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Arrivée au Kil'dara
RP avec Ubara-Tutu
 
Népenthis
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Matal 17 Manhur 816 à 10h45
 
*** Népenthis était assise sur une caisse, non loin du quai, et attendait, regardant distraitement la foule qui allait et venait.
Beaucoup d'agitation aujourd'hui : la saison des beaux jours faisait que les approvisionnements en fruits et légumes étaient plus importants qu'en hiver et de ce fait, les dockers chargeaient et déchargeaient les cargaisons sans relâche, s'apostrophant d'un quai à l'autre dans la partie de l'embarcadère réservée aux marchandises.

Certains installaient également leurs étals à même les quais, achetant au prix de gros pour revendre aux ménagères déjà présentes pour profiter de la fraîcheur des produits nouvellement arrivés et bénéficier d'un plus grand choix.
Ça parlait, marchandait, débattait, haussait le ton pour la forme et alimenter le marchandage tout en appâtant d'autres clients potentiels par des exclamations.

Une matinée classique dont pouvait se lasser certains krolannes... A l'époque, Népenthis trouvait parfois cela ennuyeux, et pouvait traîner un peu les pieds lorsque ses parents ou son ex-compagnon lui proposait de faire le marché à cet endroit.
Aujourd'hui, elle était loin de ce quotidien routinier : mais si elle l'avait regretté un temps, sa condition de lanyshta lui avait ouvert beaucoup d'autres possibilités différentes de ses occupations journalières d'avant son éveil.

C'est par cet éveil qu'elle avait pu contacter une artisane de Kil'dé qui venait à sa rencontre lui faire la confection de l'objet qu'elle lui avait commandé.
Justement, un transport était en approche et commençait sa manœuvre vers l'embarcadère destiné aux personnes... ***



Pour vivre heureux, vivons cachés...
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Matal 17 Manhur 816 à 14h09
 
*** Je suis arrivé à destination, la première fois de ma vie que c'est hors du Kil'dé. Jamais sortis, hier c'était la première fois, dans le transport, rien de particulier si ce n'est les voyageurs. Je n'avais pas utiliser de moyen de locomotion depuis belle lurette, et la dernière fois j'étais seule, peut-être accompagnée par une autre personne. Une fois j'avais utilisé une thermo-calèche à quatre, une fois seulement et ce n'était pas mon idée. J'ai pas toujours de bonne idée, mais dans le temps c'était déjà rare et dans mon rôle j'ai céder de bonne grâce, j'ai même bien rigolé. Mais ce n'est plus jamais arrivé.
Le transport inter-sharss est plus vaste, plus remplis, moins amusant aussi, je pense pas que j'aurais pu paraître ravi de l’événement. Bon, il est vrai que j'inspire actuellement plutôt le désespoir et la misère. C'est pas si déplaisant, mais il faut que ça le paraisse, motivons et poussons à l'auto-satisfaction (moyen de locomotion fiable) la populace. Je sors du Dé, mais pas de ma robe. Aujourd'hui est mon anniversaire, le voyage n'en est pas la raison, je me suis jamais fait de cadeau et je viens ici telle une fleur, une fleur vers l’arrosoir d'un collectionneur. Pour mes trente et une année je me suis fait virer, il fallait justifier une absence, discrète. La monotonie me manquera, pour l'instant la scène des voyageur me berce et me tir hors de mes noirs entrailles. Ils ne me connaissent pas, ils m'ont détaillé de gré ou de force, j'ai gardé mes vêtements de la veille, ou celle d'avant, apparemment l'odeur n'est pas populaire. Pourtant elle m'évoque de fantastique heures à visser une un boulon et ses frères, ses nombreux frères, dont de rares changements sont raisons éviscération. J'ai aussi une peu de cette huile, le nom importe peu, mais elle se comporte différemment au repos et remué dans un rythme soutenu. Aucune application mais de joli, très joli spectacle. J'ai épargné mes cheveux blanc et mes expériences, je les laisses là où ils sont, ça mijote ou ça boucle dans un cycle de réaction stable. Personne pour prendre des notes, dommage. Un bon test de durabilité des récipient.
Changement, je suis oubliée, l'attention se tourne vers l'extérieur et l'intérieur à la fois, lointaine et de proximité. L'agitation est parfaite je gribouille la configuration sur mon carnet usé, pas trop, je suis ensuite le mouvement. Apparemment c'est la fin du voyage, on voit les tendance impulsive ou réfléchie, elles se mêlent, ils se pressent, qu'y a t'il donc qui justifie tant d’impatience ? Je me glisse derrière un couple de grands et devant un grosse dame chargée, elle me pousse et me gêne avec ses bagages, je me délecte. Sous la lumière s'ouvre un relief différent, il me faudra un point de vue. Avant, il faut la justification, je cherche l’immatérielle promesse et file vers un bord.
***
Tapis !
Des caisses de tissus, des hommes complexés un femme intéressé, une gouttière au coulis de rouille, un vendeur de bonbon et un musicien qui les casse.
Au milieu, l'attente.

