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Econométrie sauvage
Rencontre au Comptoir.
 
Oromonde
Prédicateur
Kil'dé  
Le Merakih 25 Marigar 815 à 23h05
 

Il était assez tôt dans l’après-midi quand les trois lanyshtas convinrent finalement de se retrouver.
Oromonde ne prenait son service que plus tard dans la journée, et elle venait tout juste de finir de déjeuner. Trouver le Comptoir, avec les indications de Scellynia, fût plutôt facile : un bâtiment aussi récent et rutilant avait attiré nombre d’yeux concupiscents, et Oromonde savait y faire avec ceux-là. Aussi se présenta-t-elle assez tôt à l’endroit convenu, comme sa personnalité minutieuse et ponctuelle l’y incitait. Généralement, la jeune femme se retrouvait toujours avec dix minutes d’avance sur les autres, ce qui avait tendance à la mettre mal à l’aise. Elle se sentait un peu idiote avant de rencontrer quelqu’un, et cette occasion-ci ne dérogeait pas à la loi.
Elle portait une simple robe de jute noire, très sobre et peu coquette, et un chignon sévère. Elle se demanda à quoi ressembleraient Scellynia. Rubus, lui, elle l’avait déjà croisé ; même si elle ne se doutait pas, à l’époque, qu’il s’agissait lui aussi d’un lanyshta. Comme quoi, les voies du Un sont bien mystérieuses.

Le trio avait décidé de se rencontrer un peu plus tôt en tant que commerçants locaux à la fonction un peu particulière. Difficile de produire ou de vendre des produits de la même façon une fois qu’on est passé lanyshta, et plus encore de trouver des clients pour les biens particuliers qu’on pouvait avoir sous le coude…une situation qui demandait quelques réflexions et quelques ententes entre marchands raisonnables, ce à quoi se prêtait tout à fait le nouveau lieu de résidence de l’Adjointe au Commerce.

Oromonde fit comme tous les gens polis et frappa à la porte pour signaler sa présence. C’était comme ça que les relations sociales marchaient, non ?



Mon nom est Personne.
*Le Chaudon qui Fume*
 
Rubus Tectus
Travailleur
Kil'dé  
Le Julung 26 Marigar 815 à 21h23
 
Quelques jours auparavant Oromonde avait en effet envoyé le message suivant à Rubus et Scellynia :
Citation :
Bonjour à vos deux pensées,

Tout d'abord, je me présente pour celle que Scellynia m'a renvoyé il y a peu. Je m'appelle Oromonde.

Ensuite, sur des affaires privées rapides : monsieur le commerçant, je vous offre bien les 10 hyalins pour la commande dont je vous ai parlé. Dame Scellynia, je vous remercie de m'avoir informé de ce fait que j'ignorais.

Pour ce qui est de la suite. Comme vous me semblez être les deux autres marchandes et artisans actifs du Kil'Dé, je vous propose de nous réunir au Comptoir de notre amie commune.
J'aimerais y discuter de nos impressions quant à nos emplois, nos fortunes, nos plans futurs, nos relations avec l'extérieur. Vous saurez peut être que je tiens à mettre en place, au départ sous l'égide de la coopérative, mais après discussion avec eux, de façon indépendante (car même si les liens sont forts, le domaine n'est pas tout à fait le même) une sorte de système d'enseignement à la fois interne au Quartier et externe. le principe en est le suivant : tous ceux qui acceptent d'y participer acceptent aussi de troquer des savoirs, en échange de pouvoir à leur tour en bénéficier. S'ils ne peuvent assurer cela, alors libre à eux de troquer comme il le souhaite cet apprentissage. Le système fonctionnerait principalement en interne à chaque Quartier (surtout au nôtre si je m'en fais l'instigatrice), mais des passerelles solidaires extérieures existeraient.

J'ai plusieurs vues sur ce projet, certaines plus honnêtes que d'autres que je vous exposerai en présentiel si besoin.

