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Quand Jade n'est pas là...
 
Rhôz
Comitaire actif,
Etudiante-Enseignante

Kil'sin  
Le Luang 10 Nohanur 814 à 22h56
 
Quand elle a besoin de se détendre ou se changer les idées, Rhôz choisit généralement entre deux options. Le première, celle de plein air, est d'aller faire un tour au Parc aux oiseaux. La seconde, en intérieur, est de passer quelques heures à la bibliothèque de l'Institut. Pour se requinquer de ses récents tracas et déconvenues, elle s'est ainsi replongée dans son étude historique des souterrains de la Cité en général, et de Kil'sin en particulier. En plus du plaisir intrinsèque à de telles explorations, elle espère en tirer quelques éléments pratiques – ou au moins des pistes – concernant une question qui lui paraît désormais d'importance : sortir et rentrer au kil en toute discrétion administrative.

Deux journées de lecture l'ont bien retapée. À vrai dire, en dehors de ses retours de migraine, elle se sent nettement plus en forme qu'aux premiers temps de sa nouvelle condition. Depuis qu'elle est rentrée, il lui semble avoir retrouvé la plus grande partie de ses sens, et aussi récupérer plus correctement de ses moments de fatigue. Ce soir-là, elle est presque guillerette en s'en rentrant vers la Rieuse Escarbille. Elle songe à son petit échange télépathique avec Jade, la veille : Rhôz a suggéré qu'elle pourrait faire des recherches complémentaires en ville si elle pouvait ainsi éclaircir quelque chose pour les membres de l'expédition. C'est tout à fait hypothétique, mais cela la console de ne pas être directement sur le terrain.

Elle sort un instant de ses pensées pour s'apercevoir que ses pas l'ont menée à deux pas de la rue Baqueur-Strip, là où elle avait pris part la semaine précédente à une étrange séance de bagarre expérimentale dont le centre d'intérêt était moins les techniques de combat utilisées que le ressenti psychique des participants. Par curiosité – son grand démon – elle laisse dévier sa route vers ladite rue, juste pour voir à quoi ressemble le 221 quand on passe devant sans autre fin que de flâner.

Elle remonte donc la rue dans le jour déclinant, sans attirer l'attention parmi les passants. En arrivant à hauteur du 221, levant comme par hasard le nez vers le bâtiment, il lui semble percevoir une lumière derrière les rideaux au deuxième étage, celui où loge Jade, d'après ses supputations. Ou bien il s'agit de l'appartement d'un voisin. Mais l'ombre d'un doute s'insinue dans son esprit, et cela suffit à aiguillonner sa terrible curiosité...

Rhôz passe son chemin puis, deux pâtés de maison plus loin, prend sur la gauche pour déboucher sur la petite rue plus bas, celle qui passe derrière le 221 Baqueur-Strip et lui permettra de remonter jusqu'à la porte de service qu'elle connaît bien. Cette fois-ci elle se fait nettement plus petite et, arrivant au niveau de la porte latérale, la vérifie furtivement. Elle est fermée mais il suffit de faire gentiment sauter un loquet et de le remettre en place pour rentrer en toute discrétion. Le genre de serrure qui sert uniquement à empêcher le vent de faire claquer la porte. Elle reconnaît la cave à charbon sur le côté du corridor et l'escalier tout au bout, qu'elle s'empresse de gravir.

Deux étages plus haut, il apparaît qu'il n'y a qu'un appartement au deuxième étage. Il est à peu près certain que c'est celui de Jade. Rhôz s'approche de la porte à pas discrets puis tend l'oreille. Pas un bruit à l'intérieur. Mais elle a aperçu une lumière, elle le jurerait. Jade ne peut y être. Un intrus profiterait-il de son absence ? Difficile de laisser libre cours à cette éventualité...

Oubliant tout prudence, Rhôz glisse sa main dans sa poche et saisit sa petite clef spéciale...



Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
(Son empreinte psychique évoque un contour de rosier dans la brume matinale.)
 
Cal Keran
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Caïd

Kil'sin  
Le Luang 10 Nohanur 814 à 23h41
 
Il y a des métiers parfaits. L'un d'eux consistant non pas à servir de leurre ou d'appat, métier dont le taux de pénibilité avoisinait zéro, mais dans la dangerosité compensait l'intérêt, mais à servir de fantôme. Un fantôme inexistant dans une expédition bien réelle. Tandis que les autres se caillaient les miches en extérieur, lui était bien au chaud, enfoncé dans le lit de sa "boss", une bouteille non loin du lit. Un soupir à ses côtés. Il tourne la tête. La brune se retourne, toujours endormi. Bon, ok, il ne l'avait pas ramené de manière sport, mais généralement, quelques coups à boire, lui montrer les pierres dues à sa "richesse personnelle", et la convaincre qu'il était avant tout un travailleur manuel...