***





Tutu, te voilà !
 
Népenthis
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Matal 17 Manhur 816 à 15h12
 
*** Le transport se rapproche tandis qu'au sol, le personnel prépare les amarres et les rampes pour permettre aux passagers de descendre dans encombre. Une fois le vaisseau attaché, les portes s'ouvrent et des flots de voyageurs sortent par les issues, pour poser le pied sur les quais. A l'arrière, les soutes sont ouvertes et de multiples valises et sacs volumineux sont déchargés.

Népenthis ne bouge pas de sa caisse et fixe les voyageurs qui commencent déjà s'éparpiller. Un simple krolanne verrait là une rêveuse s'imaginant des voyages dans des contrées lointaines, ou bien une amoureuse transie en train d'attendre son cher et tendre... mais il n'en est rien.
La lanyshta tente de discerner à travers la foule une signature mentale qu'elle connait un peu pour avoir échangé des pensées.

Une brune, un peu perdue, s'éloigne de la foule et vient dans sa direction. Elle semble absente. Un peu étrange aussi. Et le ressenti qu'éprouve Népenthis lorsqu'elle est en présence de lanyshtas se fait sentir. Pas désagréable. Juste comme une impression d'avoir des pensées qui se taisent autour d'elle, comme des émetteurs potentiels ou bien des récepteurs susceptibles d'intercepter les pensées qu'elle pourrait envoyer.

Arrivée non loin d'elle, Népenthis, le regard toujours braqué vers la foule, envoie une pensée
***

Pensée :
Est-ce bien vous avec qui j'ai conversé dernièrement ?


*** On verra bien s'il s'agit de la personne qu'elle attend ou pas... ***



Pour vivre heureux, vivons cachés...
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Merakih 18 Manhur 816 à 11h40
 
*** Je a entendu des racontars sur la chasse des Lanyshstas, ici. Cela ne change rien, plus de maison, juste des abris pour une partie. Une part est loin, Je dois t trouver ma grotte et mon hamac. Là et bas, des lois différentes, on regarde on se présente, comme les autres.Je reçois la pensée, un piège est loin d'être impossible, mais je tente le tout pour le tout en venant, je l'ai annoncé, je suis prête. Les précautions étant rarement superflu et présentement au rabais, un travail de maintenance régulier, je m'en prive pas.
Le coup du lacet étant tellement courant et les miens sont mal fait exprès, je sors un montre cassée, je la garde sous mon bras, elle se tient au bout d'une lanière de cuir usé. Je l'observe, je la compare avec le soleil, la remonte, quelque secousse, je l'écoute, je lui murmure des mots doux, ça marche presque. ***

Pensée :
Un pour deux chez moi, moins chez vous si batifolez.
Avec un orteil pour l'odeur et une feuille pour le plan.
Deux si c'est Ubara-Tutu la biche.
Deux si c'est pour une branche.





Tutu, te voilà !
 
Népenthis
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Merakih 18 Manhur 816 à 12h14
 
*** Népenthis esquisse un sourire alors qu'elle reçoit la pensée et pose son regard sur la kildéenne. Ainsi donc, c'est elle, l'artisane avec qui elle a discuté par télépathie depuis quelques jours.
Le style de la réponse est égal au style des autres pensées reçues, pas de doute, c'est bien elle. Et Ubara-Tutu doit être son nom visiblement.