Après avoir contacté plusieurs lanyshtas étrangers, je constate que la plupart n'y sont pas opposés, certains mêmes sont prêts à y adhérer - même s'ils restent dubitatifs sur la fin.

J'ai aussi discuté avec la coopérative artisane d'un moyen d'organiser des récoltes groupées, voire, dans l'idéal, de se mettre en lien avec des mercenaires et aventuriers qui, en échange d'un revenu, effectueraient des tâches de récolte et de transport. Une telle organisation est pour le moment impossible, mais la coopérative suggère de débuter par le lancement de petites expéditions. Sans doute pourrions-nous en discuter.

Ensuite, je viens vous confier un de mes problèmes, et je me demandais si vous rencontriez le même. Mes sphères de compétence artisanale sont assez fermées, et je ne semble pas trouver de clients. mauvais affichage ? Mauvais démarchage ? Ou simplement pas de public ? Il m'aurait pourtant semblé que l'alchimie en particulier aurait dû bien fonctionner. Qu'en pensez-vous ?

Je voulais aussi parler d'un système de troc pour régler nos achats. Je sais que certaines créations ou commandes sont trop chères et trop peu rentables sans acheteur certains. par exemple un lanyshta, je crois que c'est vous, Monsieur Tectus, proposait une harpe de rêve sur le fil du Kil'Dé récemment. Je serais intéressée par cet objet, mais il m'est bien trop cher. D'autres objets et créations se trouvent dans le même cas. Peut être devrions-en nous envisager de proposer officiellement le troc d'objets, de service ou d'informations dans notre Quartier ?

Je vous laisse réfléchir à tous ces sujets. Si cela vous intéresse, nous pourrions sans doute nous revoir au Comptoir de Dame Scellynia, si cela lui convient bien sûr.


***
Il avais été convenu après cela de se retrouver tous les 3, aussi Rubus arriva t il quelques temps après Oromonde, mais suffisamment peu de temps pour que Scellynia n'ait pas encore ouvert la porte.
N'ayant pas encore associé la pensée et la personne, Rubus eu un doute une seconde, mais ne fut pas autrement surpris compte tenu de ce que Oromonde lui avait acheté de découvrir que c'était elle la 3éme personne.
***


Bonjour chère cliente., salua poliment Rubus.


Un ce n'est pas bien, deux c'est dangereux, trois ça suffit pas... mais presque.
 
Scellynia
Commis du Commerce
Kil'dé  
Le Luang 30 Marigar 815 à 12h05
 
*** On vit chercher Scellynia dans son bureau afin de lui faire savoir que les deux personnes à qui elle avait envoyé une invitation pour discuter commerce étaient arrivée devant le seuil de la porte du Comptoir.

Elle passa rapidement devant son miroir afin de remettre sa chevelure noir et être ainsi plus présentable pour recevoir les deux artisans qu'elle connaissait de Kil'dé.

Une fois arrivée elle pu apercevoir Rubus et Oromonde entrain de discuter, elle espérait qu'ils n'étaient pas la tout deux depuis trop longtemps avec le temps qu'il faisait dernièrement, loin de pouvoir glaner tout en bronzant...

Elle ouvrit la porte afin de les recevoir. ***


Bien le bonjour à tout les deux, je suis ravie de vous revoir Monsieur Rubus Tectus en ce lieu et je suis également ravi de vous voir pour la première fois Dame Oromonde en mon modeste établissement.

J'ai faite préparer une salle de réunion, comme nous sommes que trois personnes pour le moment je n'ai pas faite préparer la plus grande, celle des séminaires, mais une pouvant accueillir facilement dix personnes tout de même.

On ne sais jamais, peut être auriez vous des personnes qui pourraient être intéressant de faire venir ceux sur quoi nous allons dialoguer aujourd'hui.

Venez je vous en prie vous pouvez me suivre afin que je vous mène à la salle.


