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Reprendre le flambeau
rp ouvert aux télépathes
 
Yiu
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Matal 14 Astawir 815 à 18h49
 
Elle décide de donner son maximum pour le poignard. Elle commence par forger la garde. Puis vient le blanchiment de la lame : il s'agit de la meuler pour lui donner un caractère parfaitement lisse et cet aspect réfléchissant. Sur sa lancée, elle opère de même avec le couteau de boucher et les couteaux de cuisine.

Ensuite, elle lance un feu puissant dans l'âtre et actionne le souffle. C'est le temps des traitements thermiques. « Des », car pour le poignard, elle compte bien réaliser plusieurs trempes. Autant faire les choses à fonds. Pour le couteau de boucher, elle en réalisera deux et pour les couteaux de tables une. Comme les aciers ne sont pas tous les mêmes, les températures à atteindre sont différentes. Aussi, elle réalise une première trempe de chacune de ses créations l'une après l'autres. Pour cette première série de trempe, elle utilise une normalisation avec une huile permettant un refroidissement à un rythme moyen pour une trempe. Pour les trempes qui suivront, elle utilisera une huile permettant un refroidissement de plus en plus rapide. Pour terminer, pour le poignard, par de l'eau.

Le temps continue de s'écouler. Le soir, elle a eu le temps d'effectuer deux trempes pour le poignard puis un revenu, pour la détendre.
Pour le couteau de boucher, elle a réalisé une trempe puis un revenu. Elle réalisera à la fin de son refroidissement lent une seconde trempe puis un dernier revenu.
Enfin les couteaux de cuisines sont en train de refroidir lentement à la suite du revenu. Elle n'est pas pressée et ira les livrer d'ici 48h.

 
Yiu
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Matal 14 Astawir 815 à 18h50
 
Deux jours plus tard, elle a attaqué et fini une seconde série de couteaux, qui refroidi à son tour. Elle a aussi réaliser la seconde trempe du couteau de boucher et son dernier revenu. Le poignard, lui a subie deux autres trempes puis un revenu. Elle compte encore réaliser une trempe, un revenu et répéter ces deux opérations une dernière fois. La lame semble bien évoluer. Cela l'enthousiasme.

Enfin, pendant que les lames refroidissent, elle polit puis aiguise finement les couteaux de tables puis y ajuste et fixe avec soin un manche en bois. La première série est prête à être livrée.

Quelques jours plus tard, c'est le couteau de boucher puis la seconde série de couteaux de table qui sont prêts.
Le poignard suit en fin de semaine, après un lent polissage dans la plus pure des traditions. C'est de loin la plus belle des lames qu'elle n'a jamais réalisée. Les tests de souplesse et de coupe sont passés haut la main !

 
Yiu
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Matal 14 Astawir 815 à 18h52
 
Le couteau offert à son boucher avait eu du succès et non seulement celui-ci lui s'attachait à lui faire les prix les plus serrés sur ces achats pour la remercier de son geste, mais en plus il lui avait passé commande d'autres couteaux similaires, puis toujours satisfait et ravi de ces lames, ils lui avaient demandés d'autres accessoires (hachoirs, …) qu'elle avait réalisée sur mesure en suivant ces souhaits et recommandations. Il avait alors commencé à parler d'elle à ces collègues et fournisseurs puis à ceux de ces clients qui pourraient eux-mêmes avoir besoin de ces services.

En parallèle, elle avait terminé les commandes de l'auberge qui, convaincu et visiblement content du prix obtenu – quoiqu'il ait pu en dire lors des précédentes négociations -, en avait profité pour changer petit l'ensemble de son services de table comme de cuisine.

