Onä hocha la tête, méditant quelques secondes sur la réponse du Fou.
Puis elle sorti une montre gousset de sa poche, regarda l'heure et se leva lentement.

Et bien, merci pour ces réponses et conseils, j'ai déjà matière à réflexion...
Je vais devoir retourner travailler, avez-vous quelque chose à ajouter ? Un dernier conseil à me prodiguer, une dernière recommandation pour la route ?

 
Drôle de dame.
A la fois curieuse et prudente, comme un chaton qui hésite à sauter sur une pelote de laine.

Tic-et-tac et tic-et-tac ! Vous préférez donc passer votre temps au travail plutôt qu'en notre compagnie.

Soupir forcé, sourire coquin.
Tout ceci n'était que Comédie bien qu'une once de vérité pointait parfois le bout de son nez entre mes boutades.

Ah-la-la... Nous ne vous en tiendrons pas rigueur !

Je m'étirais à la manière d'un félin, m'affalant un peu plus sur ma chaise.

Pour l'ultime conseil...Oh il y aurait tant à dire sur tant de choses. L'art de cultiver les tulipes en terrain calcaire par exemple ou encore la sculpture sur cornes de biquettes. Des conseils utiles si vous voulez notre avis, pour un lanyshta tout autant qu'un krolanne. Mais ceci prendrait beaucoup de temps n'est-ce pas? Et vous semblez ne pas en avoir suffisamment.

Coup d’œil vers la montre.

Peut-être nous reverrons-nous une autre fois... Courte pause. pensif. ...Oh-oui-oui-oui, à dire vrai nous n'en doutons pas. La survie implique la réunion en groupe. Vulnérables sont ceux qui demeurent isolés, aussi puissants et avisés soient-ils.

Rictus.
La graine était semée.

 
Un sourire amusé éclaira le visage de la taxidermiste.

Vous ne croyez pas si bien dire : je préfère passer mon temps à mon atelier plutôt qu'en n'importe quelle compagnie... N'y voyez rien de personnel.

Terminant de se lever, elle attrapa sa canne, et salua le saltimbanque d'un hochement de tête.

Et bien merci pour votre accueil et vos conseils. Peut-être nous reverrons-nous en effet, qui sait...?

Ce n'est qu'une fois dehors qu'elle se rendit compte qu'elle ne savait pas le nom de l'intriguant olibrius. Ni lui le sien.
C'était véritablement un bien curieux entretien.

 

Un matin,comme un autre, un grand jeune homme, portant une besace sur l épaule cherchait une numero d habitation, ou du moins ce qui pourrait y ressembler.

Si un observateur anonyme regardait la scène, on jugerait que Troy est un livreur d un comité quelconque qui chercherait l adresse ou tu livrer in colis.

Alors Troy arriva face à la taverne indiquée dans les Entrelacs puis alla frapper à la porte voisine, le comité des coquillage d après la devanture.

En même temps il chercha de mémoire et en pensée la voix qui lui avait indiqué le lieu.


*pensées* Je suis des vôtres et on m a conseillé de venir ici, enfin on m a donné en vision ce lieu.*pensées*

 
La porte s'ouvrit dans un grand fracas qui surprit le nouveau venu. Une tête portant un chapeau passa par l'encolure.

Entre. Le Clown arrive, sans doute.

Sans ménagement, le jeune se fait tirer à l'intérieur par la manche.



Un intérieur de bâtisse, du genre qui a l'air entretenu, mais sans grand ménage depuis des décennies. Tout, dans le mobilier, fait penser à de la récup'. On peut voir, empilé sur le côté, ce qui ressemble à du matériel de campement : des écuelles en fer et en bois, des toiles de tente goudronnée.

Alors, collègue, je peux t'offrir un truc à boire ?

