Arabelle est née à l extérieur des Fissures.
Sa mère est morte en la mettant au monde et son père par chagrin d avoir perdu sa femme abandonna l enfant à peine né et la plaça avec une bourse de hyalins dans un quartier où on ne le reconnaitrait pas: les Fissures.

Arabelle y fut élevée mais jamais adoptée et arrivée à ses 16 ans elle décida de travailler gratuitement à l orphelinat tout en suivant un apprentissage de base chez un bijoutier du quartier et apprit à me défendre et à manier les lames longues et courtes.

Voici son histoire de tous les jours qu elle soit "éveillée ou pas encore".

Vous pouvez y interagir sans soucis.


Comme à son habitude, la jeune femme se leva aux aurores, les petits de l orphelinat, surnom donné aux enfants qui ne marchaient pas encore seul et jusqu'à 6 ans se levaient dans 1 heured et elle avait de quoi faire.
Le petit déjeuner à préparer, chauffer la salle commune où se donnaient les leçons, où se prenaient les repas et où les petits jouaient.
Une fois sa toilette faite, la salle chauffée, Arabelle préparait le pain et les confitures pour le premier repad de la journée ainsi sue du thé bien chaud.

Ensuite les enfants en train de manger elle irait à la place du marché du Bazar de Thün pour acheter la viande du jour, le pain du lendemain et des légumes histoires de faire de la soupe.

Une fois les courses faites elle rentrait à l orphelinat pour préparer la dite soupe, la matinée était déjà bien entamée et led enfants avaient leurs leçons du matin ou dormaient pour les plus jeunes.

Le repas du midi prit, Arabelle était libre de ses activités jusqu'au repas du soir.
Au début elle en avait profité pour flâner dans les quartiers du Sharr, elle en connaissait pas mal de recoin depuis.
Cela lui changeait les idées elle découvrait d autre culture ou plutôt d autre mode de vie en fonction du Destin écrit par les Augures et en fonction de l argent dont on dispose

Puis après un moment elle se fit agressé par un petite bande de racaille et fut sortie d affaire par un ancien pensionnaire de l orphelinat.
Celui-ci s interposa et degainant un sabre il désarma les deux agresseurs d Arabelle lui sauvant la mise.


Depuis ce jour, Arabelle suit des leçons sur le maniement des armes tranchantes, du combat en général, de la manière de combattre et de penser le combat et de renforcer son corps et son esprit.


Au fur et à mesure que les jours et puis les semaines passaient, plus la jeune blonde qui paraissait si douce se renforçait. Cela se voyait à son corps, devenu plus sec, plus musclé sans ressembler à une culturiste.
Elle avait de bien meilleurs réflexes et son souffle était plus long, elle pouvait faire plus d effort avant d être essoufflée.

Au début, il lui apprit à renforcer son corps, changea sa façon de se tenir, plus sur la défensive et prompte à faire des petits mouvements rapides.
Ils avaient passé des après midi à courrir dans mes différents quartier, il changeait sans cesse de direction ce qui améliora le temps de réaction d arabelle et son endurance.

Ensuite il l entraîna à observer son adversaire, afin de prévoir ses actions, prévoir l endroit où il allait frapper.
Elle passa des heures à esquivé les coups , enfin essayer d éviter les coups.

Et depuis quelques semaines il lui apprenait enfin à manier une épée courte au début et plus longue ensuite..

L entraînement des mois précédents portait des fruits, l an passé Arabellr n aurait pas été capable de manipuler une épée lourde tout au long d un entraînement et encore moins de réussir à parer une attaque avec celle ci .

Il lui réservait toujours de bonnes surprises comme des feintes de corps ou de frappe, levant son épée pour ensuite lui faucher la jambe d appuis d un mouvement de jambe frappé à l arrière du genoux.

 
Le jeune homme, qui s appelle Anton, avait le même âge à quelques mois près qu Arabelle.
Il avait tout comme elle, été abandonné enfant et placé à l'orphelinat des Fissures.

