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J'étais du vent
La Cendre m'a habillée
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Julung 21 Jangur 816 à 23h33
 
*** Je suis née jolie. J'ai eu droit à tous les sourires bienveillants, extasiés ou admirateur. Quelques mines inquiètes parfois, la protection n'est pas aussi présentable que l'intention. Même mon père, l'ours mal léché de la famille, en activité à ce moment là, m'admirait heureux quand il se croyait à l'abri des regards. Ma grand sœur faisait toujours ses caprices et ses actes de régressions ridicules quand elle me voyait pas. Et je ne sais plus quelle vieille grincheuse ne parlait jamais quand j'étais dans ses bras. Mon père lui parlait, quand on était tout les deux, j'ai rien contre, je préfère les femmes quand même. Elles ont du lait, il parait que les hommes aussi peuvent, mais qu'il faut des stimulations régulières, jamais croisé quiconque qui m'a confirmé cela.
Je suis née jolie, je le suis restée longtemps, pour le moment c'est long, un jours se sera peut-être dérisoire. Les années ne m'ont pas fait grand choses, à part des envieuses. Les années ont juste grossie le rang de celles qui me mettaient en garde contre les ans. Elles se sont trompée, elles ne sont plus envieuses. De moi du moins. C'est la maladie qui m'a enlaidie, peut-être aussi les soins, mais qu'importe. Même dans ma demi-conscience sous traitement expérimentale je voyais que ce n'est pas les années non plus qui m'ont isolé, qui m'ont massacré. Non, pas à ce moment là. Elles ont fait un travail un peu près similaire, mais quand j'étais déjà ravagé, quand il n'y avait plus personne pour enfoncer le couteau dans la plaie, plus de couteaux assez grand. Mes souvenirs les ont bien aidées. Mais une personne seule, ou en groupe, n'a pas besoin d'année, pour m'atteindre, ou au contraire, m'oublier.
Je ne peux même pas prendre la place de vieille grincheuse, je ne râle pas aussi, j'ai un râle horrible, mais même moi je ne le supporte pas. Je le traite comme n'importe qui avec moi. Je ne le connais pas, je ne sais pas qu'il existe, je n'y pense pas. Presque, presque, puisque aujourd'hui je me détruit, aujourd'hui je recommence ce qui n'a pas marché hier. Je suis toujours debout. C'est un travaille de longue halène, qui demande des efforts, une motivation, une endurance monumentale. J'ai ça. J'ai ça, mais je n'avance pas, je m'embourbe, je me perds. Le protocole n'est pas plein de méandres, il n'y a pas de trompe l’œil, je n'ai pas d'illusion, les mirages c'est pas mon truc. C'est mon chemin, il rude, il est douloureux, c'est le pire, je le prend de plein gré, libre et convaincu.
Depuis des mois j'avais le rythme, depuis des mois j'avançais. Je fais un pas chaque jour, chaque jour plus grand, je m'enfonçais dans le sable mouvant plus profondément. Sans jamais reculé j'allais du chemin le plus long vers le centre. Pourtant aujourd'hui j'ai l'esprit clair, j'ai la pensée limpide, je vois, je sens, tous se vide, qui m'entour, qui me suit. Aujourd'hui, ce n'était pas un cauchemars comme les autres. Aujourd'hui, point de remords, point de souvenirs qui rongent, de haine et de chutes. Aujourd'hui une voix puissante a dissipé mes entraves. Une voix fortes a apaisé le capharnaüm que je charge tous les jours sur mes épaules et ma conscience. Ce n'est pas de la tendresse, ce n'est pas une incitation ou une injonction. Une cure.
Je me suis regardé, je le fais chaque jour sans fautes, c'est un rituel, c'est important les repères. Je me suis regardé, j'étais belle, j'étais salles comme hier, un peu près. Mes mains usées, mon visage n'a pas retrouvé sa splendeur, mes membres ne sont pas moins noueux, ma peaux n'est pas plus douce. Vergetures et cicatrices ne m'ont pas données la même impression, ce n'était pas de la fierté. Une satisfaction, incompréhensible, du vécu, de l'accompli. Je suis perdue d'une nouvelle manière. C'est plutôt inédit et mal venu, enfin je me trouvais bien avancé dans ma direction précédente. S'il faut refaire mon orientation je sens les chamboulement. Ho, je sens du monde, une petite foule, ça me rappel mon heure de gloire, c'était éphémère et truqué. J'y referais bien un tour si je pouvais, pas long.
Il est tôt, normalement je tiens jusqu'au soir sans m'en rendre compte à ressasser. Va falloir me trouver une occupation, sinon ça va être long. ***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Sukra 23 Jangur 816 à 12h05
 