Elle descend de la caisse sur laquelle elle était assise en tailleur pour être à la hauteur de celle qui a fait la route. ***


Bonjour et bienvenue au Kil'dara, Ubara-Tutu. J'espère que vous avez fait bon voyage.

*** Elle réalise qu'elle ne connait pas le nom de celle qu'elle est venue attendre. La foule s'est dispersée, et il ne reste maintenant que quelques passants sur le quai, suffisamment éloignés de l'endroit où elles se trouvent.

Elle tend la main vers la voyageuse pendant qu'une pensée file vers son interlocutrice. ***


Pensée :
Je m'appelle Népenthis. Mais vous pouvez m'appeler Nép' si vous préférez.



Pour vivre heureux, vivons cachés...
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Merakih 18 Manhur 816 à 18h06
 

Pensée :
Plouf !


*** Sympa, plus pas d'hésitation autorisé, les chemins s'effacent. Il faut sauter. Sans élan. Le préposé à l'improvisation fait défaut. Qu’à cela ne tienne, le chaudron le remplace. Je lâche mon vestige de montre, qui vient pendouiller mollement sur mon flanc, mes yeux fouille l'audacieuse. Jolie chaire, j'en croquerais bien un morceau, un peu de tenu, je l'imite et ferme sa main avec la mienne. J'hoche la tête, un peu de reconnaissance ou de politesse ne fera pas de mal, à moins qu'elle pense que j'évite de regarde sa chevelure elle ne devrait pas mal le prendre. Elle me glisse son nom, je ne le laisse pas s'échapper, lui je peux le croquer, comme les autres il se débat, il tord ma langue, il secoue mes dents il ronge mon palais et fait pleurer mes cordes absentes. ***


« Nayietpaait. »


Pensée :
Le plaisir est pour moi.


*** Je remonte un coin de mes lèvre, deux m'est impossible. Pupille contre pupille, face à face, le mains s'écarte. ***



Tutu, te voilà !
 
Népenthis
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Merakih 18 Manhur 816 à 22h40
 
*** Un son discordant s'échappe de la bouche de l'artisane : Népenthis, surprise, penche légèrement la tête sur le côté et hausse un sourcil.
Plusieurs possibilités :
1- Elle a une extinction de voix carabinée ;
2- Elle était à une énorme fête la nuit d'avant et a beuglé comme pas permis ;
3- Elle est muette.
La troisième option est choisie par Népenthis.

Après qu'elles se soient serré la main ***


Oh pardon, je ne savais pas que vous aviez des problèmes d'élocution. Nous parlerons donc par gestes et essayerons de nous comprendre ainsi.

*** Une nouvelle pensée fuse vers Ubara-Tutu ***


Pensée :
Nous communiquerons essentiellement par la pensée mais, pour éviter de nous faire repérer, il faudra également se parler par gestes pour que personne ne nous soupçonne de télépathie. Les lanyshtas sont très mal vus au Kil'dara, il nous faut être très discrètes. Il en va de notre survie.


*** Très mal vu... l'expression était faible par rapport à ce qu'il se passait quand un lanyshta était découvert. Même les krolannes simplement soupçonnés passaient un sale moment (et souvent, c'était aussi le dernier de leur existence...). ***


Mais ne restons pas sur ce quai, suivez-moi je vous prie...

*** Népenthis fit quelques pas et se tourna vers Ubara-Tutu, l'invitant d'un geste à venir avec elle. ***



Pour vivre heureux, vivons cachés...
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Julung 19 Manhur 816 à 13h24
 
*** Je rentre mes lèvres, mes dents sont suffisamment blanche pour ne pas en avoir honte, un artefact, toutefois le sourire qui va avec ne dessert pas assez bien. J'ondule aussi la tête. Je n'avais pas prévenu, ma faute, c'est pourtant tellement évident, pour moi qui ne me quitte pas d'une semelle, sauf pour mes bains irrégulier j'ai toujours mes bottes. Et même l'absence de chants est révélateur.
Sa surprise n'est pas la meilleur réaction, est-ce voulu ? ou une perte de moyen de courte durée et non contrôlée. Ce n'est pas important, je ne peux me permettre de vérifier si je suis observé. Je regarde qu'elle, puis lui emboîte le pas, délicat, bien dosé. Je fouille mes poches, où ai-je rangé mon carnet ? le futile ? Ma fouille n'étant pas fructueuse je me rabat sur mon seul papier solitaire présentable, la rupture de mon contrat. C'est une trace, mais pas menaçante. Plier en trois, j'essaye de le refourguer à Népenthis, les sourcils haut pendant que ma tête hoche dans de vaste mouvement. Je la colle un petit peu, elle m'a reconnu, ce n'est pas sans conséquence, surtout après un petit étonnement. ***


