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Titre oublié, disparition inaperçue, emplois du temps.
Où l'on profite de sa robe grise.
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Dhiwara 7 Fambir 816 à 21h00
 
*** J'ai ce que je voulais et personne ne le sait. On m'a aider, dans le flou, l'ignorance ou l'erreur. Du mal à personne, nul soupçon. C'est idéal et mon point de vue, je ne le partage pas. Fin.

Ça n'irait pas bien loin ainsi, il faut le répéter pour ne pas l'oublier, le jour est tombé, enfin la nuit, mais le jour aussi, parce qu'il n'est plus là, comme un vaillant gardien de la paix plein de bonnes intentions il a succombé dans son combat contre l'obscure, ou alors il s'est fait corrompre. Il perd l'éclat de son être, il gagne une multitude d'étincelles de sournoiserie. Bref, la nuit est là, bien ancrée dans le ciel, comme une toile sur son cadre, le Souffle était dans l'aube, je l'ai raté, il a disparu, il reviendra peut-être, mais il n'a pas l'air calé sur le même référentiel, je ne serais peut-être plus là, ou je le sentirait pas. Une fois de plus, je suis seule. J'ai reçu, à moi de l'utiliser.
J'ai réfléchit, c'est dur, sur moi, ça fait mal. Elle me guette. Je me glisse parmi les ombres, ne faisant qu'une avec la nuit. Ou pas, j'ai déjà du mal à me sentir en un unique morceau. Et mes genoux qui tirent, j'erre aussi sous une faible lueur, maladroitement mais avec un but. Je vais là où personne me voit, ou nul ne sait que j'y suis. Cachette, elle guette. Un petit secret, il faut travailler, pour gagner, pour s'améliorer, là je ne peux concilier les deux. Un médiateur n'aurait que peu de boulot, moi je n'aurais plus de peau. Je serais pas beaucoup plus laide, peut-être moins, toute aussi repoussante, c'est sûr. C'est un avantage parfois, on vous remarque rapidement mais on vous ignore aussi vite, pointé, pas surveillé. L'invisible n'est pas pour moi, jamais il l'a été, beaucoup d'effort, des soucis et l'attention, contradictoire, l'exceptionnel ne fait pas de miracle. L’esbroufe oui, mais là je cherche juste à disparaitre régulièrement, plus ou moins, c'est plus sûr, c'est moins pratique.
Plus de scène pour moi, interdit, plus d’auditoire contemplatif, plus de scénarios non plus, la préposée aux tourment quand même m'abandonne pas. Je veux quand même des rouages, une toile et un résultat. Ils seront sommaires, ils seront inconnus, ils seront nus, ils seront. ***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Vayang 26 Fambir 816 à 20h11
 
*** Il y a peu et non pas, de passages, donc de personnes. Elles sont comme les autres, quelques paramètres qui changent de nom, même fonctionnement. La parade ne change pas. L'abandon complet attire contrairement au banal, il faut l'être, avec quelques points en-dessous de la moyenne. Rien de particulier, pareil qu'à coté en moins bien. C'est pas compliqué, suffit de connaitre les alentours, les habitants, qui n'ont pas cette dénomination pour tous, ce qui compte c'est eux, car ils seront les potentiels gêneurs, ils ne le seront pas.
Il faut du visuel, des bouteilles, en masses et différentes, une paillasses, de la saleté.
Il faut du son, la bâtisse mal entretenue mâche le travaille, quelques objets suspendu au bruit rassurant, des morceaux friables connus.
Il faut de l'odeur, des restes organiques, pas trop vieux, sinon ça dérange, il faut déranger que l’intrus, pas les voisins.
Il faut de l'entretient, du temps, quelques changement, parfois conséquent, du sous-entendu vivant, des histoires inexistantes qui laissent des traces, qui n'accueille pas, mais restent commune. Ne pas alarmer, juste signifier que c'est pas un nid disponible et de rêve.
La difficulté est là, les rêves vacillent, changent comme les gérants et les enfants. Parfois rayonnant comme une carafe lustrée, parfois terne comme l'être aimé. De temps à autre ils sont incompréhensible comme une tempête-cervelle, régulièrement repoussant comme soi.
Or le temps d'observation est réduit, en minutes et en suspicions.
Et cet abruti de piston il a pas l'air de comprendre ! J'ai beau lui sortir mon répertoire de tendres pensées, de menaces insensées, d'huile de coude de tous parfums, des positions indécentes, il me fait grave suer. ***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Vayang 4 Marigar 816 à 20h16
 
