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Martel, Le Retour
Retour de Rubus, Martel et Nashoba à la place du martel |
Rubus Tectus
Travailleur
Kil'dé
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Le Vayang 12 Jayar 815 à 23h53 |
Rubus n'était pas loin en fait, occupé à examiner les lieux discrètement pour voir si on pouvait partir ou si un autre danger les attendais. Tout semblait calme aussi répondit il :
Pensée :Merde, c'était un bon camarade. Paix à son âme. Je suis très proche de la sortie en fait. Je vérifiais que rien ne bouge à proximité mais c'est bon on va pouvoir partir tranquillement.
Qu'y avait il dans le coffre ? |
Un ce n'est pas bien, deux c'est dangereux, trois ça suffit pas... mais presque. |
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Le Sukra 13 Jayar 815 à 13h42 |
Le Lecteur avait pris soin d'ancrer le lieu dans lequel se trouvait le puit et le chemin à effectuer pour le rejoindre. La réaction de Rubus était prévisible. Comment aurait-il pu réagir autrement? Oui, Nashoba était un maillon de l'équipe. Celle-ci, réduite au minimum, était composée de lanyshstas complémentaires aussi bien dans leur orientation que leurs aspirations et leur maîtrise de la sorcellerie. Cela permettait de couvrir beaucoup de situations différentes.
En l'occurence, auraient-ils pu parvenir à sortir tous indemnes de l'antre des vers biomécaniques? Le korthomancien repensait les choix effectués, les évolutions prévoquées, l'enchaînement des actions. Pour l'heure, la sensation d'échec demeurait.
Pensée :Nous le retrouverons au Kil'dé. C'est le propre des lanyshstas que de renaître après la mort ainsi que Klem l'avait expliqué lors de notre première venue en ces lieux. Aussi, rejoignons le quartier afin de discuter du vécu récent.
Le coffre contient un corps désseché qu'il n'a pas été possible de hisser par le conduit sans le rompre. Je l'ai donc laissé sur place après avoir refermé le coffre. |
UN, cela va. Deux, bonjour les dégâts. |
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Le Luang 15 Jayar 815 à 21h08 |
C’est sur ces mots télépathiques qu’ils quittèrent la Place du Martel telle qu’elle était lorsqu’ils étaient revenus : revêtue d’une fine couche de brume et peuplée de Pest’hilents heureusement amorphes.
Auparavant, le Lecteur avait pris soin de noter l’emplacement du puit et les accès possibles à ce dernier, le terrain aux alentours, la nature du sol, la description du puit. Ils devraient imaginer un plan pour revenir sur place. Il importait donc de connaître les éléments existants à ce titre.
Parce qu’ils reviendraient, oui. Ils ne pouvaient faire autrement. Il y avait encore un cadavre caché dans un coffre sous la Place du Martel…
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UN, cela va. Deux, bonjour les dégâts. |
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