*** Je suis née liée. Je suis née corrélée. Je bouge, je parle ou je reste immobile et cela entraine des répercussions. Réciproquement je bouge, je parle ou reste statique si les conditions sont réunies. Je voudrais dire qu'il n'est pas question d'en faire à sa tête, mais ce serait faux. La tête elle assimile, elle observe et elle sait comment réagir. Elle ne te dit pas tout, le nécessaire, elle t'oriente, elle tend elle aussi à la survit. Il y a le temps des essais, des découvertes et des tentatives. Il est n'est pas fixe, il peut s'étioler, mais toujours il faiblit, il s'efface. Est-ce une mauvaise chose ? Je garde ma mains pour un autre occasion. L'apprentissage n'est pas éternel. Bien sûr il y a de nouveaux domaine, mais c'est une autre salle de classe. Une fois qu'on n'a les base il faut sortir, il faut avancer. Avant de pouvoir lever la tête il faut parcourir un long chemin, il faut connaitre tous les rouages, les faire siens. Il faut l'intégrer, il faut s'intégrer, il ne faut faire qu'un avec celui qu'on vaut dominer. Alors seulement on peut peut se l'approprier, le modifier -un peu, prendre de la hauteur -pas trop on se verrait comme nos prédécesseurs comme ce qu'on veut vraiment changer.
Je suis née liée à mon environnement. Pas besoin de chercher loin, c'est simple. Je suis née liée et je me suis liée. Je suis née sur une toile, elle s'est développée, je l'ai huilée. C'est un mécanisme complexe, en expansion, qui ne s'est jamais arrêté et qui est trop précieux pour être abandonné. Trop précieux et trop robuste, il se propage, il s'incruste partout, il tournerait même avec un survivant pendant des années.
Je suis née liée mais j'ai vite appris à aimer ses liens. Certains voient des chaines lourdes, solides et résistantes. Moi je vois des rênes, souple, réactifs, je les tiens et ils me tirent. Ils changent parfois, devenant les anneaux d'une cote de mailles, des lianes pour traverser des fleuves tumultueux, de la laines pour tenir chaud ou des fils de soies pour une parure éblouissante. Nous sommes libres, tant que nous choisissons ce qui est disponible Et ne cherchez pas l’embarra du choix, nous ne savons pas le gérer, il nous perd, nous embrouille. Enfin je ne juge pas, je naviguais dans les obligations, jamais je ne choisissais une destination, mon influence était discrète, mais où que j'aille je faisais mon nid, j'appréciais ma marque que seule moi voyait. La liberté est personnel si jamais elle existe, elle se cantonne à notre esprit. Si certains préfères tenir la barre et sentir le vent de plein fouet en pleine face, lui tenir tête et garder le cap, je comprends. Chacun ses illusions, j'aime pas trop les naufrages, je préfère les ensevelissement.
Je suis née liée et quand on m'a lâchée, alors que je pouvais tout dire, tout faire, j'ai rien fais. J'étais seule, parler ne sert alors plus à rien. Agir n'a que peu d'intérêt aussi. La solitude c'est bon quand elle est passagère. S'abonnir, survivre, apprendre est futile quand il n'y a pas de relève. C'est l'essence même de la liberté : la futilité. Rien n'est interdit s'il n'y a aucune conséquence. Juste du ressenti instantané, passagé, qui n'a de valeur que par le passé, passé qui serait révolu et introuvable.
La voix m'a dégagée de mon aura oppressante, elle a balayé ce qui me hantait. Elle m'a aussi projetée, plaquée contre un mur. Je suis cerné, j'ai de nouveaux des contraintes, j'ai à nouveaux des menaces, il y a des règles, il y a des oppresseurs, il y a tous ce qu'il faut pour me pourrir la vie. Je suis rouillée, mais je n'aurais pas gagné contre moi, c'est pour ça que j'ai baissé les bras. Là ils sont nombreux, là ils sont vicieux, ils sont forts, forts et faibles, cela va de paire. Ils ont peur, ils ont tant à protéger, je les aimes, c'était moi il y a quelques années, ils vont souffrir, ils vont aimer, si les lassos, les hameçons, les menottes et les gants de dentelles m'attrapent.
Je suis née liée, quand je mourrais les liens claqueront, ils seront nombreux et tendus. ***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Luang 25 Jangur 816 à 18h54
 