*** Tout les deux la suivirent, Dame Oromonde juste derrière Scellynia, Monsieur Tectus fermant la marche.

Après avoir passé un long couloir où ils purent apercevoir inscrit sur les portes les numéros de salles où il était possible à chacun de réserver à la demande, ils pu voir des servants venir approvisionner les participants des réunions en nourriture et autres boissons mais également d'aller montrer des plans car en effet, le Comptoir proposait également des services d'architectures aussi bien pour la construction d'habitations, de voitures, de meubles et bien d'autres...

Ils arrivèrent enfin où ils purent débuter leur réunion.
Scellynia ouvrit la porte et les invita à s'assoir autour de la table ronde, qu'elle choisit spécialement dans le but de montrer le côté égalitaire des personnes œuvrant autour d'elle.***


Au besoin vous pouvez voir, derrière vous Monsieur Tectus, de quoi vous sustenter et au nécessaire je peux vous faire apporter autre chose si cela ne vous convient pas.

Dame Oromonde, comme vous êtes à l'origine de cette demande de réunion afin de parler commerce et artisanat je vous laisse donc débuter la discussion afin de nous exposer le programme dans un premier temps.


 
Oromonde
Prédicateur
Kil'dé  
Le Matal 31 Marigar 815 à 19h54
 
Oromonde fût assez impressionnée par le décorum ambiant. Le bâtiment présentait quelques qualités intéressantes. Non des moindres, le capharnaüm ambiant et l’activité des gens qui semblaient y travailler en faisait finalement un endroit plutôt discret. Même si elle était certaine que quelqu’un, quelque part –probablement une secrétaire aux yeux de lynx – avait noté leur présence et que les domestiques avaient prévu quelques assiettées d’apéritifs, il fallait avouer que le reste du monde paraissait les ignorer joyeusement. Sentiment plutôt agréable pour quelqu’un d’aussi réservé que la lanyshta.

Comme Scellynia l’invitait à prendre la parole, l’artisane décida de se montrer directe.

« Merci encore de nous accueillir ici, très chère. Et à vous, Monsieur, d’être venu.

La raison qui m’a motivé à vous rencontrer est simple : confronter nos point de vue et expériences quant à notre travail, et tâcher d’en extraire quelques enseignements. Voilà les quelques axes que je propose d’étudier.
Premièrement, les relations que nous entretenons en tant qu’artisans avec les autres Kils. Etes-vous liés à la coopérative ? Comment envisagez-vous l’organisation de notre travail ici ? Quels sont vos contacts à l’étranger ?

Deuxièmement, ce que nous comptons faire ici même au Kil’Dé. Nous sommes….ce que nous sommes, et je considère personnellement qu’on ne peut tout simplement pas fermer les yeux. J’ai suivi sur les Entrelacs et ici ce que vous saviez faire. Les produits que nous fabriquons sont dangereux et puissants. Comment se positionne-t-on ? Jusqu’où pouvons-nous aller sans mettre à mal notre propre société ? D’ailleurs, et plus simplement : y-a-t-il un « nous » ? Décidons-nous d’œuvrer individuellement, ou choisissons-nous plutôt de monter une association ? Faut-il interroger les origines des caches, prendre contact avec leur directeur ?

Troisièmement, la situation de vente actuelle. Les produits sont-ils trop chers à revendre ? Faut-il proposer un autre système d’échanges que celui qui est monétaire ? Quels sont vos ressentis par rapport à l’obtention des ressources élémentaires à nos ouvrages ? Et par rapport aux clients ?