Les jours passaient et elle poursuivait ses exercices avec applications. Elle s'efforçait chaque jour à produire des couteaux et autres lames moins nobles mais de qualité constante et supérieure. Petit à petit elle gagnait en régularité et la proportion des échecs chuta considérablement. Si au début, un certain nombre de ses œuvres était purement et simplement refondue, à la fin cela devint plus qu'occasionnelle. Elle gagna ainsi en constance mais seulement au prix d'une grande patience. Qu'elle se hâte ou qu'elle relâche son attention et elle avait vite fait de commettre une erreur qu'elle aurait du mal à rattraper ou qui la condamnerait à tout recommencer à zéro.
Avant de refondre ces échecs, elle prenait le temps de les analyser. Elle cherchait à en tirer les bonnes leçons pour limiter leurs récurrences. Quelle erreur avait-elle commise ? Aurait-elle pu détecter le problème plus tôt ? Pouvait-elle rattraper le coup ?
Elle apprit ainsi à exploiter et à dompter grossièrement ce pouvoir lanystha qui l'aidait à mettre en évidence la structure du métal qu'elle travaillait. Elle n'avait pas pour autant négligé la lecture « classique » du métal que pouvait faire un forgeron ou tout expert en métallurgie et parvenait à faire interagir ces deux talents pour comprendre au mieux comment son travail modifier le métal et détecter

Avec le temps aussi, ces lueurs étaient devenues plus discrètes. Elles avaient évoluées en quelque chose … d'autre. Quelque chose qu'elle décelait sans peine et instinctivement mais qui été à la limite du perceptible pour un œil étranger. Imperceptible même pour quiconque n'était pas à moins d'un mètre l'objet observé. Peut-être d'ailleurs était-elle la seule à les voir. Parfois, lorsqu'elle se concentrait fortement, elle percevait un niveau de détail encore plus grand mais au prix de la discrétion et d'une fatigue importante. S'il lui restait encore beaucoup à apprendre de ce pouvoir, elle l'avait déjà amadoué : lorsqu'elle était susceptible d'être observée, elle pouvait désormais l'utiliser avec suffisamment de discrétion pour ne pas craindre d'être découverte en tant que lanystha. Lorsqu'elle était sûre d'être à l'abri de regard, elle pouvait ponctuellement le décupler. Elle comprenait presque tout ce qu'elle percevait d'une lame finie, il lui restait encore à mieux interpréter et exploiter ce qu'elle percevait d'une lame en cours de forge.

 
Yiu
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Matal 14 Astawir 815 à 18h55
 
Petit à petit, la forge retrouvait une activité sérieuse avec une clientèle renouvelée, au lieu de vivre sur son ancien stock. Cette reprise lente mais régulière permettait à Yiu de prendre son temps et de s'appliquer le temps d'acquérir une main plus sûre et rapide.

Comme son travail était de qualité et qu'elle s'engageait un entretient à coût moindre et à remplacer gratuitement toute création défectueuse ou de qualité médiocre, ces clients étaient prêt à y mettre le prix.
Même dans un quartier modeste comme les ras de sols, un artisan sait qu'un outil de travail fiable mérite largement un investissement plus conséquent que l'achat de multitude de babioles qu'il faudra renouveler régulièrement. La jeune femme aimait le travail bien fait et elle était servie. Bien sûr, il y eut quelques réalisations ratées qu'elle dût refondre et recommencer, mais en prenant le temps de discuter avec ces clients de leurs attentes et en acceptant parfois de tout recommencer à zéros, elle parvenait toujours à un résultat final plus que satisfaisant. Ainsi, elle acquit une modeste renommée et une clientèle régulière et suffisante pour assurer la survie et l'avenir de son atelier.

*** Elle y arrivait. Enfin, elle se mettait à reprendre le flambeau. Il lui faudrait encore poursuivre ses efforts mais elle était sur la bonne voie. ***



 
Yiu
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Dhiwara 1 Nohanur 815 à 22h03
 
Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas remis les pieds au Dara. Et encore moins chez elle. Trop longtemps.