Non, c'est vrai quoi, être discret, d'accord. C'était un fait, il devait l'être. Mais de là à s'enterrer dans une grande maison.. Il avait tenu... Allez, deux heures. Deux longues, longues heures à tourner en rond. Tenté de fouiller, il avait jeté un coup d'oeil. La Verte tenait ses affaires comme elle tenait son esprit. D'une manière... Mécanique, rangée et maniaque. Diable. Il pourrait embarquer quelques trucs intéressants, mais la connaissant, elle avait sûrement tenu un compte de la moindre de ses affaires. Elle était du genre à tenir un tableau statistique de ses petites culottes. Sérieusement.

Alors il était sorti. Il avait un peu écumé les bars du coin, le premier jour, et était rentré seul. Il n'avait fait que repérer. Mais quitte à rester à la maison, autant l'être en bonne compagnie. Et lorsqu'il avait vu cette petite brune... Oui, le jeu avait été trop tentant pour ne pas le jouer. Ils avaient bu. Ils avaient rit. Ils avaient redécoré la chambre façon "atelier de travail Kilsin". Que du normal. La chef ne lui en voudrait pas.

Il avait pris soin de "planquer" les affaires de celle-ci, d'ailleurs. Expliquer que l'habitation ne lui appartenait pas était... Gênant. Et expliquer la présence d'autres vêtements féminins, encore pire.

Se penchant doucement vers elle...

Il se stoppe. Le bruit d'une clé dans la serrure. Large sourire. Qui s'efface. La chef ? Non, la Verte ne doit pas rentrer, pas tout de suite. Enfilant un pantalon en vitesse, il sort l'une des dagues de sa tunique, se dirigeant doucement vers l'entrée, à pas de loup. Inutile de charger en hurlant, s'ils étaient plusieurs, il sauterait par la fenêtre et laisserait son invitée s'en sortir. Boarf. Ca arrive tous les jours au Kil'Sin, après tout.

Passant l'oeil par l'encadrement... Quelqu'un. Trop petit pour la Verte. Lui tourne le dos. Un pas. Deux pas. Trois. Plus grand que lui. Faisant jouer la lame dans sa main, il hésite une brève seconde. Prévenir le visiteur ou l'endommager directement ? Non, le sang serait une saloperie à nettoyer. Et à priori, aucun autre individu pour s'opposer à lui. Posant sa lame contre le dos du-dit visiteur, il lâche :

CK : "Salut l'ami. Je sais, parfois, on confond les portes, on croit qu'on a oublié sa clé. Mais je te jure, y'a erreur. C'est quoi ton petit nom ?"

Impossible de s'en empêcher...


Gentleman Cambrioleur
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Rhôz
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Etudiante-Enseignante

Kil'sin  
Le Matal 11 Nohanur 814 à 10h46
 
La serrure est d'un modèle sérieux qui donne à Rhôz du fil à retordre. Heureusement, personne ne déboule à l'étage pendant qu'elle besogne, mais ça lui demande plus de temps qu'escompté. Encore heureux qu'il ne s'agisse pas d'un modèle piégé. Vu le personnage, ça ne l'aurait pas entièrement étonnée de Jade.

Une fois la porte passée, elle accède à un appartement plongé dans la pénombre dont se dégage l'impression curieuse d'un logement propre et rangé auquel on aurait récemment ajouté une petite couche de bazar. Mais pas le genre de désordre que laisse un cambriolage.

D'un côté, une fenêtre aux rideaux donne la sur la rue, de l'autre deux portes donnent sur d'autres pièces. Rhôz se dirige vers la plus proche et constate que c'est un banal cagibi. Personne dedans. Retournant dans la première pièce, elle ressent tout à coup une sensation familière, comme un picotement psychique. Y aurait-il un autre Lanyshta dans les lieux ? La situation deviendrait dangereuse.

Une lame pointée sur son dos interrompt sa réflexion. Elle se fige. Puis viennent des sarcasmes. Et une voix qui lui est familière...


Cal ? C'est toi ?

Qu'est-ce que tu fiches là ?



Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
(Son empreinte psychique évoque un contour de rosier dans la brume matinale.)
 
Cal Keran
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Caïd

Kil'sin  
Le Matal 11 Nohanur 814 à 13h37
 
Etonnement. Oui. Maintenant qu'il le sait... Cette marque appartient bien à...