Quatrièmement, j’aimerais vous exposer un projet qui me tient à cœur et que je tente – lentement – de mettre en place. Il s’agirait très simplement d’établir des liens inter et intra Kils entre des artisans ou autres experts et des apprentis intéressés. Le principe en est tout bête : apprends-moi ceci, et je t’enseignerai cela en retour. Au besoin, l’enseignement peut être dédommagé autrement, à la discrétion des concernés. Il me faudrait tout d’abord constituer une liste des éventuels participants, de leur Kil, des savoirs faire qu’ils sont prêts à dispenser. Une fois ce passage de recensement fait, une mise en contact serait plus facile. A la manière de la coopérative, pour protéger les identités des participants, un intermédiaire neutre – moi, en l’occurrence, puisque je suis à l’origine de ce projet et celle qui désire le plus le voir aboutir – pourrait prendre les commandes et rediriger les intéressés. Outre l’intérêt pragmatique que nous y avons tous, j’y vois surtout la possibilité de tisser un véritable réseau solidaire favorisant l’essor de nos capacités. Surtout, peut être, un essor qui nous permettrait d’étudier et de mettre en commun nos connaissances quant à notre nature et notre rôle. Vous devinerez que ma volonté solidaire et mon envie d’encourager le savoir et la recherche chez les miens se double, évidemment, d’un certain intérêt pour les informations que ce système permettrait de recueillir. »


Elle s’arrêta. Sa gorge était un peu sèche : elle avait pris l’habitude des longs débats psychiques, mais pas des monologues physiques. Elle restait intimidée par la situation.

« Je pourrais vous abattre d’ennui avec mes propres réponses à ces questions, mais ce n’est pas le but ici. Je souhaiterais entendre vos avis, conseils, réactions ; et sans doute aussi avez-vous quelques pistes et pierres à apporter à cet édifice bancal. »



Mon nom est Personne.
*Le Chaudon qui Fume*
 
Rubus Tectus
Travailleur
Kil'dé  
Le Vayang 3 Astawir 815 à 13h33
 
***
Rubus, homme de basse condition et qui ne mangeais pas tous les jours à sa faim, se laissa tenter rapidement par la nourriture présenté aussi écoutait il que d'une oreille le discours d'Oromonde. Il en avais cependant suffisamment écouté pour répondre une fois que celle ci avait fini :
***


Voilà beaucoup de questions, vraiment beaucoup. Voyons les les unes après les autres :
Tout d'abord la coopérative, ce que j'en pense est qu'elle profite de son monopole pour s'en mettre plein la poche sur des créations qui ne valent pas le prix qu'elle demande. Je ne m'associerais pas à elle. Enfin, disons surtout que certains membres pratiquent des tarifs prohibitifs, pas tous, mais ça suffit pour que je n'ai pas envie d'associer mon nom à la coopérative.
J'ai très peu de contact avec les autres kils, les rares personnes que je connais étant celles qui étaient présente à l'expédition sur la place du martel c'est à dire qu'il n'y a quasiment que Naoko que j'ai rencontré d'un autre kil. Quand à mon travail ici, pour l'instant je considère que mon travail est avant tout un apprentissage et par conséquent que les tarifs n'ont pas à être trop élevés même si je dois faire quand même du bénéfice.

Monter une association entre nous, pourquoi pas, faut juste réfléchir à ce que ça change au fond. En tout cas, oui les objets que nous fabriquons sont puissant, mais je dirais qu'il le sont moins que nous. Clairement en étant Lanystha on a gagné pas mal de puissance par rapport au commun des Krolanne, notamment j'ai l'impression qu'on aurait largement la puissance pour s'élever contre notre destin. Mais je suis d'avis qu'on devrait au contraire utiliser nos facultés afin de s'assurer que le destin ne change pas trop. Mon destin a toujours été celui d'un travailleur, et même si je peux créer des objets très puissant, je ne m'opposerait pas à mon destin, je travaillerais toujours pour quelqu'un. Je pense que si je cherchais à devenir Commis du commerce, j'en aurais les capacités, mais je risquerait de perturber la trame générale du destin et ça m'a l'air risqué.
Ce en quoi je pense que c'est bien d'avoir quelqu'un dont le destin est de devenir Commis du commerce comme Scellynia ici présente. Nous pourrons travailler pour elle, nous serons alors toujours travailleurs comme notre destin l'indique mais pour un employeur qui connais nos capacités et qui saura les employer au mieux en fonction des clients qu'elle a.