La curiosité l'avait emmené au Kil'Sin. Cela avait été l'occasion de passer du temps avec d'autres lanysthas et d'obtenir des minerai métallique à la source, dans le kil qui achalander tous les autres. Maintenant qu'elle disposait de nouveaux échantillons, il était temps pour elle de les tester et de reprendre ces expérimentations. De rentrer à la maison. A la forge en fait.

Elle avait plein de projet en tête. Maintenant qu'elle avait dignement repris le flambeau, il était temps de passer à la vitesse supérieure. D'améliorer la forge, de poursuivre les recherches et de réaliser des armes bien plus extraordinaire.

Mais pour commencer, il fallait savoir rester terre à terre. Maintenant qu'elle était assez grande pour mettre le nez dehors, elle retournerait probablement régulièrement au 'Sin pour se procurer certaines variétés de métaux introuvable ici et pour échanger avec certains de ces confrère et consœur lanystha. Donc la première étape consiste à s'assurer de pouvoir être joignable même dans ces absences. Et à être plus prévisible sur ces absences.

Une boite pour commencer. Une boite au lettre. Pour lui laisser des commandes et des messages. Elle commença à couper quelques planches en bois puis à les fixer ensemble. Elle alla vers la façade de sa forge pour l'y fixer. Cela n'allait pas. Trop fragile. Il allait falloir renforcer tout cela. Blinder le bois. Mieux encastrer la boîte dans la façade pour limiter les fragilités.

Elle commença gentillement par clouter de fines plages de blindages. Mais ce n'était pas assez. Elle commença à fixer solidement d'épaisses planches de blindages et à les souder solidement. Puis elle se mit à meuler la facade pour y encastrer la boîte. Les petits travaux devenaient finalement plus gros. Ce qui était parti pour prendre quelques heure pris finalement une bonne journée. Sans compter le séchage du beton consolider, pour assurer le parfait scellage de la boite.

Une boite de forgeronne ...


 
Yiu
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Dhiwara 1 Nohanur 815 à 22h28
 
Etape 2 : Le four.

Pour forger des merveilles, il faut un bon alliage, une première fonte parfaitement maîtrisée et un recuit maîtrisé et une trempe parfaitement maîtrisée. Et pour cela il faut à chaque fois maîtriser les températures de cuisson et les températures de refroidissement. Le faire à l’œil n'est donc peut-être pas la meilleure solution. D'autant que l'outre-science et la vapeur lui tendent la main. Et elle connaissait justement quelqu'un qui pourrait l'aider et avec qui elle avait rendez-vous.



 
Yiu
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Dhiwara 14 Fambir 816 à 16h28
 
Etape 3 : Créer un étage.

La hauteur sous plafond de la forge était importante. Cela permettait de rendre l'air moins irrespirable lorsque la forge fonctionnait. Principalement vis-à-vis de la température : l'air chaud monte, donc la température au sol est plus supportable. Pour les gaz, le four était isolé du reste de la pièce et l'évacuation des gaz de combustion se faisait par des tuyaux dédiés (et ce serait toujours le cas du nouveau) la cheminée de l'âtre était déjà fort efficace. Et elle comptait, à l'occasion des travaux engagés pour le four et l'âtre ajouter un dispositif mécanique pour aider à évacuer tous les gaz dans le conduit prévu pour.

Cela allait lui permettre d’aménager dans cette hauteur des pièces supplémentaire. Actuellement, seul un quart de ce qui correspondait au second niveau avait un plancher. Il s'agit d'une réserve vide car porter des objets lourds à l'étage était peu pratique. Dans son projet, une bonne moitié disposerait d'un plancher. L'autre partie resterait en pleine hauteur, pour faire une sorte de puits de lumière qu'elle couplerait avec un dispositif pour justement y amener la lumière. Cette zone correspondrait à la zone la plus proche du four et de l'âtre et à leur conduit d'évacuation. Il lui semblait inapproprié de mettre une pièce juste au-dessus car il risquerait d'y faire trop chaud.