*** Le piston est mort, son créateur s'en balance sûrement, et ni lui ni son moule et encore moins son plan originel ne pourrait le reconnaitre tel qu'il est actuellement. Les gadget c'est comme les krolannes, pour les faire parler, pour découvrir des secret -qu'ils ne mesure pas à leur juste valeur- il faut les couper en petits morceaux, tester la résistance à la compression, torsion, tension ... il faut voir ce qu'ils ont dans le ventre, un fois vidé du dernier repas. Je voulais construire, mon étude était insuffisante, mes préparation dérisoire. C'est rattrapable, dissection comme thème cette semaine, et si je choppe l'inventeur de la soupape à tirette, il y passe aussi.
Le piston est mort, ma créativité ressurgit. Je la sens plus grosse qu'elle est vraiment, comme ma fille -étrange, car elle m'a manquée -vraiment étrange. Elle a bien dormi, j'ose espérer qu'elle ne reparte pas de si tôt, ce n'est pas pour autant que je vais la ménager. J'ai récupéré de nombreux outils, ils sont différents, incompréhensible pour le plus part, les matériaux sont de mauvaise qualité mais pas trop rare, il est temps de comprendre ou de découvrir une utilisation à tous. J'aurais du me douter que suivre quelques instructions ne conviendrait pas, aussi obscure soient-elles, je dirige en amont, moi seule. Ne m'écoutez pas, je divague, c'est faux bien entendu, mon égo a retrouvé sa compagne et se permet des folies. Des larrons en foire, des enfants, des enfants affamés, pas toujours mignons mais vous saurez les dompter...
Le piston est mort, vive le piston ! ***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Sukra 26 Marigar 816 à 18h59
 
*** Un rayon de lumière me fait signe, l'éclairage est toujours nécessaire, c'est un soucis car c'est un risque d'être visible. Le plus problématique reste la non-unicité, il est complexe de savoir ce que l'autre voit. Cela permet les secrets, certains penseront sans doutes que c'est quelque chose que j'affectionne particulièrement, c'est faux. Je dévoile pas ce que j'aime, j'agis avec mon savoir, pas mon amour, ils sont distinct, ils sont différents et se rencontre rarement. Est-ce un mal ? Je n'en sais rien. L'un a des milliers de promesses, des principes imposants et des pulsions résonnantes, je le trouve plus cachotier que moi, il me ressemble c'est vrai, au premier abord j'ai l'impression, son fond je l'ai jamais entrevu. Mais y en t-il vraiment ? J'en suis rapidement venu à en douter. L’élaboration et l'efficacité me plaise ou me semble plus fiable que le mystère et l'honnêteté temporaire. Bien sûre j'accorde à l'écoute une importance primordiale, mais je ne m'en tient pas à ça. Les dizaines d’interprétations sont suffisantes pour perdre l'esprit, mais les centaines d'erreurs observé aide largement à s'y retrouver. Observation, écoute, c'est bien, mais il ne faut pas s'en tenir à une seul endroit, à une seule personne, à un seul fait, sinon ça ne veut rien dire, c'est dénudé de repère, comme une bouteille dans un monde sans liquide. Cela ne va pas de soit, évidement ? non, il n'y a rien d'évident, rien d'acquis et encore moins de normal. La norme est une donnée, elle n'a de rassurant que son vide immense qui nous permet de créer, d'inventer, d'agir. Il y a temps de matière première.
Un rayon de plaisir me couvre, un instant, avant que le temps le couvre. Il est cher et très perturbateur, il nous met des bâtons dans les roues, des insectes dans nos breuvages, du sels dans nos mémoires, des poids dans nos poches, il veut garder son calme, c'est un feignant, il veut ralentir, il est vieux, il veut cesser, il a besoin de cendre aussi, mais il maitrisera le poirier avant que je m'y colle, je suis occupée. Très prise, mais promis, son tour viendra à se faire désosser, après vous, pas d’inquiétude. ***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Sukra 23 Astawir 816 à 12h11
 