*** Je suis née innocente. Vraiment ? C'est ce qu'on dit pourtant. Faut-il le croire, je ne sais. Ce que je sais, c'est que quand j'ai compris ce qu'était l'innocence, je ne l'était plus. En même temps, peut-on assimiler cette notion en l'étant, en le restant ? J'ai un doute que je me garderais bien de dissiper. J'aime l'innocence. Je m'y retrouve pas, ou par petit morceau, je n'y retrouve personne d'ailleurs. C'est une illusion don l'idéal est tellement charmant qu'il m'a longtemps fait rêvé, mais plus que la réalité c'est les tentatives de l'incarner qui m'on dégoûtées. Une insulte à beaucoup de monde, mais bon ça court les rues, mais une insulte à l'essence même de ce qu'ils voulaient utiliser, grotesque.
Je suis née innocente va-t-on dire, je me souviens pas d'un attrait particulier pour le cruel, ni pour le mensonge. La vérité est tellement plus puissante, la raison est tellement plus dévastatrice. Moins facile à manipuler, il est vrai, enfin le doigté n'est pas une justification pour les faibles. Même si j'avais un gros calibre je m'en servait avec parcimonie et bon escient. Mais c'est encore bien trop pour pouvoir porter l'innocence en écharpe et fourrer son nez dedans la conscience tranquille. Terrassé par la maladie et les mauvais traitement je n'ai pas changé d'avis, qui pourrait ? Je l'envie d'un certain coté, ce doit être agréable, niveau estime de soi. Pour le reste c'est sûrement pas terrible terrible, je sais pas si y a un pire.
Je suis née innocente, j'ai été condamné, sûrement pas pour les raisons que j'ai en tête, qui s'en soucis, j'ai fait ma peine.
J'ai accumulé des rancœurs et des ribambelles de ses sœurs, je les gardes pour moi. Ne vous inquiétez pas, si je ne les avais pas ça ne changerait pas. J'ai toujours été le premier de mes soucis, j'ai toujours servi ma personne, sur le long terme et on s'est toujours servit de moi. On avance plus vite à plusieurs. On avance plus vite, mais on peut toujours tomber et se faire écraser.
Je ne prendrais pas la même position, je ne peux plus, mais elle ne sera pas beaucoup moins confortable.
C'est bon ces promesse, ces rêves. Il faut que j'arrive à me convaincre. ***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Sukra 30 Jangur 816 à 18h47
 
*** Je suis née couverte de sang dit-on. Pas souvent, on m'a vite nettoyée, l'on m'a exposée qu'après quelques préparations. La propreté a bon dos, elle n'est pas vraiment poursuivie, si ce n'est pas quelques obsédés. Elle est comme tant de chose qu'une parade, on ne l'utilise ni en duel ni dans la conversation, mais c'est une botte nécessaire pour la survie. Elle apport beaucoup de couvert, elle habille presque autant que les vêtements, sans être tangible c'est une couche supérieur qu'on se doit de pavaner. Et il faut qu'on l'assimile en profondeur, elle n'est pas superficielle, elle est multi-couche. Aucune faille n'est autorisé, c'est ce qui se passe quand on cherche la faiblesse d’autrui, la perfection doit être la première impression. Impossible, il faut la simuler, c'est plus facile qu'avec l’innocence, on a une image bien plus précise en générale, elle intéresse beaucoup plus de monde, elle est plus populaire, peut-être plus facile à approcher.
Je n'ai aucun goût pour le sang, il faut dire que j'ai jamais goûté, cela ne se fait pas. Il faut pourtant des fêlure, le mondes n'est pas complètement stupide, il sait bien qu'on cache nos faiblesses, on sait bien que sinon il viendrait les tester jusqu’à les briser, il sait bien que rien ne saurait lui résister. Laissons le se valoriser, c'est juste que rien n'est incassable. Tant mieux pour la progression, tant pis pour la chute. Plus haut est apogée, moins on survit à la chute, moins on en souffre. Je pensais avoir monté un nombre non négligeable de marches, j'ai surestimé mon souffle et mes jambes.
Il faut donc des percées, sinon ça fait peur, sinon ça menace, sinon on sort les béliers. J'aime les béliers, beaucoup plus que les personnes qui les utilisent. Naturellement on a des faiblesse, pleins, il faut les travailler et surtout il faut les garder pour soi, c'est pas elles qu'on laisse voir par la serrure, trop dangereux. Le jardin secret est le talon sont des armes, il faut qu'elles soient forgées par une main de maitre, il faut les garder affutées. Leurs apparence témoigne de leurs efficacité, elles sont là pour duper, elles sont la cavalerie lourde, elles doivent paraitre comme le trésors le mieux protégé. On ne s'arme pas contre elle, on baisse sa garde pour les admirer. Les béliers ne doivent pas sembler nécessaire, ni la rage pour les animer. Les protections sont nécessaires, elles doivent être calibrées pour opposer une résistance, nourrir l'envie, l'impatience sans qu'elle déborde, afin de maximiser le bonheur d'approcher du but -illusoire, afin de provoquer le soulagement de l'effort accompli, de la chute de tension, de l'anticipation du repos.
Les chimères sont tellement redoutables, j'en avais trop, si belles, si grandes, si dévouées, qu'elles n'ont cessées de m'accompagner. Le problème c'est qu'elles ont une faim quasi-réelle. Elle n'avait plus qu'une proie : moi. J'étais grosse, elles se sont régalées longuement.
Tout cela est bien beau, mais qu'y a-t-il sous le masque ? L'intimité évidement. C'est restreint, oui, ce sera toujours vous et votre conscience, plus c'est un erreur, plus c'est risqué, plus c'est se faire posséder, plus c'est la fin, plus c'est pas rentable.
Tout cela est bien beau, n’exagérons rien, mais dessous c'est affreux, le masque n'est pas étanche, le masque déforme, il est trop proche, il ne change pas aussi vite que nous, ou alors trop vite, il s'adapte mal. C'est moche, mais ça augmente le confort, cela offre un passe temps complexe assez valorisant et surtout un but. Un objectif pas très original, primaire, instinctif, mais au moins il ne sera jamais satisfait, on n'a pas inventé les bâtons après les roues. Sans obstacles on n'avancerait pas.
Je suis née dans le sang, je suis dans la boue, ça sera un peu plus sec quand ma fin viendra. S'il pleut les gouttes seront mes proches, je m'enfoncerais dans la terre à un autre rythme et quand leurs descendants viendrons en masse je remonterais vers la surface. Je pointerais pas le bout de mon nez dans l'air ambiant car il m'aura lui aussi quitté, mais j'aurais bien un os pour le remplacer.
Je suis née couverte de sang, j'ai oublié son goût et sa sensation.
On va commencer par rectifier ça. ***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Sukra 6 Fambir 816 à 17h39
 