Pensée :
Ainsi soit-il.
La contenance est négligeable contrairement à son symbole. Profite.



Tutu, te voilà !
 
Népenthis
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Julung 19 Manhur 816 à 16h35
 
*** Népenthis ralentit un peu, le temps que la kildéenne soit à sa hauteur. Elle semble imiter le comportement de la kildarienne.
Peut-être que sa nouvelle nature l'a quelque peu perturbée au niveau de la sociabilisation... elle se demande s'il ne faudrait pas la conduire chez le docteur lanyshta qu'elle connait mais bon... ce n'est pas de son ressort et Ubara-Tutu ne paraît ni agressive, ni méchante. Juste un peu perdue. Comme Népenthis l'a été à un moment, préférant se terrer et fermer ses pensées aux autres lanyshtas.

Côte à côte, elles quittent le quartier des embarcadères, se dirigeant vers le grand pont de glou, puis vers le district botanique où elle réside. Népenthis prend soin de ne pas marcher trop vite, pour qu'Ubara-Tutu puisse regarder si elle le souhaite les quartiers qu'elles traversent. Après tout, lorsqu'elle s'était déplacée au Kil'dé, elle avait apprécier de pouvoir découvrir un nouveau décor.

Arrivée devant son échoppe, Népenthis pousse le battant de la porte et invite Ubara-Tutu à la suivre. C'est alors qu'elle remarque le petit bout de papier. Elle regarde Ubara-Tutu ***


Qu'est-ce donc ?



Pour vivre heureux, vivons cachés...
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Julung 19 Manhur 816 à 18h32
 
*** Mes yeux sont servis. Un nouvel endroit, pas juste une maison, ou un quartier lointain, un Sharss, une première. C'est grand. Je cherche des repères, des endroit vaguement discret, mais je viens d'arriver, les mœurs ne me sont pas connu, difficile d'être pertinent. Je suis impressionné, le principe est le même, mais gens et constructions ont un agencement qui m'est inconnus, je suis rapidement perdu dans mes observations de détails et je les délaisse pour tenter de capter un peu l'ambiance de fond. Je trotte derrière ma guide, elle a ignoré mon papier, je lui tend quand même, ça fait une laisse. Une fois arrivé je l'écoute, mais son visage est clair. ***


Pensée :
Un meuble pour la conversation.


*** Je rentre dans le bâtiment. Le logement n'a pas été question dans la discussion précédent le voyage, c'est pas un problème, enfin ça ne l'était pas, dehors a généralement une décoration plaisante. Mais si j'ai un nid, c'est pas plus mal, surtout si je dois travailler. J'essaye de me souvenir des gestes de l'artisan que j'ai espionné. La liste des course d'un apprenti pas assez consciencieux m'a aider à déduire les ingrédients nécessaire. Je sais plus où elle est, mais normalement je l'ai transmise à "Nep", elle devrait aussi me fournir les outils. J’évaluerais quand même les moyens de fuites disponible. ***



Tutu, te voilà !
 
Népenthis
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Julung 19 Manhur 816 à 23h41
 
*** Népenthis a refermé la porte derrière elle et la kildéenne puis est allée dans la partie privative avec cette dernière. Elle déplie le papier qui lui est tendu et lève les yeux vers Ubara-Tutu ***


Un contrat ? Je ne souhaite pas que vous soyez à mon service, loin de là, vous faites comme bon vous semble durant votre séjour. Ah mais suis-je bête, j'oubliais...