*Ça aide, au début !*

La tête, sous le chapeau est souriante et amène. Le tout ressemble à l'intérieur du Bureau, rapiécé de cuir avec des associations un peu étranges, mais se dégage de lui l'impression palpable que c'est un type en qui on peut faire confiance les yeux fermés, peut être à tort.

Moi, c'est Salimân, ou le Compteur. Et toi ?

 


La veille, une nouvelle saveur m'avait tiré de ma transe.
Comme à chaque fois, il s'agissait pour moi d'une curiosité, d'un nouveau spécimen qu'il faudrait ausculter, jauger et finalement classer. Il serait alors un potentiel allié, un ennemi, un "sans intérêt", ou un partenaire.
Je n'étais pas présent au Bureau. D'ailleurs, la plupart du temps, ce dernier n'accueillait pas de résidents permanents. Une fois à la semaine, je venais y passer un coup de balais ou vérifier qu'aucune infraction n'avait été commise.

Le nouveau venu sur les Entrelacs, un certain Troy de ce qu'avait révélé l'analyse de sa pensée dans le Tourbillon, m'avait contacté tôt dans la matinée.
J’interrompis donc mon travail sur le perfectionnement du feu liquide pour me rendre au Bureau.

Ce n'est qu'une dizaine de minutes après que le Grand Blond m'ait contacté que j'arrivai aulieu-dit. Il n'était pas devant, ce qui laissait supposé que quelqu'un l'avait déjà accueilli.
J'entrai donc.

*Salut Sal', on ne pensait pas que tu serais là.*

Le Compteur était accompagné d'un grand blond pas bien âgé, comme l'avait laissé entrevoir mon analyse.
Je pris place sur l'un des fauteuils de la pièce principale puis sortis ma pipe et l'allumai d'un claquement de doigts.

Alors, qu'est-ce qu'on peut faire pour toi?

La question avait de quoi décontenancer. Pourtant, elle était tout ce qu'il y avait de plus logique : on ne venait pas au Bureau pour récupérer quoique ce soit, on y venait pour le chercher.

 

La porte s ouvrit et le voila tiré vers l intérieur.
Il observa la pièce un instant puis l homme au chapeau l ayant fait entrer.


Merci, je veux bien du thé si vous avez.
Je suis Troy ou le boy-scout comme on me surnomme au comité d exploration.


L Arlequin fit son entrée à son tour, s installa et alluma une pipe.
Comprenant qu ici on se servait, Troy alla faire chauffer de l eau et sorti de sa besace des herbes sèches.

Vous en voulez du thé ?
Dit il comme pour gagner du temps par rapport a la question qu on lui avait posé.

Ce que vous pouvez faire pour moi ?
Je n en sais rien en fait.
Je suis un peu perdu devant mon nouvel état, je me suis éveillé il y a quelques mois et depuis j ai juste apprit à ne plus être envahi de pensees.
Alors je dirais que puis je faire pour nous ?
Et me concernant j aimerai apprendre les langues pouvez vous m aoder2 ?

 
Le Compteur ne se formalisa aucunement en voyant l'autre se servir. Il se rassit, du coup.

Le comité d'exploration hein ?

Jettage de regard vers l'Arlequin. Voilà qui était intéressant.

J' croyais qu'il était à moitié dissous. Simple rumeur, sans doute ?

Alors, Boy-scout, très bien. Les langues, c'est un début, c'est sûr. Avec toutes ces voix... Pour la langue commune, on devrait pouvoir t'aider à perdre ton accent. Pour les autres langages, on te dirigerait plutôt vers quelqu'un d'autre de plus ... compétent la-d'ssus.

Si tu t' sens perdu au sujet de ton nouvel état, alors c'est plutôt qu'on peut faire quelque chose pour toi. Si t'as des questions, j'entends. Moi j'peux y répondre.

Si tu veux savoir comment aider la grande cause mutante, c'est à lui qu'il faut qu'tu parles. Dis-je en hochant la tête vers le bariolé

Mais faudra sans doute d'abord que tu lui expliques bien qu'est-ce c'est qu' tu sais bien faire.