CK : "Rhôz ? Par les trois Kils, qu'est ce que tu fous là ?"

Bon, point positif, ils en sont au même stade de réflexion. Ce qui, on le souligne, est le signe que deux grands esprits se rencontrent, si quelqu'un en doutait encore. La lame se baisse.

Bon. Trouver une manière d'expliquer ce que la Verte voulait normalement qu'il garde pour lui. D'un autre côté, l'Etudiante était sensé être membre de l'Eclipse, elle aussi, elle pouvait donc connaitre les tenants et les aboutissants de la situation, non ?

CK : "Mission spéciale, d'importance même, confiée par Jade elle-même ! En sous-marin, elle m'a prêté sa maison pour..."

"Mon oiseau de nuit ?"


Ah. Evidemment. Grimace sur le visage du voleur qui se dirige vers la porte de la chambre.

CK : "Rendors toi ma belle, c'est juste... Juste..."

Regard vers Rhôz. Haussement d'épaules.

CK : "Ma soeur."

"Tu me présentes ta famille ?!"

CK : "Non elle croyait que j'étais seu..."


Quelques bruits de tissu, et une tête brune passe l'encadrure. Une bonne tête de plus que le voleur, un grand sourire chargé de reproches.

"Tu ne m'avais pas dit que tu avais une soeur."

CK : "Et tu ne m'avais pas dit que tu savais faire ça avec ta... Enfin bref, je suis désolé ma belle, histoire de famille, tout ça, tu penses que tu peux nous laisser un moment ? Je reviendrai ce soir à l'auberge, je te promets !"


Regard dédaigneux. Puis un soupir. La voilà qui se dirige vers la sortie, souriante à nouveau. Elle attrape un lourd manteau accroché, et ouvre la porte.

"Sans faute. De toute façon, je sais où tu habite. Je t'ai parlé de mon... Mes frères ?"

La porte claque. Le voleur tourne un regard vers l'étudiante. Et lui sourit.

CK : "Oh, Jade saura s'en sortir, hein ?"

Non, il n'avait pas l'intention de suivre cette relation, de toute façon.


Gentleman Cambrioleur
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Rhôz
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Kil'sin  
Le Matal 11 Nohanur 814 à 17h35
 
Cal occupe donc l'appartement de Jade le temps de son absence, et il s'occupe apparemment d'en faire une piaule de joli-cœur... Enfin, c'était leur problème, pas celui de Rhôz. Même si elle se trouve pour l'occasion propulsée « sœur » de Cal.

Je suppose qu'elle saura... Espérons juste que cette histoire ne finisse pas en homicides.

Espérons donc que les frères ne viennent jamais rendre visite à Jade. Ça leur coûterait sûrement beaucoup plus cher qu'à Cal.

Tu es donc chargé de faire le « sous-marin » ?

Et tu es rentré depuis quand ? Tu attends quoi, au juste ?

Elle avait bien compris que les deux Lanyshtas mijotaient quelque chose, mais elle ne s'attendait pas vraiment à retrouver « Derek » en ville. Il y a des chances qu'il ne soit pas rentré par le poste des gardes-murailles. À moins qu'elle n'ait échafaudé un autre tour de passe-passe administratif pour dissimuler son retour en ville sous quelque faux document.

Et au fait... Si tu te planques, c'est que tu es rentré sans te faire voir, alors... comment tu t'es débrouillé ?

Une pluie de questions. Vu la situation, autant que ce soit elle qui les pose...


Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
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Cal Keran
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Kil'sin  
Le Matal 11 Nohanur 814 à 23h11
 
Nouveau haussement d'épaules, un grand sourire.

CK : "Noooon, Jade règlera ça à l'amiable, je n'aurai été qu'un vil squatteur profitant de l'absence d'une innocente citoyenne pour m'infiltrer chez elle et abuser de l'accueil des femmes locales. Rien de bien méchant. Quand je les ramène chez moi je dois être beaucoup plus prudent, frangine."

Un petit rire de gorge, tandis qu'il se dirige vers la pièce faisant office de cuisine. Prenant un pichet rempli d'un fond d'eau, il s'éclaircit la gorge avant de répondre aux question.

CK : "Sous-marin, oui. Jade voulait quelqu'un d'officiellement avec vous, d'officieusement absent. Qu'on ne pourrait jamais voir et qui ferait planer le doute sur sa présence ou non. Quelqu'un qui ferait hésiter le piégeur potentiel pour agir. Même si à mon avis, ça ne sert à rien, ça me permet au moins de rester au chaud."

Il repose le pichet.