*** Je suis née faible. Je m'en suis pas aperçue tout de suite, faire le tri entre le vrai et le faux demande du temps. Et dans le faux on ne peut fonder un constat fiable. Suis-je née fiable ? l'ai-je été ? le serais-je un jour ? Des questions qui ne m’intéresse pas, j'ai mon avis, il est biaisé, vous avez le votre, il l'est aussi. On pourrait tendre vers la vérité, mais ce serait beaucoup de travail pour un apport négligeable, on peut s'en passer, on peut l'admettre. Savoir si ce qu'on fait est de nous ou pas a bien plus de retombés, c'est ce qui m'a occupé longtemps et j'ai jamais eu de regrets concernant cette recherche. Ma déduction, l'observation de ma faiblesse m'a grandement aidé. Les limites, voilà quelque chose d'indispensable, le jeu des frontières est amusant, grisant et il rapporte. Il faut les connaître, mieux que les autres, sinon on ne peut les dépasser. On peut tout tenter, on ne peut pas tout réussir. On peut approcher le cent pour cent de réussite pourtant, en restant frileux, oui, mais pas que.
Je suis née frileuse aussi, douillette peut-être, ça m'a vite rattrapé si ce n'était pas là dès le début, ce n'est plus trop le case, enfin si on part du principe que l'endurance compense. Qu'importe, le confort rappel la faiblesse, même si on en fait un norme, qu'on le pense démonstration de pouvoir, il n'en est rien. Je suis restée faible. Parfois je me suis éloignée de cette pensée, pas toujours quand je sentais mon influence, mes créations, quand je voyais ma signature, quand certains me servaient et que d'autre s'étouffaient avec leur fierté. Pas toujours, mais ça arrivait. Moi aussi j'aime les chimères, mes illusions sont belles, elles ne doivent pas être loin du podium, mais n'ont jamais gravis les derniers échelons. Oui, je suis restée faible, peut-il en être autrement ? Je suis persuadé du contraire. Mais ce n'est pas un problème, c'est une bénédiction, pas que pour nous. Dans notre petitesse nous avons tirés des forces vicieuses qui nous permettent de survivre, bien. Tiré, pas inventé, si elles avaient plus de possibilité elles feraient plus de mal, peut-être pas immédiatement, on aime les emprunt, on aime les intérêts intenables. Certes, on peut voir le mal roder, autour, la mer toute autour même, mais aussi grand soit-il, aussi noir soit-elle, cela nous fera jamais briller d'un éclat pur, si cela existait.
Mais le Souffle, il vient tout chambouler.
J'étais un brin d'air au milieu d'un maison abandonnée, jamais je la possèderais, au mieux je hanterais. Les courants m'ont poussés loin, au pied d'un falaise, où avec les vagues je m'éclate sans relâche sur sa facade.
Mais me voilà grain de sable, avec mes amies Eau et Écume, notre adversaire la Pierre on forme désormais une minuscule particule. J'ai une forme, grossière, j'ai un équilibre, j'ai des racines, noueuses et vastes, j'ai un passé glorieux, une chute longue et controversée.
J'ai des semblables, avec lesquels je ferais un château.
Je suis toujours faible. ***



Tutu, te voilà !

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