 
Pipe au bec, j'observai le petit manège qui se déroulait sous mes yeux d'un air distrait.

Quelques mois et il est toujours perdu... Eh ben', y'en a qui mettent le temps à assimiler.

Un nuage de fumée s'échappa de mes lèvres.
Je balançais la tête de gauche à droite, animant mes grelots. Une habitude. Le son m'aidait à me détendre. c'était tellement mieux que la plupart des jacassements de la rue.

Pour les langues, c'est clair qu'on ne va pas aller loin, nous. Enfin, Sal' pourrait toujours vous apprendre à rouler de sacrés bonnes pelles, mais ça, faut aligner pas mal de ronds pour en profiter hé-hé-hé.
Autrement, les comités linguistes sont tout indiqués. Encore faut-il arriver à les supporter.

Pause.
Tout frais débarqué. Une explorateur. C'était naturellement suspect.
Je me relevai légèrement sur le fauteuil de cuir, fixant depuis la première fois l'explorateur.

C'est que vous vous seriez presque cru dans une agence de distribution d'emploi pour lanyshtas. Ça alors !
A priori, faudrait sortir les poubelles. Plusieurs semaines que ça traîne, nous on a pas osé y mettre les mains.

Je ne quittais pas du regard le neo-lanyshta.
Il y avait de la provocation, c'était tout naturel face à un nouvel individu. Il fallait savoir à qui on avait affaire.

 

Terminant de verser son eau chaude sur ses herbes, Troy répondit à l homme au chapeau.
Ce que je sais faire, j ai une connaissance des plantes et des détours où en trouver, je manie l arc même si je préfère rester discret et ne pas aller au contact avec les créatures.
J apprends petit a petit la korthomancie dans mon coin, ca me permet de jouer des petits tours sans être vu.

Boy-scout je porte bien mon nom, j aide a gauche et a droite tout en ouvrant bien mes oreilles et mes yeux.
Le comité d exploration a connu un shisme entre ceux qui voulaient rester sur leurs acquis et ceux comme moi qui veulent aller plus loin, vers les portes entre autre.


Le bariolé prenait la parole alors Troy lui repondit.
Mettre ma langue dans sa bouche, non merci, mais si vous avez une connaissance qui peut m apprendre les langues je suis preneur.
Sortir les poubelles oui, il le faudrait ici et je peux m en occuper mais bon,so chacun gere ses déchets il y a moyen de plus arriver a cet amas non ?

Aucune provocation dans ses propos, d ailleurs il gardait son sourire depuis le début.

 

Terminant de verser son eau chaude sur ses herbes, Troy répondit à l homme au chapeau.
Ce que je sais faire, j ai une connaissance des plantes et des détours où en trouver, je manie l arc même si je préfère rester discret et ne pas aller au contact avec les créatures.
J apprends petit a petit la korthomancie dans mon coin, ca me permet de jouer des petits tours sans être vu.

Boy-scout je porte bien mon nom, j aide a gauche et a droite tout en ouvrant bien mes oreilles et mes yeux.
Le comité d exploration a connu un shisme entre ceux qui voulaient rester sur leurs acquis et ceux comme moi qui veulent aller plus loin, vers les portes entre autre.


]Le bariolé prenait la parole alors Troy lui repondit.
Mettre ma langue dans sa bouche, non merci, mais si vous avez une connaissance qui peut m apprendre les langues je suis preneur.
Sortir les poubelles oui, il le faudrait ici et je peux m en occuper mais bon,so chacun gere ses déchets il y a moyen de plus arriver a cet amas non ? [/langue]

Aucune provocation dans ses propos, d ailleurs il gardait son sourire depuis le début.

 
Sourire en coin.

Korthomancie vous dites?
Qu'est-ce que c'est que cette affaire?