*** L'aventure n'est pas tranquille, j'ai mal choisit mon lieu, il ne convient pas au bruit de mes recherches, aux échecs flagrant et leurs relations à l'environnement. J'ai privilégié la vue, j'ai monter des murailles olfactive, mais le son et les vibration ne sont pas négligeables. Aménager dans le sous sol pourrait marcher, mais c'est peu fiable, quelques erreurs de calculs et mes efforts de camouflages seront gâchée. Il me faut un autre lieu, c'est une sécurité aussi, j'ai observé de nombreux comportements surprenants et violents lors de mes expériences, ils ne m'ont pas affecté grandement, à par soulever mon intérêt ils montrent une certaines prestance, un force que je ne leur soupçonnais pas, j'en suis ravie, il leur faut un lieu adapté, il ne s’adapteront pas. J'aime cette force brutale qui ne plie pas, ce n'est pas par égoïsme mais par conviction, elle a ses règles et n'en démordra pas, inflexible et obstinée, son confort, son avenir n'a pas d'importance, elle est, c'est tout. La force est solitaire, elle se respecte et dans sa dignité elle ne fait rien contre sa faiblesse, c'est une face de la beauté telle que je la conçoit. Moi, je me régale dans mes efforts à la dominer, à la manipuler, à la briser...
Le premier endroit était parfait, mais trop difficile d'accès, ho, bien sûr je peux me suspendre à une corde, grimper et sauter quelques mètres sur un toit. Cependant, je change, je suis faillible malgré de nombreuses mesure pour palier cette fatalité, je ne pourrais peut-être pas le faire longtemps, un jambe ou un bras, ça peut partir vite, plus vite que l'âge vient, très vite du coup. Bref, donc non pour la petite clairière sur les toits au milieu des cheminées fumantes et la cacophonie des outils contondants. Ce sera plutôt une cour intérieur entre deux fonderies, pas moins sombre et presque aussi animée, plus petit par contre, moins d'intimité pour les tests risqué qui se feront dans une zone voisines, accessible, une chaine de montage déficiente mais toujours active, le produit étant peu couteux et durable. ***



Tutu, te voilà !
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Luang 9 Manhur 816 à 17h12
 
*** On ne fait pas grandir un arbre en le rationnant, un arbre ou autre chose, même les enfants suivent cette logique. Un petit malin me parlerait de la haine, mais c'est qu'il regarde de travers, je parle de rationner ses besoins et la haine a les siens. La haine comme l'amour ça pousse, comme un bulbe quelconque ou une droguerie. Il faut des conditions favorable, une exposition et un apport favorable de nutriments. Les mots changent, comme les actes et particule, mais ça reste transposable. Mieux encore les inverses sont facilement trouvable, une dualité clair et précise : le lampadaire et son ombre, ma joue et sa main, l'optimisation et l'optimise, ton cœur et tes rêves. Il faudrait tellement de ressources pour tout recenser, pas les couples, pas que, mais chaque choses et ses besoins. Projet palpitant, mais j'éviterais le hasard, tellement de paramètre pour le nourrir mais surtout tellement d'endroit où on l'a rangé, où l'on a installé et couronné.
Joli travaux possible, mais actuellement j'en ai sur le feu, et pas que de la poudre et des métaux à purifier, et ceux-ci ont aussi des besoins, transformable en valeur assez facilement.Je n'ai pas le temps de trouver ou chercher une parade, le temps non plus je n'ai aucune botte contre, ma paye passe facilement dans mes expériences, c'est un loisir plaisant, l'avais-je prévu comme cela ? Je ne sais plus, mais il me tient maintenant, j'ai donné, j'ai donc un créé un creux et il s'est naturellement installé. La symbiose n'est pas encore atteinte mais les accords me paraissent honnête, quelle blague ce mot, qu'importe je le loge, il tourne et la synergie se partage. Oui, je vois le verre plein, il n'est jamais à moitié. Attentes et désirs sont tellement beaux qu'on ne voit qu'eux, je les jalousais quand je les côtoyais. Je ne vois plus de frontière, je suis perdue dans l'obscurité, je nage, je ne sais pas vers où mais qu'importe, j'avance, je ne vois pas où je vais ni ce dont je m'éloigne ou rate. Vais-je au hasard ? peu probable, je me prépare pour la journée, on m'a éveillée pour quelque chose, du gris sombre, de la pénombre dense mais aérée, il y a des silhouettes qui se dressent et l'une d'elle est mienne. ***



Tutu, te voilà !

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