CK : "Une entrée dans la muraille, dégotté par Jade. Personne ne m'a vu rentré. Et on avait vu un brun sortir, on s'en fichait de revoir un blond en ville. Je ne suis pas une sommité, personne n'a fait attention. Et toi, dis moi, tu fais quoi ici, tu n'es pas sensée les accompagner ? Ils sont déjà rentrés ? Non, Jade aurait été la première à venir ici..."


Gentleman Cambrioleur
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Rhôz
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Kil'sin  
Le Merakih 12 Nohanur 814 à 13h59
 
Le « frangin » Cal Keran est donc chargé de se planquer en ville. Et pour ce faire il fait le beau dans les bars. Certes, il n'était pas forcément si connu, mais tout de même... Cela dit, pour ce qu'elle connaît déjà du personnage, c'est là toute son effronterie habituelle – mentir, insulter ou dissimuler ouvertement pour mieux rouler son interlocuteur.

Non, l'expédition n'est pas rentrée. C'est moi qui ai annulé ma participation.

Elle est tentée d'en rester là sur les explications, mais Cal mérite bien un petit complément d'information.

Les choses ont pris dès le départ un tour qui n'allait pas. Pour moi, tout l'intérêt d'une expédition est de partir en groupe. Mais c'est tout le contraire qui s'est déroulé.

D'abord tu pars seul. Je comprend mieux pourquoi, maintenant.

Ensuite Jade part toute seule à son tour.


Rhôz s'assied sur une chaise qui se trouve non loin d'elle.

Les membres restants étaient sensés au moins former un semblant de troupe. Mais le Bariolé est parti en solo lui aussi, sans nous prévenir ni nous attendre. Le temps que je m'assure qu'il nous avait vraiment plantés là, c'est l'Aveugle qui s'était envolé.

Pour moi, une expédition, ce n'est pas un groupe de personnes qui partent une à une sans s'occuper des autres. Surtout si c'est pour s'aventurer de nuit en territoire inconnu et dangereux... Alors j'ai préféré laisser tomber.


Si c'était pour être en solitaire au Dehors, je pouvais très bien me débrouiller toute seule.

D'y penser, elle fulmine encore.

Mais toi alors... Tu dis que tu connais une ouverture dans la muraille pour rentrer ? Et donc pour sortir aussi... C'est très intéressant.

Figure-toi que je faisais des recherches là-dessus... en bibliothèque, à tout hasard. Mais le terrain c'est encore mieux comme source.

Tu saurais me montrer le chemin ?



Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
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Cal Keran
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Kil'sin  
Le Merakih 12 Nohanur 814 à 19h09
 
L'expédition n'était pas rentrée ? Et c'était une catastrophe ? Diable. Mais pourquoi la Verte ne lui avait rien dit ? Remarquez, dans l'équation, il n'était pas l'élément le plus important, juste un vague joker qu'on garde dans sa manche en plan bis, voir ter.

CK : "C'est le Kil'Sin. Et vous êtes partis sans être approuvés par une sommité. Jade n'a pas encore le charisme suffisant pour pousser les gens à l'écouter. C'est la beauté de la liberté, personne n'est obligé d'écouter, et former une expédition sans prendre en compte ce paramètre, ha, folie !"

Se dirigeant d'un pas vif vers la chambre, il continue.

CK : "Je l'ai vu peu de temps mais il me plait ce Bariolé, de toutes les couleurs, intéressant, il dénote dans un quartier qui n'est pourtant pas fadasse ! Je ne dis pas que tu l'es, par exemple, mais lui, lui, lui !"

Sifflotement, il prend une chemise au sol, l'enfile promptement. Se retourne vers elle. Et secoue la tête.

CK : "On se calme. Jade l'a trouvé. Pas moi. Moi je n'ai fait que l'emprunter. Et tant que je n'aurai pas eu l'autorisation de Jade pour montrer ce chemin, je ne le montrerai pas. Tiens, même si elle me le donnait ! Tu sais que je suis sensé rester ici ? Si on me trouve en ville, près des murs, il se passera quoi, hein ? Non, pas tout de s..."

Il claque des doigts. Changement de sujet, son sourire s'étend d'une oreille à l'autre.

CK : "Le pouvoir ! L'état, ça s'est manifesté ! Enfin... Je n'y arrive plus, mais brièvement, comme Jade l'avait prévu, dans un état particulier ! Oh ne t'inquiètes, j'étais derrière elle ! Elle n'a rien vu !"

Allez savoir ce qu'il voulait dire...

CK : "Une lumière vert, au bout des doigts, c'était génial ! J'aimerai pouvoir le refaire, je suis à un doigt d'y arriver ! Peut-être la refaire venir ici, tu en penses quoi ?"