Le revendeur de cube m'avait déjà présenté la farce sous cet angle là. "Korthomancie". Un nom barbare pour quelque chose de léger, discret, plein de finesse.
Autrement, l'homme n'avait visiblement pas un sens de l'humour très développé.
Coup d’œil vers Salimân.

Il ne veut pas te galocher... Ça ressemble à une veste ça nan? Ah-ah-ah, plus sélectif que la plupart des demoiselles le gars.

Le Grand Blond exagérait.
A part la vaisselle du retour d'expédition et deux gros sacs poubelles, l'endroit était plutôt bien tenu. Peut-être avions-nous affaire à une fée du logis.

 

Troy laissa infuser ses herbes quelques minutes dans l eau chaude.

Et bien, sélectif n est pas le mot juste disons que j ai une préférence pour les bouches féminines.
Mais je me doute que ce genre de cours de langue était juste une plaisanterie.
Excusez moi si je réagi plutôt directement je suis un peu sur la défensive depuis mon éveil.

La magie est ce dangereux ? J ai l impression de sentir des énergies.
La personne qui vends des cubes magiques m a parlé de korthomancie, il m a dit que j avais une affinité pour cela.
Mais ce nom est un peu bizarre et a faire peur.
Alors il m a dit qucon appellait cette magie illusion ou altération des sens en quelque sorte.
Et j aimerai en savoir plus sur elle.

 
A la mention de l'Arlequin sur ses roulages de pelles, le Compteur esquisse un sourire enjôleur.

Il ne sait pas encore, le petit, ce qu'il perd à se séparer de la moitié des êtres. Et surtout de moi.

En revanche, à la mention des Portes, il jette un regard à son comparse.

Mouais, ramasser des plantes, ça ça sera toujours utile. Entendu. Mais les Portes, vraiment ? Et que voudrais-tu y faire, collègue ?

Lui-même, va chercher une petite bouteille en haut d'une étagère, vient vers l'Arlequin pour lui en faire renifler le contenu d'un air pas mécontent, et s'en sert un petit verre.

On ne pourra pas te dire grand-chose sur la kortho, parce si on le savait, ça voudrait dire que ceux qui s'en servent ne sont pas très doués. Dit-il avec un sourire amusé vers l'Arlequin.

Mais oui, la magie c'est dangereux. Ça pique parfois très fort.

Sal' a le regard qui se perd dans le liquide de son verre. L'instant d'après, le liquide s'embrase. Il le boit d'un trait.

 
Rire saccadé.

Sélectif et exclusif. Décidément, tout se perd au Kil'Sin.

En reniflant la bouteille que Salimân me tendit, je grimaçai. Hors de question de boire un truc pareil.

Les Portes, la magie... Vous êtes du genre à mettre la charrue avant les boeufs cher monsieur Troy. Pause. Enfin...parlons-en si vous voulez en parler. Mais comme le dit Sal', qu'est-ce que vous souhaitez chercher auprès des Portes? Un pic d'adrénaline? Un peu d'exotisme? Car tout ça, on peut déjà le trouver dans certains bonnes maisons closes Kil'sinites. Nous pourrions même vous donner quelques adresse si l'envie vous presse, bien que ceux ci conviennent aux bourses bien pleines.

Éclat de rire.
Je lançai un nouveau regard complice vers la Compteur.

 

Troy ne se sentais pas rejeté et s était unz bonne chose cu ses inquiétudes.
Il sirotait tranquillement son thé tout en essayent de saisir tout les sous entendu des deux loustics en face de lui.
Au moins il avait comprit que l Arlequin pratiquait l art des illusions et des sens.


Les Portes, grand débat, doit on y aller, ne doit pas y aller.
Je sais que je ne suis pas près à y aller mais j y songe et pour moi tant qu on n y a pas été on peut pas savoir ce qui s y trouve, ni au dela.

Mais avant ça je dois me former mieux, évoluer comme on pourrait dire.