*** Népenthis va dans un coin de la pièce ouvrir un coffre et en sort quelque chose que son invitée ne peut voir de là où elle est.
La kildarienne revient et tend à Ubara-Tutu les objets ***


C'est ce que vous m'avez demandé pour pouvoir me fabriquer une baguette. J'espère que tout y est... n'hésitez pas à vérifier et si besoin est, je retournerai faire des courses.
Une chambre vous attend à l'étage où vous pourrez vous reposer et travailler sereinement.


*** Elle regarde à nouveau le papier et le lit plus attentivement ***


Sans vouloir être indiscrète, que signifie cette rupture de contrat ?




Pour vivre heureux, vivons cachés...
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Dhiwara 22 Manhur 816 à 14h13
 
Pensée :
Une vis, rien de plus, connaître et pas connaître, c'est étrange, alors j'ai mit un fil. Un faux.


*** Je laisse tomber mes explications et regarde les matériaux, les outils, tout ça est beau, je me frotte les mains. J'espère qu'il y auras des chutes. L'artisan en avait laissé, mais il maîtrisait son ouvrage, sa précision était épatante. Au pire il y aura de quoi faire un collage. Pour ajouter un peu de décoration, c'est sympa ici, alors pour ailleurs. En entendant parler de chambre, je suis ravie, je crispe mes mains et mes lèvres se tendent. ***


Srrriupt.

Pensée :
D'autre pièces ? excellent, propre aussi, mais habité.
Le contenu est négligeable, à peine nécessaire pour me couvrir, un loquet de plus. C'est le papier que j'ai donné, pas son but ni son sens, enfin pas celui initial, il a changé en même temps que les mains, pour tout aussi temporaire.

Confiance, confiance.



Tutu, te voilà !
 
Népenthis
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Dhiwara 22 Manhur 816 à 22h57
 
*** Népenthis ne comprend pas les explications données pour le papier mais préfère ne pas poser d'autres questions, pour ne pas froisser son invitée.
Elle observe Ubara-Tutu et se réjouit lorsqu'elle la voit se frotter les mains de contentement. Visiblement, tout ce que l'artisane a demandé est là et lui convient. Un peu surprise par sa réaction lorsqu'elle lui annonce qu'une chambre l'attend à l'étage, elle sourit aux paroles de la kildéenne ***


Oh mais j'ai toute confiance en vous.
Prenez la chambre que vous souhaitez parmi celles qui sont du côté de l'escalier. Vous pourrez y travailler à votre aise et aussi longtemps que vous le souhaiterez.

*** Elle accompagne ces paroles d'un sourire bienveillant. ***



Pour vivre heureux, vivons cachés...
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Luang 23 Manhur 816 à 19h20
 
Tshoua shtuah shatsh !

*** Je ne peux contenir des quelques éclats, qui aurait pu être de la voix mais sont juste pitoyable. Je me redresse, tends les muscles de mon dos qui commençaient à se croire chez mémé. Un petit spasme pour les remettre dans le droit chemin. Je m'incline. ***


Pensée :
Tiens, voilà des excuses.
Merci Tendre, tu brilles.
Une découverte de plus ce jour. Le haut du podium ?


*** J'approche les objets reçu de mon nez, cherchant à mémoriser leurs odeurs. Je les apprécie, puis les met dans mon sac et part à la recherche de ma chambre, de ma main droite écartée, je caresse de la paume la main-courante. Le bois est gentil, il est doux, comme la propriétaire, quel traitement a-t'il eu ? lui aussi. ***



Tutu, te voilà !
 
Népenthis
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Matal 24 Manhur 816 à 10h04
 
*** Népenthis laissa Ubara-Tutu aller s'installer dans une chambre puis, quelques temps plus tard, monta à son tour et l'appela ***


Si vous avez terminé de vous installer, nous pourrions sortir : je vous indiquerai où se trouvent les boutiques des commerçants qui pourraient vous être utiles. Je vous attends en bas.