Au moins, il est enthousiaste, c'est bien.


Gentleman Cambrioleur
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Rhôz
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Kil'sin  
Le Merakih 12 Nohanur 814 à 20h20
 
Tout dévêtu qu'il soit (Rhôz y prête à peine attention), Cal saute du coq à l'âne, passe de considérations politologiques à un dithyrambe en l'honneur du Bariolé. Puis une série de refus face à la demande de l'étudiante, tandis qu'il se rhabille.

Quoi ? Tu ne dois pas sortir ? Tu ne peux pas me le montrer ?
Parce que tu n'es pas sorti, peut-être, pour ramener cette donzelle et lui montrer cet appartement ? Qui n'est pas le tien, dois-je le rappeler, mais celui de Jade – pour reprendre tes arguments –, et...


Un claquement de doigts et le voilà qui lui coupe le sifflet, et qui change de sujet, comme s'il n'avait pas entendu ses protestations. Encore ces histoires de pouvoirs émergents. Il semble les attendre avec impatience, tel un adolescent prépubère guettant ses premiers poils au menton.

De mon côté je n'ai rien remarqué de spécial. À part peut-être que je me sens moins patraque qu'au tout début.

J'ai toujours ces migraines qui reviennent de temps en temps.

Et aussi ces échauffements...


Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
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Cal Keran
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Kil'sin  
Le Merakih 12 Nohanur 814 à 20h55
 
Il secoue la tête. Non, non, non, ça n'avait...

CK : "Rien à voir, rien du tout. Je suis discret en ville, dans un bar, mêlé à la foule, là où tous me voient mais aucun ne comprend ! On cache aux yeux des krölannes plus de choses en leur mettant sous les yeux qu'en le planquant sous un rocher ! Si on sort, là, maintenant, pour aller au mur..."

S'asseyant sur le lit, le voilà qui commence à enfiler ses bottes.

CK : "Et qu'on nous chope là-bas, autant te dire que les gens sauront sans problème que je ne suis pas parti avec les autres ! Ce serait stupide ! Et nous ne sommes pas stupides, si ?"

Grand sourire vers elle. Et le jeune se remet sur ses pattes.

CK : "Allez, pour me faire pardonner... Je t'offre un verre ? Les estaminets ? C'est l'heure idéale !"


Gentleman Cambrioleur
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Rhôz
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Kil'sin  
Le Merakih 12 Nohanur 814 à 21h20
 
Se pourrait-il que toute l'argumentation de Cal ait juste pour but de dissimuler sa peur de contrarier Jade ? Il est vrai que ce ne serait pas un sentiment tout à fait irraisonné, compte tenu de la facilité avec laquelle la Femme Verte envisage manifestement la violence sur autrui. Et de la facilité avec laquelle Rhôz l'a déjà vu l'exercer sur Cal (et même sur elle, d'ailleurs).

Il allait falloir manœuvrer plus finement, et plus patiemment aussi, pour amener Cal à changer d'avis.

Autour d'un verre ? Et pourquoi pas, après tout ?

Elle laisse échapper un soupir désabusé.


Puisque tu insistes... Allons boire.

Ce pourrait être l'occasion d'en savoir un peu plus sur son tout nouveau frangin.


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Cal Keran
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Kil'sin  
Le Merakih 12 Nohanur 814 à 21h31
 
La pointant du doigt, il sourit de plus belle :

CK : "Ca ! Ca c'est l'esprit, l'esprit de la nuit ! Y'en a pas deux comme ça, et pourtant, je suis favorable à la plus grande diversité possible. Oui madame. Allez ! Viens !"

Attrapant sous le lit un ceinturon, ceint d'une... Autre dague, il l'accroche. Difficile de savoir combien il peut en porter. Une à la ceinture, plus massive, une dans chaque manche, pour ce qu'aurait pu en voir l'étudiante... Peut-être d'autres, ailleurs. Non, pas là !

Allant à la salle d'eau, il se recoiffe sommairement. Le vieux "coiffé décoiffé" qui lui va si bien. On regarde sa machoire. On sort l'un des lames, on cure avec précaution, et on range. Aaaaah, le narcissisme, cette belle invention.

D'un pas rapide, il se dirige vers la sortie, attrapant un manteau en passant, et, attrapant la main de l'étudiante dans un souffle, sans guère lui laisser le temps de réagir, la traine dehors :

CK : "Tiens, tu en profiteras pour me parler de toi, on a beaucoup cogné, chère frangine, mais pas beaucoup parler, et justement, parler, je préfère, ça fait moins mal et ça rapporte plus. Allez, dis moi, tu viens d'où, tu fais quoi, tu rêves à quoi, tu as forcément un rêve, chère Rhöz, Rhöz, Rhözé du matin ?"