Pour la magie, effectivement je ne m attendais pas a recevoir une liste de nom de pratiquant mais vu le rôle du Bureau et vos connaissances, passez un mot a un de vos amis qui saurait me former.
Je n en attends pas plus.

Et vous avez vous déjà voyager plus loin ?
Quels sont vas "talents" à part rouler des pelles ?

 
J'expirais une jolie bouffée de fumée. Malheureusement, mes efforts pour produire un cercle restèrent vain. Apparemment, il fallait faire un truc avec sa langue. Un truc simple d'après les expert en la matière.
Tu parles.
Le ton devint plus profond. Ma voix se mua en un étrange mélange de sons et de pensées, filant à travers la pièce sans réellement se distinguer.

Le Bureau n'est pas un lieu de délation. Les gens vont et viennent. Parfois ils restent plusieurs mois puis s'éclipsent sans que l'on en entende plus parler. De fait, non, nous ne pouvons pas nous mettre en lien avec un "ami" qui pourrait vous former. Faites vos recherches par vous même. Toutefois...

Je roulais les yeux.

...le Bureau peut effectivement être un bon point de départ.

Sourire.

Un être, qu'il soit lanyshta ou non, se construit en émettant des choix, en effectuant des expériences, ses experiences. Dans le cas des krolannes, on peut dire qu'il est commun de répéter les expériences d'autrui, négligeant la prise de recul lié à l'enseignement prodigué.

Pour les Éveillés comme vous et nous, les choses ne peuvent pas obéir au même systématisme. Nous ne sommes qu'une poignée devant une infinité de chemins. Quel est dés lors l'intérêt d'emprunter le même sentier? Hmm?
Vous pourriez nous répondre qu'il pourrait s'agir d'une collaboration.
Certes, oui. Cependant, une collaboration sur un chemin donné ne porte ses fruits que si les deux êtres peuvent partager des expériences passées différentes.

Je levais l'index.

Voyez-vous où nous voulons en venir?

Dans une autre vie, j'étais sûrement un professeur de renom. Rhôz et sa pédagogie d'universitaire n'avait qu'à se rhabiller. Ce rôle là ne m'allait pas si mal au final, bien que je n'eus pas la patience de m'y glisser plus que nécessaire.

Risquez-vous à la liberté petit homme. Risquez-y vous avant de vous enfermer vous même dans une pensée qui ne serait pas la votre, endoctriné. C'est là tout le cœur du problème. Il n'y a qu'à voir les rapports qu'entretiennent nos prédécesseurs de la première et deuxième vague. Ils essaient de rallier les nouveaux appelés à leur causes, comme des bergers cherchant de nouveaux moutons. Est-ce là ce que vous souhaitez?

Haussement de sourcils.

Peut-être que oui, peut-être que non.
Ce choix aussi vous appartient. Nous ne vous jugerons pas.

Je me levai du fauteuil, fis quelques pas vers la fenêtres avant d'en respirer l'air frais qui se faufilait entre les volets entre-ouverts. Ma voix redevint plus légère.

Et pour vous répondre : oui nous avons nous aussi nos talents. Un peu de couture par ci par là et un sacré sens du jeu. Oh puis on arrive même à se lécher le talon. Pied droit et pied gauche. Pas mal non?

 
Le Compteur grimaça. Meilleure au nez qu'au gosier, cette gnôle. Pourtant, on lui avait promis un de ces trucs.

Tandis que l'Arlequin s'épanchait, il se resservit un verre, et s'installa paisiblement à la table. Il n'allait pas plus que lui se proposer de lui servir de guide en magie.

Nous avons ... déjà voyagé plus loin, oui. Vu un peu du Dehors. On l'a fait parce qu'on était prêts. Y a d'autres trucs pour lesquels on n'est toujours pas prêts, par ailleurs. On s'y attelle...

Pour ma part, le plus gros talent n'est pas dans rouler des pelles. C'est comment arriver à ce moment. Ça, ça demande un vrai don.