Dans ce niveau presque entièrement crée, elle comptait bien y aménager sa chambre avec un coin bureau, une salle d'eau et une seconde et très modeste chambre pour d'éventuels hôtes. Elle récupérerait ainsi au sol la pièce qui permettait de dormir en cas de (trop) longue veillée dans la forge.

Au rez-de-chaussée, elle avait munies la façade extérieure de volets blindés anti effraction pour protéger les vitrines (enfin ce qui en faisait office pour le moment l'ancienne forge étant avant tout utilitaire) pour ces absences et la nuit. Pour le moment la forge occupait tout l'espace, à l'exception d'un petit coin cuisine avec une table et une arrivée d'eau, même pas de réchaud.

L'espace n'était pas très grand, mais en utilisant la hauteur sous plafond (importante, même après la création de l'étage il restait 2m50 sous plafond au rez-de-chaussée) et en optimisant tout ça rentrait tout juste.

Elle avait discuté avec un client architecte pour s'assurer que son nouvel étage serait assez solide et pour voir comment répartir l'espace, car il faudrait tout refaire, afin que cette forge des plus pratique deviennent en plus une boutique attirante et que le plancher nouvellement crée reçoive sa future chambre. Elle réaliserait les travaux au fur et à mesure pour ne pas avoir à fermer la forge, même si cela perturberait parfois son activité. Elle décida de commencer par l'étage, ce qui lui permettrait de quitter définitivement la maison familiale, et donc de la revendre ce qui apporterait de quoi financer la fin des travaux.

 
Yiu
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Luang 12 Saptawarar 816 à 21h39
 
*** Au rez-de-chaussée, elle avait juste réagencer deux trois choses. ***


La moitié de la surface était réservée à la forge, l'autre moitié, donnant sur le devant, était désormais vide. Elle servirait de boutique et pour cela devrait comporter la vitrine, de nombreux présentoirs et des bureaux pour travailler ou négocier avec les clients et fournisseurs. Une plus petite zone servirait de cuisine. Enfin, à long terme. Pour le moment, elle y avait agencé l'ancien mobilier, des tables donc, et ses rares vieux présentoirs. Elle y avait juste ajouté un réchaud de cuisine dans le coin adéquat ; il fallait bien manger.
Sur le mur du fond (côté forge), les extracteurs d'air avait été remplacés par des nouveaux puis puissants, capables d'évacuer très vite la moindre fumée ou vapeur qui ne suivrait pas bien sagement la cheminée.

*** L'étage prenait forme. ***

Elle s’était réservée la plus grande partie du premier étage. En fait la totalité pour le moment : les cloisons restaient à monter. Mais du mobilier avait fait son apparition. Elle avait ainsi forgé un cadre de lit et un sommier, des étagères et un immense bureau où passer ces nuits d'insomnies ou préparer ses projets les plus secrets. Elle avait mis à profit ses compétences pour réaliser la totalité du mobilier qui était donc fait de métal avec une note art déco pour la modernité. Une grande verrière donnait d’un côté sur la rue et de l’autre sur la forge. Elle avait ajouté des stores métalliques du côté extérieur pour préserver son intimité et de nombreuses lumières électriques, le quartier n’étant pas très lumineux.

*** Mais même là il reste beaucoup à faire. ***

La salle d’eau se limite à une arrivée d'eau froide et un grand bac remonté de la forge qu'elle a récuré pour pouvoir ensuite se récurer, elle, dedans.