Moqueur ? Juste amusé ? Comme toujours indéfinissable.


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Rhôz
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Kil'sin  
Le Merakih 12 Nohanur 814 à 22h36
 
Pendant que Cal se prépare, Rhôz jette un coup d'œil rapide à l'appartement de Jade. Ce pourrait être utile, un autre jour, de connaître la configuration des lieux. Elle n'y voit pas beaucoup de choses pouvant indiquer qu'on est chez Jade. S'agit-il d'un appartement de façade, tandis que sa vraie tanière se trouverait ailleurs ? Un goût poussé pour le dénuement et les intérieurs spartiates ? À moins que Cal se soit empressé de cacher toute trace de la vraie locataire pour mieux se sentir chez lui... ou donner cette impression à ses visiteuses.

Il marque en tout cas un certain entrain, voire même un empressement à l'emmener faire la tournée des grands ducs. Peut-être pour l'évacuer des lieux au plus vite, et ainsi refermer la porte sur ses manquements les plus flagrants envers ses consignes de discrétion ?

C'est Rhôzëe, comme la rosée, oui.

Laissant ses autres questions en suspens, elle le suit – ou plutôt se laisse entraîner – hors de l'appartement, puis dans la rue.

Alors, on commence par quoi ?


Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
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Cal Keran
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Kil'sin  
Le Julung 13 Nohanur 814 à 18h48
 
Nouveau pointage du doigt.

CK : "Rosée ! Je le savais ! Mais ça ne répond qu'à une seule question, malpoli, c'est malpoli d'éviter les questions !"

Mais il avance, descendant rapidement les marches.

CK : "C'est pourtant important de savoir les rêves d'un krölanne. C'est la survie qui te fait avancer mais le rêve qui te guide ! Je sais que tu avanceras, et en t'observant, je peux facilement deviner par quoi passe la survie, mais sans savoir ce qui te guide, comment savoir jusqu'où te suivre ? On néglige souvent cet aspect !"

S'arrêtant au perron, il semble réfléchir.

CK : "Où où où... Ca dépend. Soit ma dame désire un établissement huppé, et le Chaudron Clinquant est là. Soit c'est la qualité de la bière et l'ambiance qui prime, mais si tu n'es pas capable d'esquiver une ou deux torgnolles tu vas regretter ta soirée. Oh, et je vais devoir convaincre le patron de me laisser allonger mon ardoise. Je pourrai payer mais..."

Haussement d'épaules, sourire.

CK : "Je veux voir jusqu'où je peux mener ce gros sac de suif. Tentée ?"


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Kil'sin  
Le Julung 13 Nohanur 814 à 19h52
 
Bien vrai, c'est important d'avoir des rêves. Ou des ambitions, des objectifs. Mais est-ce bien raisonnable de les livrer si tôt, avant que la soiré n'ait vraiment commencé ? Il faudrait se dévoiler un peu, ne serait-ce que pour que l'autre le fasse aussi un peu, mais la nuit tombe à peine.

Mes rêves, je t'en parlerai... Et tu me parleras des tiens. Mais on n'est pas pressés, n'est-ce pas ?

Cal était déjà parti sur un autre sujet. Le Chaudron Clinquant ? C'est bien en vue. Peut-être un peu trop pour la discrétion. Et si c'est pour devoir partir par la petite lucarne de derrière, autant éviter... Ce n'est de toute façon probablement qu'une suggestion pour la forme. Le beau parleur semble beaucoup plus motivé par la deuxième possibilité. Ce sera probablement divertissant de le regarder faire son baratin.

Le deuxième établissement me semble un bon choix.

Je te suis.



Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
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Cal Keran
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Kil'sin  
Le Julung 13 Nohanur 814 à 22h05
 
Il se stoppe. Semble réfléchir. Et secoue la tête.

CK : "Pressé non. Intéressé oui. Pourquoi les gens sont-ils persuadés que répondre simplement à une question c'est faire preuve d'impatience ? Je dis non ! Non ! Fais attention, tu vas devenir aussi compliquée que Jade !"

Incapable de redémarrer. Il semble... Trépigner.

CK : "C'est comme si... Si je te demande peux-tu me passer le sel ? Tu me le passes, ou tu m'envoie paître. Tu ne me dis pas "je ne suis pas pressé", pas vrai ? C'est... Administratif. Soit tu veux en parler. Soit tu ne veux pas. Pourquoi par tous les Kils compliquerions nous la situation, hein ?"