Ensuite... Heu, qu'avez vous dit ensuite ? Un truc au sujet de l'enseignement. Je pense être capable d'enseigner, mais pour l'instant je n'en ai pas vraiment l'envie. Mais mes envies vont et viennent et ne sont pas fixes donc un jour je suis sur que j'en aurais d'avantage envie. En attendant je peux quand même donner des cours basique si quelqu'un en a besoin.
Mes capacités ? Hum, savoir prendre soin de moi pour accélérer ma guérison naturelle et savoir faire des gestes assez précis pour ne pas faire d'erreur en artisanat. Oui ça ne fait pas grand chose comme capacité que je serais capable d'enseigner.



Un ce n'est pas bien, deux c'est dangereux, trois ça suffit pas... mais presque.
 
Scellynia
Commis du Commerce
Kil'dé  
Le Matal 19 Manhur 815 à 12h35
 
*** Scellynia prenait le temps de la réflexion, les sujets abordés étaient vraiment intéressant et on sentait en Oromonde une vraie envie de faire changer les choses.

Si le commerce restait toujours à plat, sans jamais avoir de nouveautés, il y a peu de chance de pouvoir fidéliser les clients. ***


Pour ma part, il est vrai que si on s'associe pour travailler main dans la main pour développer l'art de l'artisanat nous pourrions nous apparenter à la Coopérative avec qui je ne souhaite pas œuvrer même si cela nous permettrai très certainement d'avoir bon nombre de commandes, au détriment du porte monnaie de nos clients, chose que je n'apprécie pas.

Pour moi le commerce n'est pas une affaire pour s'en mettre plein les poches. J’œuvre dans le commerce et l'artisanat afin que tous puisse venir nous voir pour obtenir ce qu'il recherche sans se ruiner, mais pas qu'on y mette non plus de notre poche.
Rubus le sais, je fais comme lui, je tente de faire des commandes et quand je n'en ai pas, j'use du peu de fonds que je possède afin d'apprendre de nouvelles recettes pour étoffer ma carte des créations possible dans mon établissement, qui va être mise à jour bientôt d'ailleurs.
Ensuite je fabrique pour le plaisir de fabriquer, de mieux maîtriser cet art qu'est l'artisanat.

Il est vrai que les commandes sont des plus rares, mais il faut laisser le temps de se faire connaître.
Si vous connaissez une personne de Kil'dé allant dans un autre Kil, hésitez pas à lui demander si il peux vous faire de la publicité et de prendre contact avec moi.

Si le client potentiel a des questions sur les tarifs de vos créations, pas de souci pour que je vous serve d'intermédiaire pour garder votre anonymat sur votre nature contrairement à moi qui l'ai annoncé devant tous.

Par contre pour l'enseignement, je ne sais trop quoi en penser, je ne dit pas que dans le future je ne souhaiterai pas donner des cours mais pour l'instant je m'en sent complètement incapable de faire cela.
Je pense que c'est, dans le temps, une nécessité car nous ne sommes pas immortelle, que je sache, et le savoir doit être partagé, échangé, pour que ce dernier ne se perde pas avec nous.

Après, à nous de voir comment régir tout cela, cours pour un autre, cours contre des graines, cours gratuit...

Je pense que nous sommes les principaux artisans de notre Kil, je vous propose d'établir si nous décidons de travail comme notre propre coopérative, de mettre une grille de tarifs en fonction de différentes catégories par article dans un premier temps, si cela vous convient bien entendu.

Juste une question, à votre connaissance, y a-t-il des confections typiquement de Kil'dé?
Je vous demande cela afin de voir si on les inclurait, ou non, dans cette liste si on décide de la faire.
Personnellement si il y en a je suis contre ou par échange équitable d'une confection rare d'un autre Kil uniquement.


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