Ils avaient tout vécu ensemble, les mauvais coups comme les bons souvenirs.

Quand ils avaient eu 16 ans, ils durent faire un choix, Anton avait suivi ses Augures qui parlaient d un bouclier protégeant les faibles.
Il travaillait depuis lors comme milicien à la Défense et avait été formé et entraîné et ayant vu la dangerosité de l extérieur avait proposé à Arabelle de la former aussi.

Dans les Augures d Arabelle il était question de prendre soin des graines non issues de son ventre. Alors elle avait accepté l'offre de l'orphelinat en restant travailler là où elle avait été élevée.
Elle s occupait des plus petits comme une mère et préparait les repas des enfants.

Après la matinée et la préparation du repas du midi, Arabelle était libre de faire ce qu elle voulait jusqu'au soir et elle profitait pour travailler chez un bijoutier quelques heures de l après midi avant qu Anton ne finisse son service de garde.

Ensuite elle le rejoignait à la garnison et il l entraînait.
Depuis quelques années, ils s entraînaient du milieu de l après midi jusqu' au soir.
Son corps s était endurci, elle pouvait courir plus longtemps, portez de plus lourdes charges.
Il lui avait apprit à manier des épées et dagues mais aussi de petits boucliers à force de passe d arme répétée jusqu à l assimilation des techniques de combat.
Elle avait aussi apprit à devier un coup de poings ou pied et à passer dans l angle mort visuel de son adversaire.

Et puis, il avait trouvé l amour et ne pouvait plus s entraîner avec Arabelle depuis un ans mais elle avait tellement apprit qu elle ne faisait plus que garder la forme, elle avait assimilé toutes les techniques de combat qu il lui avait apprises.

Depuis elle avait entendu la Voix, elle s était éveillée au monde télépathique et elle s en remettait doucement tellement les contacts avec les autres Lanyshstra était épuisant.

Et ce matin Anton était revenu la voir.
Il allait être père et voulait qu elle soit la marraine du petit à naitre et pour lui dire que ses Augures avaient été revisitées.

Une phrase avait été ajoutée: et l oiseau déploiera des ailes d acier pour défendre le Kil'Dé.
Il était venu le lui dire car le reponsable de la Défense voulait lui parler.

 

Après avoir passé des semaines à assouplir son corps en faisant des exercices d étirements, de jeux de jambes, Arabelle avait pleinement conscience de son corps, elle savait reconnaitre la douleur d un exercices ou mouvement trop violent mais surtout elle était plus souple, plus vive sur ses jambes et savait "lancer" le bras pour que ses coups fasse plus mal.

Anton était un bon professeur. Il prenait le temps d expliquer, de reexpliquet et surtout le temps de montrer comment faire.

Il lui avait ensuite apprit à danser.
Oui danser une arme a la main, esquisser des pas de danse pour se mouvoir autour de son adversaire, pour toujours garder le bon appuis et surprendre son adversaire par la légèreté de ses deplacements.

Aujourd'hui la leçon était différente, il lui montra comment protéger quelqu un, etre en position de garde avancée était utile quand on ne sait pas comment son ennemi va attaquer.
Être paré à rien mais surtout à toute éventuelle attaque de son adversaire.

Bien campé sur ses jambes, près à bondir sur le côté pour éviter ou dévier une lame et s ouvrir le flanc adverse.

Apres l'après midi, Arabelle était éreintée mentalement a essayer de prévoir où Anton allait attaquer et comment se défendre tout en ripostant de ffaçon correcte.

 
Pour une fois, Arabelle ne va pas raconter ses entraînements martiaux mais plutôt son travail cher Hassan un bijoutier receleur du quartier des fissures où Arabelle travaillait les après midi , en voici ses connaissances.

Hassan était un krolanne âgé d une soixantaine d années sans enfants.
Il avait une petite boutique avec atelier à l arrière près de l entrée du quartier, elle lui appartenait et n avait de compte à rendre à personne ni d argent à rembourser.