Grand sourire, à nouveau. Ouaipe, il revient aussi sec, il chasse l'idée de la main, redémarrant sans laisser à l'étudiante le soin de répondre.

CK : "Au Corbeau Rose alors ! Et ne te fie pas au nom, ce n'est pas un endroit particulièrement féminin, mais on raconte que le patron, pour se débarrasser du gênant volatile, en aurait chopé un à main nue, puis noyé dans de la peinture, le seul liquide à portée. Rose la peinture. C'est pas un tendre le gros Al', mais il aime le rose. Enfin bref, noyé, et l'histoire est restée. Si tu lui demande, il te le montrera peut-être. Le corbeau empaillé, s'entend."

Remontant le col de sa cape, il continue. Frais ce soir...

CK : "C'est drôle quand même, cette assimilation que l'on fait aux couleurs. Parce qu'au fond, qui a dit que le rose était moins viril que le rouge, ou le bleu, hein ? Rien ! Mais rien à faire, il ne faut pas compter sur moi pour en porter !"

Et on progresse. Les rues laissent placent aux chemins, les chemins aux passages. Et, bientôt c'est devant une petite bâtisse encastré dans un mur que nos compères arrivent. Effectivement, une enseigne rose domine. Un corbeau. Puisqu'on vous le disait ! Se stoppant net, son sourire s'estompe, nu peu. Et revient à la charge. Présentant la porte, grand, graaaaand sourire.

CK : "A toi l'honneur !"

Si galant.


Gentleman Cambrioleur
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Rhôz
Comitaire actif,
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Kil'sin  
Le Julung 13 Nohanur 814 à 22h58
 
Le Corbeau Rose... Elle n'en a jamais entendu parler de celui-là. Tout laisse à penser que ce n'est pas un établissement de grand standing. Et comme « ce n'est pas un endroit très féminin », Rhôz s'attend à être doublement dévisagée en entrant, à la fois comme inconnue et comme femme. Tout le contraire de l'attention qu'elle préfère ne pas attirer sur elle.
Il y a au moins une chance sur deux que Cal soit parfaitement conscient de cela dans son redoublement de galanterie, l'invitant à passer la porte la première. C'est bien le genre de choses qui rendent Rhôz un peu rêche.


Dis-moi, Cal, tu ne chercherais pas à te servir de moi pour faire diversion, détourner l'attention de ta personne bien connue et bien appréciée dans l'établissement, j'espère ?

Parce que si c'est pour devoir repousser une émeute de brutes ivrognes se bousculant pour régler leurs comptes avec ta belle personne, je pense qu'on pourrait aussi bien s'épargner des effusions et aller trouver un endroit plus paisible. J'en connais un ou deux, moi aussi, dans le quartier.

Bien entendu, Cal rompt sa posture galante et s'apprête à protester. Rhôz glisse aussitôt son bras sous le sien et commence à l'entrainer vers la porte.

Mais s'il n'y a rien à craindre, allons-y plutôt bras-dessus, bras-dessous, frangin.


Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
(Son empreinte psychique évoque un contour de rosier dans la brume matinale.)
 
Cal Keran
Comitaire actif,
Caïd

Kil'sin  
Le Julung 13 Nohanur 814 à 23h14
 
Que ? La voilà qu'elle le chope sous le bras ! Même le voleur semble surpris. Une seconde, très brève, entendons nous, mais surpris. Avant de bomber le torse.

CK : "Et avoir peur du danger ? Je suis le Prince des Voleurs, la Pie, Le Monte-en-l'Air du Sin ! Ce n'est pas pour me défiler devant une auberge !"

Alors d'un pas assuré, militaire presque, il se place devant la porte. Et la pousse fermement.

CK : "Salut la c..."

Une dague se plante dans l'encadrure de la porte. Et le visage du voleur blanchit.

"Cal ! Fils de chienne !"

Le voleur se détache de sa frangine, et, ouvrant les bras, se dirige vers le comptoir. Difficile d'identifier le sourire envoyé. Moins arrogant, c'est sur. La salle est petite, sombre, à peine éclairée par quelques bougies, mais, sous l'oeil torve de la dizaine de clients, inutile de dire qu'il n'avait pas l'air bien assuré.

CK : "Al' ! Mon vieux c..."

"Tu la fermes, nabot !"


La porte claque dans leur dos, et l'étudiante est poussée sans ménagement. Un autre gorille, dans l'ombre, coupe toute retraite. Le voleur tourne les yeux. Sourire, à nouveau.