*** Mais pour un début, c’était déjà cela. ***

C'était un symbole. Elle avait coupé le cordon ombilical en vendant l'ancienne demeure, tout en gardant en héritage le savoir passé, avec la forge. Les recettes de la vente immobilière et son activité de forgeronne qui avait pris de l’essor (entre la clientèle locale et celle liée à la coopérative elle avait de quoi faire), lui avait permis de réaliser ces premiers aménagements - une vraie chambre d'adulte il y a peu et une modernisation de la forge un peu plus tôt - sans s’endetter. Et cela allait lui rapporter dès maintenant, en confort, comme en gain de temps et de productivité.
*** Suffisamment pour envisage la prochaine étape : créer une boutique de rêve à côte de sa forge de rêve au rez-de-chaussée. ***


 
Yiu
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Vayang 28 Otalir 816 à 00h22
 
*** Réaménagement du rez-de-chaussée ou comment créer une boutique de rêve à côté de sa forge de rêve. ***

Elle était de retour. Son cher Dara, qu'elle connaît comme sa poche. Après une si longue expédition en terre inconnue, rentrer chez soi était "on ne peut plus agréable". Même si un énorme chantier s'annonçait.

Récapitulons :
- aménager une vraie cuisine
- aménager une vrai boutique (autre chose que 2 présentoirs abimés et un bureau)
- monter deux cloisons à l'étage pour délimiter une salle d'eau et une chambre d'amis en plus de ma chambre ; réaliser la dite salle d'eau et la chambre d'amis.


*** Mais les travaux s'annonçaient sous de bonnes augures. ***

Pour l'aspect financier, si sa boutique n'avait pas tourné pendant son absence, la CREA, elle ne s'était pas arrêtée. Et Yiu avait déjà des commandes ici au Sin pour faire tourner la forge à un bon régime.
Pour l'aspect pratique, si la création d'une vraie boutique était une idée vague à son départ, elle avait désormais des croquis très précis. Elle avait commencé à profiter des nuits au camp pour tâtonner puis était arrivée à un projet abouti à force d'essai et de discussion avec ses consœurs de la CREA. Elle avait même pris le soin d'ébaucher des esquisses des pièces les plus importantes.


*** Il restait donc la réalisation. ***
Le lendemain de son arrivée, Yiu passa chez ses fournisseurs et ajouta à ses commandes habituelles de quoi avancer son chantier. Elle découpa ensuite méthodiquement ces journées.
Le matin : levé aux aurores(6h30), une heure d'exercice martiaux le matin, pour s'éveiller et parfaire ses talents de lanystha escrimeuse, petit déjeuner et toilette, 2h00 de travail sur les commandes, 2h30 sur son chantier.
L'après-midi : repas à 12h30, 1h de plus sur les commandes puis 3h30 sur son chantier, une demi-heure de commande.
La soirée : relaxation, esquisses et schémas à l'échelle des pièces restant à réaliser puis repas et dodo (couchée tôt mais bien épuisée) !
La division des commandes en plusieurs morceaux permettait de mettre à profit les durées de repos et de refroidissement des pièces forgées.
Le vendredi et le samedi, pas de commandes, uniquement le chantier et soirée détente. La matinée du dimanche était réservée aux études sur de nouvelles armes (pour remplir la partie boutique de merveille une fois les travaux terminés) et l'après-midi à la détente.

*** Et la nouvelle boutique fut ! ***

Après trois semaines de travail intensif, la forge pris forme. Elle avait réalisé la plus grande partie du mobilier, fabriqué en métaux forgés qu'elle avait finement travaillé. Si elle avait réalisée elle-même les pièces en bois les plus simples, elle avait fait fabriquer les autres. Le résultat était au rendez-vous et suivait fidèlement ses plans et ses attentes les plus folles.



La seule chose qui ne figurait pas sur le schéma était la multitude d'élément constituant la forge. Elle avait bien schématisait une enclume, 3 bacs de trempe et un établi en face de l'âtre, il y en avait ... presque partout. Au fur et à mesure elle réalisa d'autres établis sur mesure, chacun dédié à un type de travail. Et surtout conçus pour ranger ces très nombreux outils et ustensiles et la partie la moins précieuse de ces stocks (l'or et les matériaux les plus rares, précieux ou secrets étant dans la chambre forte).

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