Il avait acceuillit avec intérêt le fait de prendre Arabelle comme apprentie, il savait que ses Augures parlait de son savoir et de le transmettre. Donc il . proposa à la jeune femme une sorte d arrangement, il lui apprenait le métier et en échange elle travaillait pour lui.

Au début Hassan lui demanda juste d observer et de prendre des notes.
L homme allait lui apprendre son art et cela commençait par la minutie du dit travail, de la précision que ce soit dans la.tla température de fusion et d alliage ou dans la taille du métal.

Hassan lui apprit les différentes propriétés des métaux, l or était plus mou, plus malléable, plus facile à travailler mais coûtait plus cher et n appréciait pas les alliages de diverses natures.
L acier était lui même un alliage et une fois assemblé à une certaine température bien précise devenait presque indestructible.

Arabelle prenait note une page par métaux où Arabelle notait les différentes propriétés du métal, les alliages possibles et ceux à ne pas réaliser.
Une autre partie du cahier reprenait les techniques d alliages, les températures précises au quelles fondre les métaux, l art d y incruster des pierres.

Hassan lui apprendrait un jour la taille des pierres et leurs incrustations mais.cela.dépassait les bases donc pour le moment elle travaillait le fer, le bronze et le cuivre. Elle réalisait des anneaux principalement mais aussi, des boucles d oreilles et autre bijoux.

Elle faisait.fondre les différents constituants de l'alliage futur dans un.petit creuset au coin d une forge au coin de la pièce.

Une fois les mélange chauffé elle formait des réglettes de ces différents alliages pourbune utilisation future.

Une fois le melange légèrement refroidit ou plutôt tiède, elle formait un boudin en roulant le métal entre deux plaques ensuite elle recourbait le boudin formé et formait une bague en réchauffant l endroit de contact

Ensuite avec une lime souple elle fasconnait l anneau en le polissant afin de ne pas faire apparaître la moindre trace. Comme si l anneau avait été forgé d une seule pièce.

Ainsi elle passa son temps.entre la.préparation basique du métier de joaillière et l apprentissage en observation de son mentor dans des tâches beaucoup plus ardues que se soit par la difficulté de réalisation ou par la rareté du métal travaillé.

 

Depuis deux semaines qu elle faisait partie de la Défense, Arabelle n avait plus le temps de s entrainer avec Anton, leurs horaires ne le permettaient plus et elle tenait a se garder du temps pour aider et apprendre auprès d Hassan à la bijouterie.

De toute façon elle suivait un écolage de base auprès de la milice .

Il était une petite dizaine dans sa section.
Tous plus jeunes qu elle mais tous moins habitué au maniement des armes et aux exercices physiques.

La première semaine avait pour but de faire le tri dans les aspirants: on les faisait se lever tôt pour une marche forcée avant le premier repas.

Ensuite inspection des chambres et repas pour ceux qui avaient correctement rangé leurs affaires et fait leurs lits.
Ensuite direction la salle d arme pour s entraîner avec bâton.
les coups pleuvaient durs et malgré les protections de cuirs la douleurs était là.

Après l entraînement repas chaud composé de soupe et de viande séchée et patates avant se reprendre la course dans le quartier.
Ensuite venait le cours théorique sur les lois, les interdictions et les devoirs des citoyens et des membres de la défense.

Une fois ces cours passé, décrassage dans la cour et temps mibre jusqu au soir avec l extinction des feux et une courte nuit.

Après une demaine trois aspirants avaient abandonnés et arabelle restait la dernière femme dans la section ce qui lui permettait d avoir une chambre a part et d éviter la douche commune.
Pas plus mal elle pouvait communiquer le soir avec d autres Lanyshsta quand elle n était pas trop épuisée.

La deuxième semaine avait eu lieu et a la fin des tests physique et ecrits sur les lois.

Deux autres aspirants avaient été recalés par les ecrits.

Arabelle ayant rejoints la défense pour être commis elle quitta donc l entraînement de la milice pour se former auprès du commis Keymlos tout en participant toujours aus entraînements matinaux et de combats quand elle en avait le commis lui en laissait le temps.