CK : "Ecoute, tu es fermé, je comprends, on repassera plus t..."

Et une paluche surgit. Massive, tout autant que son propriétaire. Deux bon mètres graisseurs montés sur verrins soulèvent sans peine le roublard à hauteur, c'est à dire loin du sol.

"T'es conscient de la somme que tu m'dois, nabot ?"

CK : "Pas vraiment, à vrai dire, j'avais laissé l'argent à ce gosse, il devait te le donner, tu sais, Timmy, ce p'tit roux ! Mais tu sais comment sont les..."


Bien vite, il est stoppé. Pardon, écrasé joyeusement sur le comptoir, une paluche le tenant fermement contre le bois crasseux.

"Je sais comment tu es, escroc de mes deux..."

CK : "Ch'est une chtupide err..."

"C'est qui elle ?"


Dix paires d'yeux se tournent sur Rhöz. Onze, lorsque le blondinet parvient à se décrocher les orbites.


Gentleman Cambrioleur
Philanthrope Personnel
Explorateur Urbain
 
Rhôz
Comitaire actif,
Etudiante-Enseignante

Kil'sin  
Le Vayang 14 Nohanur 814 à 09h35
 
Elle n'a finalement évité l'attention des habitués que très peu de temps. Pour le reste, c'est à peu près comme elle l'avait imaginé. Avec en plus la porte fermée et un mastodonte pour la garder.

Cette fois-ci, les sourires et l'exubérance de Cal ne suffiront peut-être pas à la sortir du mauvais pas. Rhôz pourrait prétendre l'avoir rencontré pour la première fois il y a juste quelques minutes, se désengager en laissant Cal à ses affaires. Mais elle ne peut décemment pas le laisser se faire démantibuler par des brutes sans au moins essayer quelque chose pour le sauver.

Je suis l'assistante comptable de monsieur. Ou du moins de son père.

Sa déclaration rencontre quelques regards médusés, dont celui du « Prince des Voleurs ».

Il se trouve que ce monsieur a accumulé des dettes dans plus d'un établissement, et que monsieur son père a décidé d'y remettre de l'ordre.

Nous menons donc, dans un premier temps, un inventaire des dettes contractées par Monsieur dans chaque établissement qu'il a fréquenté, pour procéder dans un second temps au remboursement desdites dettes.

Elle ne se connaissait pas un tel talent pour le baratin.

Par conséquent, si vous voulez bien reposer Monsieur sur ses pieds, nous pourrions posément établir le montant de l'ardoise que monsieur son père devra vous régler.

Enfin, un talent... à condition que ça fonctionne.


Rhôz, étudiante et enseignante, chercheuse et fouineuse.
(Son empreinte psychique évoque un contour de rosier dans la brume matinale.)
 
Cal Keran
Comitaire actif,
Caïd

Kil'sin  
Le Vayang 14 Nohanur 814 à 19h39
 
Silence gêné autour de la scène. Deux des clients, ayant déjà sorti une arme en prévision de la bagarre générale qui s'annonçait -la mort d'un individu faisant office, somme toute, de coup de pistolet maison-, se regardent. Zut.

Les comptables n'étaient pas vraiment la profession la plus appréciée du Sin. Trop ordonnés, ils ne correspondaient pas à la doxa majoritaire. Mais quand en plus ils empêchaient une bonne bagarre de commencer... Se grattant le menton de sa main libre, maintenant toujours le blondinet, le tenancier regarde le bout de femme lui... Tenant tête. Avant de hurler :

"Lonniiiiiiiiiiiiiie ! Le livre !"

Une seconde passe. Et une seconde plus tard, c'est une matronne de la plus belle stature qui sort. Il y a des physiques girons. Et puis il y a Lonnie, qui serait sans doute capable d'étouffer une bête de trait en s'asseyant dessus. On dit toujours que les couples se forment sur une opposition ou une ressemblance. Vous avez la réponse pour le cas présent. Et le livre se pose sur le comptoir. Il l'ouvre, mais ne lâche pas le crâne compressé. Passe les pages.

"KERAN ! Cal Keran. Si ton papa veut raquer pour toi..."

Rires dans la salle.

"Mais la Sauterelle, faudra payer compter... Si on compte l'indexation des charges, les intérêts, le taux surnuméraire dû au retard sur le retour compensatoire..."

Oui...

"Ca nous fait.... 58 pierres. A payer cash. Pas de remise, ma belle petite sauterelle."

Grand, grand sourire du tenancier. Regard du blond écrasé...


Gentleman Cambrioleur
Philanthrope Personnel
Explorateur Urbain

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