œufs.


UN, cela va. Deux, bonjour les dégâts.
 
Rubus Tectus
Travailleur
Kil'dé  
Le Julung 4 Jayar 815 à 22h02
 
***
Sous réserve bien sur qu'il n'y ait pas eu d'autres éclosion, mais la première mort d'un ver n'avait pas produit de remplaçant et le groupe espérait bien que ça ait continué.
Puisqu'ils étaient tous regroupés près de l'escalier, Rubus proposa qu'ils montent chercher si ils trouvaient la clef du coffre.
***


Pensée :
Je vous propose que j'aille au coffre, je regarde la forme de la serrure et je vous l'envoie télépathiquement. Je vérifie aussi si le coffre est ouvert. Pendant ce temps, vous montez à l'étage et cherchez si vous trouvez quelque chose qui ressemble à une clef. Naturellement si il y a eu des éclosions je vous préviens aussitôt et vous rappliquez pendant que les nouvelles larves me poursuivent.



Un ce n'est pas bien, deux c'est dangereux, trois ça suffit pas... mais presque.
 
Khan Thanal'ot
Assistant au Transfert d’Idée
Kil'dara  
Le Julung 4 Jayar 815 à 22h54
 
Les mains fumantes après avoir carbonisé partiellement la dernière larve, Khan se sent vidé de ses pouvoirs magiques. Cet état était assez rare depuis sa transformation mais lui rappelait bien ses limites.

Thanal’ot expire lentement, il n’y a plus aucun bruit autour de lui. Les larves semblent avoir été toutes exterminée et les œufs intacts. Une victoire pour le trio de mutant. Le Kildarien tire son couteau, s’avance pour dépecer les deux autres cadavres à la recherche de ces fameux tubes qu’il a hâte d’observer de plus prêt.


Premier coup de couteau à travers les tissus brulés.

Pensée :
On peut faire comme ça, oui. Je récupère les tubes et je monte voir ce que je trouve à l’étage.


Deuxième coup qui découpe la peau en descendant.

Pensée :
Attention aux oeufs camarades.
Nous avons fait du bon boulot avec nos ennemis ce n’est pas le moment de faire trop de bruit.


Troisième coup net puis, après s’être retroussé la manche, il plonge son bras dans les boyaux sanglants.

Pensée :
Est-ce qu’on a des inscriptions sur le coffre ?
Il a sans aucun doute un rapport avec la salle de prière au-dessus. Et pour les ca-


Son poing se referme et il tire d’un coup net le tube qui empeste qu’il enroule dans ce qu’il lui reste de linge.

Pensée :
Les capsules… On a quoi ?


Le Lanyshta fait la même chose pour la dernière larve, prend le temps de retirer le troisième tube puis tout en secouant son bras pour le débarrasser des morceaux s’avance vers les escaliers.

Pensée :
Martel, tu m’accompagnes ?




Bats-toi pour ce en quoi tu crois, même si cela veut dire que tu dois combattre seul.

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