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Le travail d adjointe.
Nouvellement nommée, Arabelle se met au travail.
 
Arabelle mercoeur
Commis à la Défense
Kil'dé  
Le Dhiwara 14 Jayar 815 à 20h14
 

L affaire du meurtre de Dorigon d Espelet suivait son cours mais vu l importance du cas l adjointe n en avait pas la charge directe elle n y était qu assistante du commis Kemlos.

En attendant la jeune recrue avait répondu au questionnaire d embauche donné par le commis, rendu ses réponses et attendu une réponse qui avait mit trois semaines a revenir.
En attendant elle assistait le Keymlos sur le cas d Espelet.

Les questions du questionnaires étaient basiques:

Où habitez vous?
Âge, Nom, Prénom,Antécédents avec la Défense.
Motivations à entrer au sein de la Défense?
Qualités et défauts du demandeur.

Et ainsi de suite.
Arabelle y avait répondu comme toujours, honnêtement et franchement et la réponse était revenue positive, peut être avec l appuis du commis Keymlos, qui sait il ne lui en avait pas touché mot mais elle avait comprit qu il avait besoin d un ou une adjointe.

Depuis on lui avait attribué un bureau avec une chaise, une table, un meuble de moyenne taille à tiroirs et une armoire sans porte.

Après un grand coup de ménage on lui avait attribué de petites affaires de vol, bagarre et troubles de l ordre public entre poivrots .

Ces affaires étaient faciles à résoudre mais il fallait que tout soit fait avec ordre, rigueur et en respectant la loi à la lettre près.

On lui avait également fourni un recueil d application de la loi et elle le potassait.




 
Arabelle mercoeur
Commis à la Défense
Kil'dé  
Le Julung 18 Jayar 815 à 15h42
 

Dans son bureau d adjointe, les affaires s emplillaient à croire qu'elle était la seule adjointe du commisariat.

Arabelle avait en cours plusieurs affaires. Trois précisément pour le moment même si d autres dormaient sur son bureau, faute de preuves, de temps et de moyens et elle était en train d en clôturer une, le coupable était en bas en cellule de dégrisement avant de payer son amende et les frais de soins du plaignant.

Affaire N°1: CLOTURÉE.

Plaignant: Kreg Boifor
Accusé: Boris Fendwick

Plainte déposée en nos locaux après arrestations des deux personnes susnommées suite à une bagarre dans le quartier des Fissures à la taverne : Au joyeux drilles.
La Défense a été appelée sur place par le voisinage qui se plaignait du bruit occasionné par une bagarre en rue.
La Défense représentée par l adjointe Mercoeur s est rendue sur place accompagnée de quatres miliciens afin de faire respecté la loi.
Sur place le dénommé Kreg Boifor a demandé à déposé plainte pour aggression à l encontre du dénommé Boris Fendwick qui lui aurait envoyé une chaise dans la figure , poussé dehors et frappé sans raison.
Le tenanciet confirme les dires du plaignant . L accusé est arrivé fort éméché et a provoqué la bagarre sans raison.
Le plaignant à une large plaie à la tête et un épaule demise d après un premier rapport au commissariat.

L accusé reconnaît les faits et s excuse mais passera la nuit en cellule et payera une amende couvrant: les soins du plaignant, la chaisse cassée à la taverne et une amende administrative.
La somme de cette amende est laissée aux soins du service recouvrement de la Défense.





 
Arabelle mercoeur
Commis à la Défense
Kil'dé  
Le Julung 18 Jayar 815 à 16h10
 


Une fois le dossier transmit au service recouvrement et l accusé placé en cellule, Arabelle se pencha vers la seconde affaire.

AFFAIRE N°2:

Plaignant: Marik Ib Hassani, commerçant et propriétaire d un entrepôt de stockage.

Affaire: plainte pour vols répétés dans l entrepôt du dit plaignant.
Depuis deux semaines il a constaté le manque de certaines denrées dand son entrepôt.
La première fois il n a pas porté plainte car une porte avait été laissé non fermée et il n était pas certain du vol.
La veille par contre il avait découvert une fenêtre cassée et la disparition de pommes de terres, viandes séchées et fruits en conserves.

On ne lui avait pas dérobé une grande quantité mais au moins de quoi nourrir une grande famille le temps d une semaine.
Cette fois ci il y a eu effraction et vol avéré.
Malheureusement aucune trace de sang sur la fenêtre brisée par une brique retrouvée à l intérieur du bâtiment.

D autres caisses avaient été ouvertes mais rien de volé juste ce qui était mentionné plus haut.

L adjointe s était rendue sur place pour constaté le vol et l effraction.
Aucun indice valable retrouvé sur place si ce n est différentes traces de pas dans la boue non loin de la fenêtre cassée dont une au moins appartiendrait à un enfant ou une personne chaussant fort petit.
Le commerçant n employant pas d enfant et n emmenant pad les siens par là, il s agit de toute évidence des traces d un des voleurs.

Arabelle décida de faire placer deux miliciens en post la nuit à l intérieur de l entrepôt histoire de voir si la semaine suivante les voleurs reviendraient s approvisionner.


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