*** Elle redescendit dans la pièce principale et s'installa dans un fauteuil le temps que son invitée la rejoigne. ***



Pour vivre heureux, vivons cachés...
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Matal 24 Manhur 816 à 10h21
 
*** J'ai trouvé une porte, un lit derrière et j'y ai déposé mon sac dessus. Un peu plus tard, une fois que je l'avais presque vidé pour trouver un maigre carné usé et un court crayon, mon hôte est revenue. Bonne idée que de repère les lieux. J'ai un peu fouillé la chambre, limitant le bruit et donc l'efficacité, j'ai testé l'ouverture de la fenêtre. Cela ne peut suffire, pour survivre il faut de la connaissance, quoi de mieux dans ce lieu inconnu qu'une reconnaissance ? Je laisse le bazar intact, test d'intimité de bas niveau. Une fois descendu au rez de chaussé, je m'assoie sur une marche, prête à suivre la guide, les pommettes hautes d'impatience. ***


Pensée :
Présente !
Pièce qui tinte et moelleuse, elle plait.



Tutu, te voilà !
 
Népenthis
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Matal 24 Manhur 816 à 12h59
 
*** Népenthis sourit puis se lève. Elle ajuste sa cape et se retourne vers Ubara-Tutu ***


Alors allons-y ! N'oubliez pas de joindre les gestes à vos pensées pour que personne ne se doute que nous communiquons par pensée : nous risquerions de nous faire repérer.

*** Elle l'invite à la suivre, et après avoir fermé la porte à clé, elle l'emmène vers des rues plus fréquentées. ***


Nous allons nous diriger vers le quartier où il y a le plus de commerçants : vous pourrez y trouver des boutiques qui vous plaisent. Si vous souhaitez que je traite certaines transactions, dites le moi.

*** A l'intersection de la rue, un flot de passants déambule alors que le brouhaha des vendeurs interpellant les clients leur parvient aux oreilles : le "shopping" va pouvoir commencer. ***



Pour vivre heureux, vivons cachés...
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Matal 24 Manhur 816 à 17h30
 
Ouh ouuh huouu.

Pensée :
Vigilance me connait.


*** Le Voix m'a déterrée, mais j'ai gardé des liens avec les décombres, l'oubli et l'arrière plan. Les restes d'une ferveur consumée m'a montré le ton. Un terne sophistiqué mais discret, la guenon que je suis n'a pas trop était dépaysé. Une chienne des rues m'a montré comment rongé les os, les vagabonds m'ont endurcis et la lumière des lampadaires m'a apprit ce qu'on voyait et attendait de moi. J'ai confiance sur ce point, c'est confortable, c'est moche, mais quand même je m'y complais. Les yeux sont des lances, juste de longues pointes peu maniable, pas besoin de bouclier pour les contrer. Je suis, je regarde, je compare avec les souvenirs de mon kil, les récents et les plus anciens, rapidement pour les dernier. J'essaye de garder une nette proximité, sans pour autant brusquer la foule, un combat éviter une défaite de moins. Les sons sont mal accordé, mal synchronisé, hummm, miam. ***



Tutu, te voilà !
 
Népenthis
Gestionnaire du Kil
Kil'dara  
Le Matal 24 Manhur 816 à 18h49
 
*** Népenthis se tourne régulièrement vers Ubara-Tutu pour s'assurer qu'elle suit malgré la foule qui se presse autour d'elles.
Des odeurs alléchantes émanent d'une petite auberge réputée pour y proposer des mets locaux. La kildarienne se tourne vers Ubara-Tutu ***


Souhaitez-vous que nous mangions un morceau avant de poursuivre notre route ?



Pour vivre heureux, vivons cachés...
 
Ubara-Tutu
Travailleur
Kil'dé  
Le Matal 24 Manhur 816 à 19h47
 
*** Je capte ses mots. Manger ? J'agite mes narine, souffle pour y dégager les anciennes odeurs fortes et persistantes. Moins de nouveauté de ce coté là, mais ça peut être riche, si le nez ne reste pas dans l’assiette. S'il y reste c'est bien aussi, ce ne serait pas sans raison. Je hoche la tête quelque fois, change mon orientation puis reprend ma route, ma démarche rigide me mène vers l'auberge, quelque soit son nom. Le bruit ne baisse pas, elle ne comprends rien au patois du coin, heureusement c'est un mur passable, mais un mur tout de même. Il faut trouver la porte et de quel pluie protège le toit. Très ludique les voyages, ça va être stimulant. ***



Tutu, te voilà !

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